Il y a quatre ans, j'avais décidé de prendre deux semaines de congés aux caraïbes pour me changer de la grisaille Parisienne. J'étais partie seule, mon mari étant bloqué sur Paris pour son
travail.
Après les trois premiers jours passés au bord de la piscine de l'hôtel, j'avais vraiment envie de découvrir les plages de l'île et surtout de parfaire mon bronzage qui laissait déjà deviner les
marques du maillot. J'ai l'habitude en métropole de faire du naturisme sur les plages de la méditerranée, mais hélas tous les guides touristiques me disent qu'il n'y a aucune plage naturiste dans
l'île.
A la piscine de l'hôtel i n'y a même aucune femme en monokini, mais je n'y tiens plus et décide à minima de faire bronzer mes seins. J'avais dans mes bagages un mini strig-ficelle blanc assez
transparent rapporté d'Australie. Le quatrième après midi je m'installe donc de bonne heure sur la terrasse de l'hôtel au bord de la piscine seins libérés le sexe juste caché par ce petit morceau
de tissus. Je me dit qu'un au moins cela réduirait au minimum les traces de maillot. Lorsque je m'installe il n'y a qu'une femme au bord de la piscine elle est allongée sur un transat et elle
porte un maillot des plus stricte.
Quelques minutes après un couple d'un certain age vient s'installer à proximité de moi, l'homme qui a du avoir un certain charme ne cesse de m'observer. Il faut dire que je bronze allongée sur le
ventre et que de loin on doit penser que je suis nue.
La chaleur devient difficile à supporter sans boissons fraîches, j'en commande une qu'un très bel antillais m'apporte quelques minutes après. Il doit avoir une vingtaine d'année, il est grand et
semble très musclé sous son tee-shirt. Il est souriant je me retourne lorsqu'il arrive laissant apparaître mes seins très blancs. Il me conseille de faire attention au soleil en me précisant
qu'il ne faut pas que je compte sur mon maillot pour éviter les coups de sol?eil. Je l'invite à s'asseoir un instant pour discuter. Il accepte et prend place sur le fauteuil en teck juste à coté
de moi. Je lui explique que j'aurai aimé visiter l'île et ses plages mais que le type de maillot que je portais n'y avait semble t il pas sa place. Il me confirme qu'ici le monokini n'est que
toléré mais peu apprécié et que le naturisme était lui strictement interdit. Il m'indique par contre qu'il connaît une petite plage au fond d'une anse très peu fréquentée mais superbe ou les
amateurs de bronzage intégral ne sont pas dérangés.
Dès le lendemain, je parts à la découverte de ce lieu paradisiaque. Je loue une voiture à l'hôtel et me voici partie pour une après midi bronzage. Les indications du barman sont précises mais l'accès à la plage est difficile, il fallut rouler pendant des kilomètres sur des chemins de pierres. Mais après une demi heure de route et de chemin j'arrive à destination. C'est une longue anse bordée d'un plage de sable blanc sur la quelle les rouleaux de l'atlantique vienne mourir.
Je me gare ma petite Clio, sous les arbres à quelques mettre seulement de la plage. La plage est presque déserte j'ai vu une autre voiture en arrivant et il me semble entrevoir un 4x4 garé un peu
plus loin.
J'installe ma serviette sur la plage, je suis venue pour faire du naturisme mais pas encore vu la tenue des autres personnes sur la plage je garde pour l'instant mon petit string blanc. Je vais
de suite faire quelques pas dans l'eau pour me rafraîchir mais aussi et surtout pour regarder s'il y a d'autres naturistes sur la plage. A cent mètres de moi, à proximité de la voiture que
j'avais vue en arrivant, il y a un couple qui profite de la mer dans le plus simple appareil. Super, je reviens m'allonger sur la serviette et retire immédiatement mon string.
Je passe alors une après midi formidable, dans un décor de rêve, bercée par le seul bruit des vagues à bronzer en tenue d'Eve. Après quelques heures le soleil Antillais aidant je commence à
trouver qu'il fait vraiment très chaud. Et je retourne jouer dans les vagues de l'océan. Je nage un peu vers le couple entrevu précédemment espérant faire plus connaissance, malheureusement c'est
la fin de l'après midi et ils sont en train de repartir.
Je nage encore un moment l'endroit est tellement beau et regagne moi aussi ma serviette pour me sécher et rentrer. Je me dirige vers la voiture quand j'ai soudain un frisson qui me parcourt le
corps en me rendant compte que si la voiture n'a pas bougé mes affaires ont disparues. Plus de serviette, plus de chaussure, plus de clefs de la voiture et plus de maillot non plus. Je jette un
regard voir si le couple est parti mais oui je ne vois plus leur automobile.
Je me sens tout à coup perdue, seule, nue sur cette plage. Je ne sais que faire, je regarde si je peux rentrer dans ma voiture, mais non toutes les portes sont verrouillées. Je reste la sans
réaction un petit moment, je commence à avoir peur, chaque bruit me devient suspect. Le voleur ou les voleurs sont peut être encore la, peut être m'observent ils.
L'anse n'est pas immense que vais donc en faire le tour à la recherche d'un secours. Je décide de ne pas marcher au bord de l'eau dans ma tenue mais d'être plus discrète et passant sous les
arbres. Je remonte toute la plage mais ne trouve rien ni personne je me lance donc du coté ou il m'avait semble entrevoir un 4x4 en arrivant.
