Je suis née le 1er avril 1980 à Paris. Ma mère est Suédoise et ancien mannequin, mon est père Argentin et architecte. J’ai été élevée dans famille formidable, j’ai un frère plus âgé de 12 ans que j’adore, et qui est retourné vivre dans le pays d’origine de ma mère.
Mon enfance s’est passée sans encombre, dans un esprit de famille soudée. Ma mère, de ses origines, a toujours été très libre d’esprit concernant son corps, et au plus loin que mes souvenirs m’emmènent, je l’ai toujours vu dans le plus simple appareil à la maison et ailleurs. Mon père plus réticent, a fini par céder aux désirs de sa femme, et là aussi il a trouvé dans cette forme de vie un épanouissement qui a certainement contribué à sa réussite sociale.
Je me souviens, je devais avoir huit ans, nous étions en vacances dans une villa louée sur les hauts de Cannes pour les vacances. C’était après le déjeuner, il faisait très chaud, et avant d’aller se baigner dans la piscine de la propriété, je faisais une sieste.
Sans doute à cause de la chaleur, je n’ai pas réussie à m’endormir. Je me suis levée, et en descendant à la cuisine pour boire un verre d’eau. Je passais devant la porte de la chambre de mes parents, j’entendis des gémissements. Intriguée je collais mon oreille à la porte et j’entendais ma mère gémir de plus en plus. Voulant en savoir un peu plus et un peu inquiète, je faisais le tour pour passer par la terrasse.
Arrivée devant la fenêtre ouverte de leur chambre, j’ai vu mes parents en pleins ébats amoureux. Curieuse comme j’étais et comme je suis toujours, j’ai continuée à regarder. J’étais très impressionnée, par ce qu’ils faisaient, quand j’ai vu mon père, la tête entre les cuisses de ma mère, puis ma mère avaler le sexe de mon père, un malaise s’est installé en moi, puis ma mère s’est mise sur mon père et je les ai entendu crier presque en même temps.
C’est à ce moment que ma mère m’a vue derrière le rideau. Je suis partie en courant vers la piscine. Elle m’a rattrapée et là, ou je m’attendais à recevoir une fessée, elle s’assit en face de moi et m’expliqua : « Tu sais me dit’ elle, maintenant que tu nous a vu, ton père et moi faire l’amour, tu sais comment on fait les bébés, il faut beaucoup d’amour et de tendresse, et c’est pourquoi, lorsque nous avons fait l’amour pour te concevoir, nous avons tellement pensée à toi, que nous t’aimons autant ».
J’ai embrassée ma mère, mon père est arrivé à ce moment là, et je les ai serrées très fort dans mes bras.
Maintenant je savais ce que c’était : faire l’amour.
Quatre années passèrent, sans problème, trimbalée d’une école à une autre, j’ai quand même réussie à être une bonne élève. J’avais une soif d’apprendre.
Sur le plan sexuel, ma mère m’avait tout expliqué, et dès que j’ai été réglée, elle me fit prendre la pilule, en me disant que ce n’était pas une raison pour coucher avec le premier garçon venu, mais que c’était une précaution.
Elle savait de quoi elle parlait, en Suède à l’âge de quinze ans elle été abusée par un des amis de sa mère, et elle est tombée enceinte. Elle a avortée de cette union forcée. C’est la raison, pourquoi elle à prise pour moi cette précaution.
En juillet de la même année, nous avons passé plusieurs week-ends chez des amis de mon père, architecte comme lui, dans une propriété en Sologne vers Lamotte Beuvron. Je me souviens de cette grande maison, une ancienne ferme complètement réaménagée avec un goût extrême. Des corps de bâtiments annexes, il en avait fait des résidences pour ses invités, avec tout le confort, je me souviens des salles de bain immenses, avec jacuzzi, et tout un matériel de musculation.
Mes parents avaient leur maison et moi la mienne, Quel pied ! Ces amis avaient une fille de 18 ans, Sarah, bêcheuse comme ce n’est pas possible et jalouse de toutes les filles qui tournaient autour de son frère, et un fils de 14 ans, Mathias, super sympa, à l’inverse de sa sœur. Il était aussi brun que j’étais blonde et assez joli garçon.