En arrivant à proximité il y a bien une vieille camionnette de garés sous un palmier mais je ne vois personne. Je n'ose appeler dans ma tenue, je continue à chercher. Je commence à être très
inquiète car le soleil commence à se coucher, quand je vois enfin du monde. A cents mètres de moi il y a quatre personnes. Ce sont des antillais, ils sont assis sur un tronc d'arbre et semble
discuter en fumant. D'où je suis je peux les voir mais je suis cachée par les arbres du front de mer. Par contre pour aller jusqu'à eux il me faut faire les cents mettre à découvert ou les
appeler. J'hésite je n'ose pas crier mais je ne me vois pas traverser ces cent mètres nue en me dirigeant vers eux.
Prenant mon courage à deux mains j'appelle "S'il vous plaît, Oh, Oh, Messieurs...." mais rien n'y fait ils semblent ne pas m'entendre.
Je décide alors de prendre une feuille de palmier tombée à terre pour me cacher et de me diriger vers eux. C'est arrivée à vingt mètre d'eux qu'ils semblent enfin se rendre compte de ma présence.
Ils doivent avoir entre 20 et 40 ans et sont vêtus de bermudas assez usés.
L'un d'eux se lève me dit bonsoir et me demande sévèrement ce je fais dans une telle tenue. Les trois autres ont les yeux rivés sur moi et je ne sais pas comment tenir ma feuille de palmier
pourtant d'une taille imposante pour qu'elle protège ma nudité. J'ai depuis de longues années l'habitude du naturisme et de ma promener nue au Cap d'Agde par exemple mais la c'est très différent
et je suis vraiment très mal a l'aise.
Je suis toute rouge et ce n'est pas qu'à cause du soleil, j'explique que l'on m'a dérobé mes vêtements et les clefs de ma voiture et que j'ai besoin d'aide pour revenir à l'hôtel.
Les trois hommes qui sont restés assis ne me quittent pas des yeux et discutent entre eux en créole avec un air visiblement amusé.
Le quatrième me dit qu'il s'appelle Robert qu'il est contremaître dans la plantation que j'ai traversée pour venir, que la camionnette que j'ai vue est à lui et qu'il va me raccompagner à mon
hôtel. Il me dit d'aller m'installer dans la cabine qu'il arrivait. Il échange aussi quelques mots en créoles avec ses trois compagnons qui deviennent hilares.
Je m'installe à la place passager en abandonnant ma feuille de palmier qui ne rentrait pas. Il vient s'installer à la place conducteur. J'ai la main droite sur le sexe et le bras gauche devant
les seins, je lui demande s'il n'aurait pas un vêtement à me passer pour rentrer. Il me dit que malheureusement il n'avait rien dans le pick-up. Je sens très mal mon arrivée à l'hôtel!
A peine assis il place sa main droite sur ma cuisse, je ne sais plus que faire. Bien que n'étant pas farouche de nature la situation n'a pour moi vraiment rien d'excitant. Je lui prends la main
et la remets gentiment sur le levier de vitesse. Il se tourne alors vers moi et me dit que ce n'est pas très gentil d'agir ainsi. Il démarre le moteur et ses trois amis embarquent dans la benne
et rigolant toujours plus fort. Ils continuent à avoir les yeux rivés sur moi au travers de la petite vitre qui sépare la cabine de la benne.
Nous démarrons et prenons le petit sentier qui remonte dans les collines et que j'avais emprunté à l'aller, je respire.
Nous traversons la bananeraie mais après moins d'un kilomètre, le chauffeur ralenti puis s'arrête au niveau d'une petite baraque de bois située sur le bord de la route. J'ai de nouveau un frisson
qui me parcourt le corps, j'ai froid, j'ai peur.
Robert doit s'en rendre compte car il me dit que je n'ai rien à craindre. Qu'il s'agit d'une cabane ou laisse des outils et des vêtements de travail et qu'il s'est arrêté la uniquement pour me
trouver de quoi m'habiller.
Il me demande de descendre et de le suivre, je ne sais plus que croire je m'exécute. Je ne pense même plus à me cacher et les trois ouvriers dans la benne se régalent. En sortant il attrape
quelques chose dans la boite à gant mais je ne vois pas de quoi il s'agit.
En le suivant je rentre dans la cabane, elle est toute petite et il y fait sombre. Il n'y a pas d'électricité et la nuit est maintenant presque tombée. J'y vois bien quelques outils mais pas le
moindre vêtement, juste une paire de bottes de plastique. Robert me prend alors fermement par les deux épaules et me tient face à lui. Il a un grand sourire et m'examine des pieds à la tête. Il
me dit que j'ai un corps de rêve et qu'il à une demande à me faire. Je crains le pire. Je l'écoute il me dit que personne ne voudra le croire lorsqu'il dira qu'il a recueilli dans son pick-up une
belle jeune femme blonde. Et il me demande l'autorisation de prendre quelques photos de moi dans le plus simple appareil. Ce qu'il avait saisi dans la boite à gants en sortant et que je n'avait
pas distingué était en réalité un appareil photo jetable sous marin. Presque rassurée par cette demande inattendue je craignais une sollicitation plus physique j'accepte. Il me demande de prendre
la pose en deux ou trois emplacements dans la cabane: assise sur un coffre, debout tenant une machette à la main, de dos contre la porte. Cette séance ne me pose pas de problème ayant été
mannequin de mode quelques années je suis habituée au séance plus ou moins déshabillées. Robert me demande ensuite si nous pouvons continuer la séance en extérieur afin de profiter du superbe
coucher de soleil sur la baie et aussi car la luminosité commence à manquer dans la cabane. J'accepte encore, à l'extérieur il y a bien ses trois amis, mais de toute façon cela fait quelques
minutes qu'ils m'observent par la fenêtre qui 'a pas de carreaux mais juste des sortes de persiennes. La séance se poursuit donc avec une bonne dizaine de photos devant et sur la voiture avec ce
superbe coucher de soleil en fond.
La séance terminée (il n'y avait pas beaucoup de pellicule), Robert me demande de reprendre place dans la voiture et me dit qu'il m'apporte des vêtements. Il retourne dans le cabanon et en
revient avec un tee-shirt gigantesque et un grand morceau de madras qui me fera un paréo de circonstance.
Il s'assoie à mes cotés avec un grand sourire me tends les vêtements et me dit qu'il a une toute dernière faveur à me demander : Ne pas enfiler immédiatement les vêtements qu'ils profite encore
quelques instants de l'image de mon corps. Au point ou j'en suis et plus vraiment apeurée j'accepte à condition de les remettre avant l'hôtel. Les vêtements prennent donc place dans la boite à
gants.
Nous reprenons donc notre route au travers de ce chemin caillouteux jusqu'à traverser un petit village qu'il me précise être le sien et me promets que de passer par là est le moyen le plus rapide
de rejoindre mon hôtel.
Il n'est que dix neuf heures mais il fait déjà nuit, nous traversons le village au pas et les quelques rares personnes qui sont dans les rues ne peuvent pas rater le spectacle presque cocasse de
ce vieux pick-up de notre équipage. Peu après être rentré dans la rue principale nous croisons la voiture d'un ami de Robert et ce dernier ne manque, évidemment pas de s'arrêter à sa hauteur pour
échanger quelques mots. Je masque alors un peu ma poitrine, mais Robert se retourne vers moi et me dit simplement un « s'il te plaît » accompagné d'un charmant sourire auquel je ne résiste pas et
je remets mes bras le long de mon corps. A ce moment Robert prétexte d'avoir laissé tomber son briquet dans la voiture pour allumer le plafonnier. Ses amis dans la voiture en face s'aperçoivent
alors qu'alors qu'ils me pensaient torse nu je suis simplement nue.
Je fais alors remarquer que je l'ai déjà largement récompensé pour m'avoir tiré de ce mauvais pas mais qu'il ne faut pas exagérer. Il comprend et nous repartons nous croiserons encore avant de
sortir du village une bande de jeunes assis sur un muret ainsi qu'une estafette de gendarmerie sortie d'on ne sait ou. La encore je m'inquiète car je ne tient pas à être arrêtée pour
exhibitionnisme car avec le plafonnier resté allumé ils ne peuvent ignorer qu'à minima je suis torse nu. Robert me rassure et me dit qu'il les connaît qu'il n'y a aucun risque. Il me propose même
de faire leur connaissance, je refuse je ne sais pas ou cela va me mener.
Une fois sortis du village nous rejoignons très rapidement une nationale, qu'ils appellent la bas une autoroute, et en quelques minutes nous sommes à proximité de l'hôtel. Je profite de cette
route rectiligne pour me rhabiller comme je le peux.
Nous nous arrêtons juste devant l'entrée. Je remercie Robert et lui promets de lui rendre les vêtements prêtés. Il me dit qu'il me suffira de les laisser à l'accueil de l'hôtel ou il les
reprendra. Et je vais directement à la réception, c'est le barman qui m'avait indiqué la plage qui est de permanence à la réception je lui demande ma clef et lui raconte brièvement ma
mésaventure.
Il me réconforte et me dit d'aller directement me reposer qu'il s'occupe de tout, Rapatriement de la voiture et déclaration de vol.
Je remonte dans ma chambre heureuse que cette mésaventure en reste la car j'avais vraiment eu peur.
La plage
Le lendemain au petit déjeuner l'hôtesse me dit que ma voiture est de nouveau sur le parking de l'hôtel et m'en redonne les clefs.
Elle m'explique que le loueur à envoyé hier un agent avec le trousseau de clefs de secours rechercher la voiture sur la plage et qu'il l'avait ramené. Elle me dit aussi que sur la plage à
proximité immédiate de la voiture il y avait ma serviette étalée sur le sable avec mes chaussures, mon maillot, mon petit sac avec les clefs et le téléphone portable, que tout avait été rapporté
et était disponible à la réception.
Je ne comprenais plus rien ! Que m'était il arrivé hier ? Avais je perdue la tête ? rêvé ?
Peu importe c'était terminé et je ferais plus attention à mes affaires en allant me baigner à l'avenir.
Après une matinée très calme je passe à la réception déposer les « vêtements » prêtés comme promis. L'hôtesse m'informe qu'on a déposé petit paquet pour moi. Je suis étonnée car je ne connais
personne sur l'île. De quoi s'agit il ?
J'ouvre il s'agit d'une enveloppe kraft un peu épaisse avec à l'intérieur les photos faites la veille. Je les regarde rapidement de toute évidence Robert n'est pas un photographe professionnel.
Cela ne fait rien cela me fera un souvenir de cette journée « particulière ». Je suis étonné de ne pas trouver un petit mot d'accompagnement avec les photos mais peu importe.
Pendant les deux jours qui suivent je me contente de la piscine de l'hôtel et tant pis pour les marges de maillots.
Le samedi arrive, cela fait déjà une semaine que je suis en vacances. Au bar de la piscine c'est Alex qui sert. Le jeune et beau créole qui m'avait indiqué la plage idyllique. Nous discutons un
peu de ma mésaventure et je lui dis que maintenant je n'ose plus retourner dans cette crique pourtant si jolie. Il me dit qu'il ne travaille pas Dimanche et qu'il peut si je le souhaite m'y
accompagner.