Après le déjeuner, il me proposa de faire une ballade en vélo dans la propriété. La frangine proposa de nous accompagner, Mathias l’envoya promener en lui disant, « quand je te propose d’aller se balader en vélo, tu ne veux jamais alors tu restes là et tu ne nous suis pas ». Je demandais l’autorisation à mes parents, et ils acceptèrent. Je remarquais à ce moment là un petit sourire sur les lèvres de ma mère. Ce doutait-elle de quelque chose, l’intuition féminine peut-être.
Nous avons roulé pendant quelques kilomètres, Il faut dire que la propriété faisait 120 hectares, de forêts, d’étangs et de prairies. Nous sommes arrivés au bord d’un étang aménagé, avec une petite plage de sable, une cabane de pêcheur avec tout le confort pour passer une journée au bord de l’eau.
Il me proposa de se baigner. J’hésitais car comme à mon habitude, je ne portais rien sous ma robe. Il ne comprit pas tout de suite mon hésitation, et je lui avouais que je ne portais pas de culotte. Il devint écarlate, se ressaisi, et se déshabilla complètement en me disant, « moi non plus ». Je passais donc ma robe par-dessus la tête, et pour la première fois, je me trouvais seule et entièrement nue devant un garçon. On est entré dans l’eau et avons nagé un moment. Il évitait de venir trop près de moi, et j’en étais presque frustrée.
Même au mois de juillet l’eau n’était pas très chaude, et nous sommes assez vite sortis. Il alla dans la cabane chercher des serviettes de bain, et nous nous sommes allongés sur le sable. Lui regardait le ciel, et moi je le regardais. Il s’en aperçu et rougis un peu. C’est alors qu’il se rapprocha de moi et osa poser une main sur mon sein. Je le laissais faire, il me demanda « quel âge as-tu ? », « moi, j’ai 14 ans le même âge que toi », il me cru et s’encouragea a venir encore un peu plus prêt et il m’embrassa sur la bouche. Etant parfaitement au courant que lorsqu’un garçon fait ce genre de chose à une fille, une réaction physique se produit, ce qui fût le cas.
J’ai senti sa main devenir de plus en plus présente sur mon corps, et lorsqu’il atteignit mon sexe, je m’ouvris et il me caressa longuement et profondément.
Je sentis sa langue lécher et titiller mon clitoris, puis pénétrer doucement l’intérieur de mon vagin, il continua un bon moment, sans que je comprenne très bien ce qui m’arrivait, je joui pour la première fois. Il avait fait ça avec douceur, et une technique que beaucoup d’hommes que j’ai connues depuis n’avaient pas.
Après un bref moment, il me murmura à l’oreille « tu veux me faire la même chose ?». Après ce qu’il m’avait fait, je ne pouvais pas lui refuser. Et pour la première fois, je prenais un sexe d’homme dans ma main, le portais à la bouche, et d’une façon maladroite commençais à le masturber. Il me fit quelques réflexions sur ma technique, je rectifiais mes erreurs, ce qui à eu pour effet de le faire jouir aussitôt. Surprise, mais trop tard, je me retrouvais avec tout son sperme dans la bouche. Il me regarda, et me dit « avale ». J’ignorais qu’on pouvait faire ça, et j’ai obéie. Ce fut délicieux et pour lui et pour moi.
Après cette aventure, je me sentais plus une enfant de 12 ans, mais une jeune fille qui connaissant ce qu’un garçon pouvait donner comme plaisir à une fille, et encore il me restait encore une chose à découvrir, faire l’amour.
Nous nous sommes rhabillés, repris nos vélos et sommes arrivés à la maison. Nous avons trouvés nos mes parents allongés au bord de la piscine, dans le plus simple appareil comme d’habitude. J’ai constatée sur le visage de ma mère le même petit sourire que lorsque nous sommes partis. Là je crois qu’elle avait compris ce qui m’était arrivée.
Je me suis toujours demandé par la suite, si leurs soirées n’étaient pas agrémentées de partages de partenaires.