Rendez vous est pris, Le lendemain nous partons dès le matin avec un pique nique passer la journée complète sur la plage. Une journée de rêve, je peux enfin faire du naturisme sur une plage de
sable blanc dans une mer chaude et transparente. Le pique nique créole préparé par Alex est super et il est un chevalier servant très beau et très rassurant. Il me dit qu'il ne pratique pas le
naturisme mais en regardant son slip de bain bleu moulant se gonfler très souvent je comprends que je lui fais un certain effet en tenue d'Eve.
Vers dix sept heures les derniers vacanciers quittent la plage et nous sommes seuls sur cette immense plage. Enfin presque car je vois à ce moment arriver le pick up de Robert. Robert en descend
et se dirige vers nous il y a une autre personne que je ne connais pas dans la cabine ainsi que les trois ouvriers dans la benne. Je me recouvre un peu devant tout ce monde en enroulant ma
serviette de plage autour de moi. Robert me dit alors sèchement que je perds vite les bonnes habitudes et qu'il me préfère de loin nue. Je ne sais quoi répondre, je le remercie pour les photos et
propose à Alex de me raccompagner à l'hôtel. Robert dit alors : « tu ne vas tout de même pas nous quitter comme cela ce n'est pas poli. » et joignant le geste à la parole il attrape ma serviette
entre mes deux seins et la tire vers lui. Je me retrouve plaquée contre lui et ma serviette ne tient plus que par la pression de mon corps contre le sien. Je regarde Alex et lui dit « Alex ne me
laisse pas tomber remmène moi à l'hôtel ». Mais il ne bouge pas, au contraire il semble contempler la situation avec plaisir. Les trois blacks sont descendus de la benne et sont maintenant juste
à cote de nous, seul le passager est resté à sa place.
Robert me dit « Maintenant ma belle, tu n'as plus le choix il va falloir être gentille, très gentille ». Je tremble de tous mes membres, je ne sais plus que faire. Je crie : « Au secours ». Tous
se mettent à rire. « Il n'y a plus personne sur la plage, le seul accès se fait par la plantation et nous l'avons fermé après être passés, tu peux toujours crier tant que tu voudras » me répond
Robert. Je fais deux pas en arrière et tente de m'enfuir en courant abandonnant en même temps ma serviette qui tombe au pieds de Robert, mais ils forment maintenant tous les cinq un cercle autour
de moi. Alors je me tourne vers Alex et lui dit : « Ne te laisse pas entraîner, tu risques des années de prison, réfléchi ! ». Il éclate de rire et me dit : « Penses tu être crédible si tu
déclares que tu n'était pas consentante alors que nous avons des photos de toi nue avec nous (celle prises lors de notre première rencontre) et qu'il y a plus d'une demi douzaine de personnes
dont deux gendarmes qui peuvent témoigner que tu as passé une partie de la soirée entièrement nue dans notre voiture sans aucune contrainte». Maintenant tu as le choix cela peux être plus ou
moins agréable pour toi conclue t il.
Le cercle se resserre autour de moi ils sont maintenant à quelques centimètres. Alex m'attrape alors les cheveux et me contraint sans ménagement à m'agenouiller. Il baisse alors son maillot bleu
et je m'aperçois pourquoi il grossissait tellement cet après midi. Son sexe est en érection, il est d'une belle couleur café, on le dirait bronzé, mais surtout il est d'une longueur peu commune
et d'un diamètre raisonnable. Il me le met juste en face de la figure et j'imagine bien ce qu'il veut. Les quatre autres en ont profité pour se déshabiller et je sens leurs mains un peu partout
sur mon corps. L'une d'entre elles, au moins, fouille déjà mon intimité, et c'est fort désagréable car je ne mouille absolument pas. Alex me présente son gland entre mes lèvres, j'ouvre la bouche
et le laisse m'enfoncer légèrement le sexe dans la bouche. Cela ne semble pas lui convenir car il me prend violemment la tête par les cheveux me la rejette en arrière et m'enfonce sa bite dans la
gorge d'au moins un vingtaine de centimètres. J'ai un violent haut de cour et cherche à me dégager en repoussant ses cuisses mais ses deux mains maintiennent ma tête et continuent de m'enfoncer
ce sexe au plus profond de ma gorge. J'ai maintenant tout son sexe en moi et sens ses testicules sur mon menton. Il reste quelques secondes comme cela mais cela me parait des heures j'ai la gorge
en feu et j'étouffe. Il ressort ensuite d'un seul trait sans plus de douceur. J'ouvre les yeux, je suis en larme, il me regarde avec un air méchant et me dit : « toujours pas décidée à être
gentille ? ». Je hoche la tète en signe d'acquiescement. Robert me prend les épaules et les tourne pour que je mette à quatre pattes, j'obtempère. Et dans les secondes qui suivent je sens deux
mains qui me prennent les hanches, c'est un des blacks, le plus âgé il doit avoir une quarantaine d'année, un ventre plus sculpté par le rhum ou la bière que par l'exercice. Son sexe est court
mais d'un très gros diamètre. Il lâche de sa main droite ma hanche et promène son gland entre mes cuisses et entre mes fesses, sans sembler avoir encore pris la décision d'où il souhaite le
mettre.
Je profite de ne rien avoir dans la bouche pour leur demander de mettre des préservatifs en précisant que je ne pouvais pour des raisons médicales prendre d'anti-contraceptifs. J'ai pensé avoir
été entendu car le plus jeune est parti vers la voiture et en est revenu avec un paquet. Il a dit quelque chose aux autres en créole et encore une fois ils ont éclat de rire. Robert me regarde
alors et me dit je te traduit : il a dit qu'il n'en restait plus que deux qu'ils faudrait se les repasser.
Si cela les faisait rire moi pas.
Celui qui s'occupait de moi prend la boite l'ouvre et prend un préservatif qu'il s'enfile et revient se mettre en place. Il a pris sa décision c'est mon sexe qu'il veut d'une main assez habile il
l'entrouvre et m'enfonce doucement son gros sexe. C'est une sensation étrange d'être dilaté par ce sexe si gros mais si court. Il commence de doux va et vient pas si désagréables. Pendant ce
temps Robert à ouvert le seconds préservatif l'a posé non déroulé sur le bout de son sexe et me demande de le lui mettre en place avec la bouche. Je m'y essaie à l'aide d'une main mais le
préservatif glisse et tombe sur le sable. Robert se penche pour le ramasser esquisse un sourire et me dit j'espère que tu aimes quand ça fait mal. Il repositionne le préservatif sur son sexe mais
cette fois commence à le dérouler. Le lubrifiant du préservatif à retenu du sable et c'est désagréable sur les dents quand je fini avec la bouche sa mise en place. Robert demande à l'homme qui me
besogne depuis quelques minutes de me sodomiser. Rien qu'à cette annonce mes reins se contractent je commence à me débattre ; Alex me reprend alors par les cheveux en me disant je pensais que tu
avais compris. Le vieux black se retire alors de mon sexe bien mouillé maintenant. Il me crache abondamment sur les fesses et l'étale avec une main. Bien que je trouve cela répugnant je ne me
plains pas pensant que cela me permettra de moins souffrir. Il présente alors le bout de son sexe dur comme un bout de bois sur ma rondelle et appui de façon progressive mais de plus en plus
forte. Je sens mon anus se dilater quand son gland passe je ne peux retenir un violent cri de douleur aussitôt étouffé par le sexe d'Alex qui me pénètre la bouche et la gorge. Quelques instant
plus tard le sexe est complètement entré dans mes intestins et l'homme commence des va et vient lents. Alex se retire de ma gorge. Il me redresse ensuite et me fait basculer en arrière. Je suis
maintenant allongée sur l'homme qui me sodomise ses mouvements sont ainsi de moindre ampleur mais toujours aussi douloureux. Robert vient alors sur moi écarte me jambes qui pourtant l'étaient
déjà largement, puis approche son sexe du mien. Il porte toujours le préservatif mais soit par maladresse soit plus probablement intentionnellement il l'a recouvert de sable. Ce n'est plus
quelques grains de sable qui y apparaissent mais il en est couvert. Son sexe pourtant bien noir en semble presque blanc. Il repousse mon buste en arrière, guide son sexe d'une main et me
l'introduit d'un mouvement continu. La pénétration est difficile mon anus étant dilaté à l'extrême. Il commence immédiatement des mouvements rapides qui combinés avec ceux de l'autre homme
m'arrachent à chaque seconde un cri de douleur. Pourtant je suis totalement trempée mais le sable sur la paroi entre mon vagin et mon anus est très irritant. Mes cris sont de courte durée car
comme je m'y attendait Alex vient reprendre sa place dans ma bouche, lui aussi commence des mouvements alternativement dans ma bouche et dans ma gorge.
Les deux derniers hommes qui jusque la étaient restés observateurs se rapprochent et chacun d'eux me prend une main et la dirige vers sont sexe afin que je les caresse. Je suis en équilibre
maintenue et prise par ces cinq hommes. Nous restons dans cette position un bon moment jusqu'à ce que l'homme dans mes fesses s'arrête et émette un long râle. Je pense qu'il jouit mais je ne sens
plus rien. Quelques secondes après c'est au tour de Robert de jouir, tous deux restent enfoncés au plus profond de moi. Quand à Alex sentant sans doute que le traitement actuel n'était pas en
mesure de l'amener au plaisir il sort son sexe de ma bouche et le masturbe avec frénésie devant mes yeux. Je continue pendant ce temps à prodiguer deux caresses manuelles. Après environ une
minute qui m'a semble « reposante » Alex me reprend la texte, cette fois je ne me défends plus du tout et me réintroduit le sexe jusqu'au fin fond de la gorge pour y décharger sa semence. Il
reste ensuite immobile, ils sont maintenant trois à me pénétrer profondément; mais je m'étouffe et je suis obligée de le repousser énergiquement.
Je ne me suis même aperçue de rien mais quand Alex ressort je me rends compte que mes caresses manuelles ont été efficaces et que j'ai les bras et les seins couverts de sperme.
A son tour Robert se relève, son sexe semble encore dur, pourtant on voit bien le réservoir du préservatif plein à craquer. Il le retire et en verse le contenu sur mes cheveux ce qui rend
littéralement hilares ses amis. Je suis enfin débloquée et c'est moi qui me relève doucement accompagnée du black qui m'a sodomisé. Il ressort de moi, lui aussi semble encore en pleine forme.
Pourtant je ne vais pas tarder à voir qu'il a abondamment jouit. Car à la demande de ses amis c'est dans ma bouche qu'il vide le préservatif usagé. A peine le liquide dans ma bouche les cinq
hommes entonnent en coeur : « boit, boit, boit.... ». Je n'ai aucun goût pour le sperme mais je ne me sens pas de force à résister alors j'avale tout comme si c'était un nectar. Il presse le
préservatif pour en extraire jusqu'à la dernière goutte qu'il vide sur ma langue.
Je me relève, ils sont tous autour de moi et on l'air satisfaits de ma « prestation ». L'un deux propose d'aller se rincer dans la mer, je suis couverte de sueur de sperme et se sables des pieds
à la tête alors je ne me fais pas prier et j'accompagne les cinq hommes dans les vagues. Cela fait du bien de se sentir laver par les rouleaux de l'atlantique. Je m'y plonge jusqu'à la tête mes
cheveux étant collés par le sperme de Robert. Je reviens ensuite rapidement sur la plage ayant toujours une certaine appréhension lors des baignades de nuit, et la nuit est maintenant totalement
tombée.