Après le diner, et quelques moments passés sur la terrasse devant la piscine, ma mère me dit d’aller me coucher, j’ai dis au revoir à tout le monde et lorsque j’embrassais Mathias, je l’entendis me dire à l’oreille, « à tout à l’heure ».
Je ne sais pas si ma mère m’a vue rougir à cet instant, mais j’étais très troublée. Allait-il se passer la même chose que cet après midi, ou je franchirais le pas, et connaitrais ce que je lui avais refusé cet dans la journée ?
Je rentrais dans mon bungalow, et prenais la précaution de ne pas fermer la porte à clé. Je pris une douche, et m’installa dans le jacuzzi. Le temps est devenu interminable et après plus d’une heure d’attente, j’ai entendu frapper à ma porte, puis une voie me dire « c’est moi » ça je m’en doutais ! je lui criais : « dans la salle de bain ». Visiblement il ne s’attendait pas à me trouver dans l’eau. En une seconde il fut nu, et entra dans l’eau.
Ce qui suivit fut magique, pour la deuxième fois de la journée, nous nous sommes mutuellement fait jouir, mais il restait toujours à franchir le dernier pas, et comme je lui avais dit que je n’étais pas prête, en gentleman, il n’osait pas. C’est moi qui ai pris les devants. Nous sommes sortis de l’eau et sur le lit, et je lui demandé se s’allonger sur moi, il me caressa et embrassa longuement mes seins, je senti son sexe se tendre et très lentement, ne voulant pas brusquer les choses, il me pénétra, j’écartais mes jambes le plus possible, et après quelques va-et-vient, trop excité sans doute, il a joui.
J’étais un peu frustrée que ce n’ai pas duré plus longtemps. Après récupération de sa part, je lui proposais de recommencer. Il ne se fit pas prié, et là, un peu « vidé », je l’avais fait jouir quatre fois, ce fut le bonheur pour moi. C’était fait j’avais fait l’amour.
Le lendemain, ma mère me demanda si j’avais bien dormi ? « Très bien, je me suis endormie presque immédiatement » je lui répondis, alors elle m’avoua avoir vu Mathias sortir de la maison et se diriger vers mon bungalow. J’ai rougie très fort et lui avoua que j’avais fait l’amour avec lui. Elle me prit dans ces bras, m’embrassa et je vis au coin de ses yeux, une petite larme coulée, sans doute se souvenait-elle ce qui lui était arrivé à 15 ans, alors qu’elle était encore vierge. Avant de partir, j’ai avoué à Mathias que je n’avais que 12 ans. Il me regarda presque avec effroi, et il me dit que si continuais comme ça dans la vie, j’allais faire des heureux.
Je revis pendant quels temps Mathias, et puis nous avons déménagé à nouveau, et je l’ai perdu de vue pendant quelques années. Nous nous sommes rencontrés par hasard lors d’un vernissage à Paris en 2006, Il est marié avec une sublime brune, argentine comme mon père il faut dire que ses parents étaient des amis de mon père.
L’année suivante, nous sommes partis à Bordeaux, j’ai perfectionné avec quelques garçons mes techniques amoureuses. J’ai terminée mes études jusqu’en troisième dans une école privée très strictes ou j’étais pensionnaire. Dans cette école mixte, j’ai connue un garçon avec qui je suis restée sa petite amie. Notre jeu favori, s’envoyer en l’air dans tous les endroits de l’école en dehors des heures de cours, dans les douches, les salles de travaux pratiques, la salle de gym, dans les chambres que je partageais avec deux autres filles.
Elles n’ont jamais rien dit, car elles ont profiter elles aussi des assauts de mon ami. Je ne suis pas jalouse et c’est là que j’ai fait l’amour avec une fille pour la première fois. Elle s’appelait Marie, elle portait mal son nom car le jour ou elle aura un enfant, c’est qu’un homme l’aura conçu. Elle aimait ça presque autant que moi, j’ai découvert aussi qu’une femme savait mieux sucer le sexe d’une femme qu’un homme, peut-être ressent’ elle mieux les réactions de sa partenaires puisqu’elle connait son propre sexe.
Pour terminer sur cette période, j’ai passée dans cette école des moments très excitants et découvert d’autres plaisirs.
à suivre.....
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