Quand je reviens sur la plage les cinq hommes ont rejoints le sixième et sont regroupés autour de lui à proximité de la voiture. Je me sèche rapidement dans mon drap de plage, récupère mes
vêtements et objets personnels, quand j'entends la voiture qui démarre. Je me précipite ne voulant pas rester ici pour la nuit. Mais ils m'attendent, Robert est au volant, l'homme que je ne
connais pas a repris la place passager. Les autres sont comme à l'habitude remontés dans la benne. Alex quand a lui est au volant de ma voiture de location et m'attend avec la porte passager
ouverte.
Je m'installe et déjà le 4x4 s'éloigne, les ouvriers à l'arrière nous font au revoir de la main, visiblement ravis.
Nous reprenons le chemin sans beaucoup de discussion, je lui en veux de m'avoir trahie et même si son physique ne me laissait pas indifférente ce n'est pas dans ces conditions que j'aurais
souhaité m'offrir à lui. Alex me félicite tout de même en me disant que je suis encore meilleure que ce qu'il lui avait semblé et que tous ses amis avaient été comblés y compris Jean qui
garderait un très bon souvenir de cette sortie plage. Jean est l'homme que je n'ai presque pas vu qui était le passager de Robert.
Nous arrivons rapidement à l'hôtel, Alex gare la Clio sur le parking, me rend les clefs et s'éloigne vers un bâtiment annexe. Je regagne ma chambre, je suis fourbue et j'ai mal partout, partout
mais aussi et surtout aux fesses je j'ai littéralement en feu. Je demande mes clefs à la réception, la jeune hôtesse me les donne. Je me sens gênée, j'ai l'impression qu'elle devine ce que je
viens de faire, que ma démarche traduit les douloureuses pénétrations que j'ai subies. J'échange juste deux mots et rejoins sans plus attendre ma chambre ou je me fais couler un grand bain dans
le quel je reste des heures. J'en laisse même passer l'heure du repas.
Deuxième semaine
L'épreuve
La seconde semaine de congés est beaucoup plus calme, piscine et bar sont mes seules occupations. Je n'y revois pas Alex et je redeviens une sage touriste. Jusqu'au vendredi soir ou en remontant
dans ma chambre après m'être baignée toute la matinée, je trouve sur la table un splendide bouquet de fleurs tropicales, il y en a au moins cinquante de toutes les formes et de toutes les
couleurs. Un petit bristol blanc y est joint. Je le lis : En souvenir de notre après midi. Alex PS : rendez vous sur le canal 99 de ta télé. Intriguée je mets en service la télé et après quelques
difficultés avec la télécommande j'obtiens le canal 99. La je suis atterrée je revis en vidéo le viol que j'ai subi sur la plage, tout a été filmé, il n'y a certes pas de gros plans mais sous
différents plans il est très facile de suivre l'action. Quelques secondes après le téléphone sonne, c'est Alex qui me demande ce que je pense des talents de réalisateur de Jean. Je suis furieuse
et l'insulte copieusement. Il me dit alors très calmement qu'il ne m'autorisait pas de me mettre en colère et que si je voulais que ce petit film reste notre secret il allait falloir que je me
montre beaucoup plus coopérative. De colère je raccroche. Je suis sur les nerfs, je n'ai plus qu'une envie rentrer en France retrouver mon mari et tirer un trait sur tout cela.
Le téléphone sonne de nouveau, je ne décroche pas. Je m'allonge sur le lit et me mets à pleurer. Je pense que dès demain soir je serais de nouveau à Paris. On frappe à la porte je ne réponds pas.
Je vois alors qu'on glisse une enveloppe sous la porte. Le téléphone sonnera encore deux ou trois fois avant que je reprenne mes esprits et que je me décide à récupérer cette enveloppe.
L'enveloppe est adressée à Mr Michel M. 77 rue XXXX Paris 17ème, C'est notre adresse et le nom de mon mari. Elle contient une photo de moi sur la plage prise par tous les orifices et semblant y
prendre beaucoup de plaisir. J'explose en sanglots sur le lit et reste ainsi prostrée pendant des heures. Le téléphone sonne de nouveau, épuisée je décroche, je n'ai plus la force de me révolter,
j'entends Alex qui me dit : Alors ma belle, tu as lu notre petite lettre ; il ne tient qu'à toi qu'elle ne parte jamais. Mais il va falloir être plus obéissante. Je ne te veux aucun mal bien au
contraire, mais maintenant tu m'appartiens. Tu devras en tout lieu et en toutes circonstances faire ce que je te demande, sans quoi tu sera punie. Soit tu restes mon esclave soumise, soit ton
mari découvre ce que tu fais en vacances quand il n'est pas la.
Il n'attend pas ma réponse et raccroche. Je me refait une beauté et descends au restaurant le service va bientôt se terminer.
Je passe ensuite mon après midi à lézarder au soleil, autant en profiter car l'avion s'envole demain.
Abreuvée de soleil je remonte prendre une douche dans ma chambre, en rentrant je trouve sur la table une autre enveloppe. Celle-ci ne comporte aucune adresse, je l'ouvre elle contient une feuille
de papier et une autre enveloppe fermée sans adresse et pliée en deux. Sur la feuille est noté : Programme de la soirée : Après le repas tu prendras ta voiture de location et tu te rendra seule
dans le bar « Wana-Coco ». Tu t'installera à une table et commandera un punch coco. Tu repéreras une table avec un ou deux hommes seuls. Choisi les à ton goût. Tu ira ensuite vers cette table et
tu leur donnera la seconde enveloppe ensuite tu fera ce qu'il ou ils te demanderont. J'ai divisé le film de la plage en 6 séquences et si tu réponds à mes attentes ce soir tu auras racheté la
première séquence. Ouvre une boite à lettre Internet adresse moi un message à l'adresse Alex@XXXXXX.com et je t'enverrai la séquence rachetée.
Je ne sais pas ce que je dois faire, j'hésite à appeler mon mari à tout lui raconter. Mais je me dis qu'ils peuvent aussi envoyer le film à mes voisins. Nous devrons alors déménager voire changer
de travail. D'un autre coté je n'ai aucune assurance qu'ils ne garderont pas tout de même le film ou qu'ils en prendront un autre ce soir.
J'essaie de voir le contenu de la seconde enveloppe mais elle est fermée elle est un peu épaisse et semble contenir du papier et quelque chose d'un peu plus épais.
Je prends ma décision, j'irais et si cela se passe mal je raconte tout à Michel.
On ne m'a pas imposé de tenue vestimentaire pour cette sortie alors je choisi quelque chose de pas trop sexy même si sous ces latitudes je n'ai pas emporté de jupe longue ni de pantalon. Je
porterai donc un chemisier bleu ciel manches longues et une jupe courte noire fermée par le devant par cinq boutons.
A 20 heures je me dirige donc vers le « Wana-Coco ». C'est un petit bar situé sur la rue commerçante du village ou est l'hôtel. Il est entièrement en bois peint en jaune. Je me gare sans
difficultés à coté et rentre. Il y a une musique Zouk assez sympa, la clientèle est constitués à 50 % de touristes et à 50 % de locaux me semble il. Je m'installe à une des dernières table libre,
elle est situés tout au fond de l'établissement ce qui me permet de bien observer la salle. Au premier regard je ne vois aucune table avec un ou deux hommes seuls. Je commande rapidement un punch
coco, qui m'est servi presque instantanément. Je le bois doucement en observant la salle. Il n'y a aucune table avec un ou deux hommes seuls, soit ils sont trois ou plus, soit il s'agit de
famille avec femmes et enfants.
Il y a bien un homme seul mais il est au bar, après une demi heure je me dit que ma seule chance de réussir cette épreuve est de m'adresser à celui ci.
Il s'agit d'un européen, la quarantaine. Il est brun avec un début de calvitie des beaux yeux verts et une allure sportive.
Je fini le punch et aidée par l'alcool et l'envie d'en finir je trouve la force de me diriger vers lui et de lui donner mon enveloppe.
Il la prend et s'adresse à moi en me disant, c'est pour quoi? Je lui dit je ne sais pas, pouvez vous lire le courrier dans cette enveloppe. Il prend un air étonné mais ouvre tout de même
l'enveloppe, il en sort une feuille de papier, prend quelques instants pour la lire je vois qu'il semble sourire en lisant.
Il se retourne vers moi et me dit vous connaissez le contenu de ce message. Je lui réponds que non.
Il me le lit alors :
Bonjour Monsieur ou Messieurs ;
Si vous lisez ce courrier c'est que je vous ai choisi pour m'aider à expier mes fautes.
J'ai été mise à votre disposition de façon totalement gracieuse et désintéressée. Je dois faire votre bonheur et vous pouvez disposer de moi comme bon vous semblerez pendant 1 heure.
Pour prouver mon obéissance je dois rapporter le préservatif, joint à l'enveloppe, plein.
Si vous acceptez pouvez vous avoir l'obligeance de me lire ce courrier et de m'indiquer ce que vous souhaitez que je fasse.
J'ai les jambes qui tremblent et j'ai tout à coup la tête qui tourne. Je m'appui sur le tabouret à coté du sien. Il me propose de m'asseoir ce que je fais.
Il me demande si je veux boire quelque chose je lui dis que je suis à sa disposition. Au sourire qu'il esquisse alors je vois qu'il a compris que j'étais prête à aller jusqu'au bout et en semble
très satisfait.
Il m'offre un second punch et me raconte un peu qui il est et ce qu'il fait. Il est la pour son travail depuis deux mois et doit repartir en métropole demain. Il me pose aussi quelques questions
sur moi et sur le pourquoi de cette démarche. Je lui dis que je préférerais ne pas répondre et il n'insiste pas.
Je vois qu'il ne sait pas ou n'ose pas être plus direct aussi je prend un peu les choses en main. Je suis la pour racheter une séquence vidéo pas pour faire la discussion. Je lui propose de
l'accompagner dans le WC pour m'y mettre à sa disposition.
Il accepte et se dirige immédiatement vers les toilettes, je lui emboîte le pas. Les toilettes sont dans la cour. Il y a un WC homme un WC femme. Je lui propose d'aller dans celui homme.
L'endroit n'a rien à voir avec les toilettes de Ritz. C'est exigu et aucune femme de ménage n'a du y passer depuis bien longtemps. Je rentre en première et nous avons beaucoup de mal à refermer
la porte lorsque lui est rentré aussi. Il y a un jour sous la porte d'au moins vingt centimètres, il ne sera pas facile d'être discrets. Je me tourne face à lui commence à caresser son sexe au
travers de son short. J'ouvre sa braguette et tente d'attraper son sexe mais je suis gênée par son slip. Il m'aide et ouvre son short qui tombe à ses chevilles. Je peux alors saisir son sexe avec
ma main, il est tout petit et pour le moment sans aucune vigueur. Je baisse l'abattant des toilettes et m'assied face à lui. Je prend son sexe en bouche et tente de lui donner un peu plus de
solidité. Après quelques minutes de ce traitement le patient va déjà beaucoup mieux, ce ne sera jamais Rocco Siffredi mais nous devrions pouvoir réussir mon épreuve. Malheureusement j'ai peut
être été trop gourmande mais alors que je pense à ressortir son sexe pour le recouvrir du préservatif, il jouit sans me prévenir. Je reçois une première giclée de liquide chaud dans le fond de la
bouche. Instinctivement je le repousse mais les toilettes étant extrêmement petites je ne peux éviter de prendre sur moi les salves suivantes. De toute évidence voici bien longtemps qu'il n'avait
eu l'occasion de baiser. Résultat j'ai une giclée de sperme sur le visage deux sur le chemisier, cinq ou six gouttes sur la jupe mais rien dans le préservatif. De plus son sexe redevient
immédiatement flasque. Je suis très déçue et cela doit se voir car il est confus et bredouille des explications incohérentes. Je ne peux pas en rester la et je ne me vois pas aller voir d'autres
hommes dans mon état. Mon chemisier ne laisse aucun doute sur l'origine des taches qui le maculé. Il est bleu ciel et les taches de spermes apparaissent très clairement en bleu marine.
Mon partenaire a compris mon désarroi et me propose d'essayer de nettoyer mon chemisier au lavabo pendant que je l'attends dans les WC. Je lui réponds très sèchement qu'il se débrouille pour
rebander le plus vite possible et qu'il me laisse m'occuper de mon chemisier. Ce n'est certainement pas la meilleur façon pour lui redonner confiance, mais il prend si je peux dire les choses en
main et s'y emploi énergiquement. Pendant ce temps je retire comme je peux avec un peu de papier toilette le sperme de mon chemisier et de ma jupe. A ma grande surprise il reprend rapidement de
la vigueur, dès que cela me semble avoir pris une taille raisonnable, je l'invite à enfiler le préservatif. Ce qu'il fait rapidement, heureusement car dès que sa caresse manuelle celle son sexe
reperd toute vigueur. Il reprend rapidement un mouvement de va et vient et me demande de la reprendre en bouche ce que je fais de mon mieux. Nous alternons comme cela pendant pas moins d'une demi
heure des caresses buccales et manuelles. Il fait une chaleur torride dans ces toilettes et nous transpirons tous deux à grosses gouttes cela doit même commencer à sentir le caoutchouc brûlé. Il
me demande alors de ma relever de me tourner face aux toilettes. Il relève ma jupe, fait glisser latéralement la lanière arrière de mon string et me pénètre le sexe. On ne peut pas dire que
j'avais vraiment mouillé, mais je m'écarte les fesses au maximum pour l'aider à me pénétrer. Il reprend aussitôt un va et vient frénétique absolument pas existant. J'ai vraiment l'impression de
baiser avec un lapin, mais enfin il jouit de nouveau. J'en pousse un râle de soulagement qu'il a du prendre pour un râle de plaisir. Je me retourne et lui retire le préservatif et fais un noud
pour conserver la preuve que l'on me demande.
Mon chevalier servant se reculotte rapidement et nous sortons, il y a la deux blacks qui nous regardent avec un air amusé. Je ne sais pas depuis combien de temps ils attendent devant les
toilettes. Je le remercie et ressors du café sans demander mon reste. Je traverse toute la salle, il me semble que tous les yeux sont rivés sur moi. Je regagne rapidement ma Clio et rentre à
l'hôtel. Je récupère mes clefs à l'accueil ou la encore j'ai 'impression d'être dévisagée par l'hôtesse que j'ai pourtant déjà vu plusieurs fois. J'arrive dans ma chambre et vais immédiatement
prendre une douche, je me regarde dans la glace et comprends avec horreur pourquoi tout le monde me regarde si bizarrement ce soir. Si les taches sur ma jupe sont peu visibles, celles sur le
chemisier sont visibles comme le nez au milieu de la figure, ce que j'ai fait avec le papier toilette est pire que mieux. Mais surtout je n'ai pas nettoyé le sperme que j'ai sur la figure, j'en
ai sur le front, le coin du nez et le menton. Avec la sueur je n'ai rien senti et je suis vraiment morte de honte, j'espère que je ne reverrai jamais les clients du café ni l'hôtesse de ce
soir.
Je ne suis pas encore sous la douche que le téléphone sonne, c'est Alex il me dit qu'il vient de prendre son service à l'accueil et qui me demande de lui apporter immédiatement la preuve de ma
réussite. Je prends tout de même le temps de me rincer le visage et je descends à la réception. Il m'attend avec un large sourire qui fait ressortir la blancheur de ses dents, je m'aperçois que
l'hôtesse qui finissait tout à l'heure son service est encore présente dans le bureau juste derrière l'accueil. Lorsque j'arrive près d'Alex l'hôtesse se retourne et vient le rejoindre derrière
le comptoir. Alex s'adresse à moi en disant : je crois que tu as quelque chose pour moi. J'hésite à cause de la présence de l'hôtesse. Il insiste j'attends. Je pose sur le comptoir le
préservatif. Il se tourne vers l'hôtesse et lui dit : Tu vois Barbara, tu ne voulais pas me croire, mais c'est bien souillée de sperme qu'elle est venue te demander ces clefs. Elle n'a aucune
retenue. C'est une vraie nymphomane une salope comme on n'en rencontre que rarement. Il se tourne vers moi et me dit : je crois que nous n'avons plus besoin de toi.
Je tourne les talons et remonte dans ma chambre, je me sens humiliée, plus encore qu'après avoir été prise sur la plage.
Le lendemain je n'ai qu'une envie prendre l'avion. Bien que mon avion ne décolle qu'à 18 heures je me rends dès 11 heures à l'aéroport. Je ne revois plus Alex avant mon départ et en éprouve un
certain soulagement.