New York le 02 mars
De retour à New York après notre séjour en France, nous avons retrouvé avec plaisir notre chez soi. John nous attendait avec Bruno à l’aéroport. Le soir pendant le diner, John me questionna pour savoir ce que j’avais fait à Lyon comme folie de mon corps. Je lui racontais les différentes soirées auxquelles j’avais participée avec Justine. Ils nous écoutaient tous les deux avec attention, mais je sentais monter une tension érotique. John me raconta également ses soirées, elles ne furent pas triste non plus. La nuit de nos retrouvailles fut torride.
Les semaines suivantes se sont déroulées dans le calme, avec visites des travaux de ma galerie et prises de contacts pour l’inauguration, le carnet d’adresses de John m’aidant considérablement pour les invitations.
Un soir, après le diner, nous sommes allez dans le salon salle vidéo, John avait quelque chose à nous montrer. Nous nous sommes installés dans les canapés, et John nous dit que comme Justine avait émis le souhait de participer à une soirée SM, il s’était procuré une vidéo tournée dans une soirée privée. Puis s’adressant à Justine il lui dit qu’après avoir vu ça, il doutait fort qu’elle persiste dans son envie de tester sur elle des traitements de souffrance extrêmes. Puis il mit en marche le DVD.
La scène se passait dans une pièce aménagée en salle de tortures. Un homme et une femme tout de cuir vêtu, lui laissant apparaître uniquement son sexe, la femme, les seins étaient libres ainsi que son sexe. Ils portaient tous les deux une cagoule en cuir. Dans cette pièce il y avait toutes sortes d’instruments, une croix de Saint André, un banc d’élongation, un tabouret dont l’assise était recouverte de punaises érigées les pointes vers le haut. Sur les murs une multitude de fouets, cravaches, menottes, pinces en tous genres, de cordes, il y avait également une potence, une lourde table munis d’anneaux sur toute la longueur, une autre table sur laquelle était posée des boites métalliques, des bougies dans des verres étaient allumées etc..
Sur un côté de la pièce était alignées une vingtaine de chaises pour les spectateurs. Justine regardait tout cela d’un œil visiblement très intéressé. Les bourreaux firent entrer les spectateurs qui prirent placent sur les chaises. Tous portaient des loups noirs qui empêchaient de voir leur visage. Une majorité d’hommes était présents. Puis ils amenèrent une femme entièrement nue. Elle portait aux chevilles des entraves en cuir munis d’un anneau métallique, sa tête était recouverte d’un sac de jute, ses mains dans son dos étaient entravées également par ces mêmes bracelets. Ils lui retirèrent le sac, son visage était juvénile, cette fille ne devait pas avoir plus de vingt ans. Elle était grande, blonde, avec des seins volumineux aux pointes brunes, son sexe était complètement épilé. On distinguait de grandes lèvres entre ses cuisses. Elle portait autour du cou un collier muni également d’anneaux métalliques.
Ils la présentèrent au public qui applaudit à cette présentation, visiblement satisfait de la beauté de cette fille. Ils attachèrent ensuite ses menottes à un anneau sur la potence. La femme pris alors une boite, et annonçât : « C’est la première fois que cette fille participe à ce type de soirée, donc Il y aura que cinq supplices, vous tirerez un papier dans cette boite, sur chacun des papiers est écrit le supplice que nous devrons exécutés sur cette fille. Il y a dans cette boite vingt papiers, cinq sont relativement soft, cinq autres plus hard, cinq autres hard et les cinq derniers vraiment très hard. » Puis s’adressant à la fille elle lui demanda de dire si elle était d’accord pour subir toutes les tortures proposées, elle répondit « oui » sans hésiter. Nouveaux applaudissements de l’assistance. Et la séance commençât.
La femme s’approcha du premier spectateur, il prit un papier dans la boite, l’ouvrit et lu : Suspendu par les mains à la potence, elle devra subir cinq coups de fouet à plusieurs lanières, cinq autres avec un fouet à une lanière, cinq autres avec un fouet à lanière tressée, et les cinq derniers avec une corde métallique. Ca commençait fort.
Aussitôt ils saisirent la fille, ils attachèrent aux bracelets de ses mains une corde qui pendait de la potence, et ils la suspendirent à cinquante centimètres su sol. Elle prit le premier fouet et elle frappa. Le premier coup arriva sur le dos, mais comme la fille tournait suspendue au bout de sa corde, le second arriva sur le ventre. Elle frappait fort, sans ménagement, la fille grimaçait, elle continua jusqu’au cinquième coup et changea d’instrument. Ce fouet à une lanière claqua et toucha les deux seins et aussitôt apparu une balafre rougeâtre. Deuxième coup sur les fesses, même traces puis dans un même élan elle reçu des trois autres coups. La fille commençait à se débattre dans ses liens.
L’homme s’approcha d’elle munis d’un bâillon, une boule de caoutchouc dans la bouche, et attaché derrière la tête. Il se saisit du troisième fouet d’une longueur d’environ un mètre il était tressé et son extrémité était muni d’une fine lanière. Il s’approcha de la fille, la positionna pour que le premier coup arrive sur le dos, et il frappa. Ce n’était plus les mêmes coups de la femme, il frappait de touts ses forces. Et il continua, sur le ventre, les seins, les fesses. Au cinquième coup le corps de la fille était strié de marques de plus en plus profondes. A ce moment là, la caméra filmait les spectateurs qui applaudissaient. Il reposa le fouet et prit alors le dernier instrument de torture. Il s’agissait d’un câble fin en acier d’un bon mètre de long, auquel était fixé à chaque extrémité, une petite poignée en bois Il plia le câble en deux et se tournant face à fille il assena un coup violent sur les seins. Une double ligne sanglante apparue immediatement, mais ça ne l’arrêtait pas, il recommença au même endroit, la fille gigotait dans tous les sens les yeux hors de la tête, elle devait souffrir le martyre. Les trois autres coups elle les a reçus sur le ventre, le dos et les fesses.
Ils la détachèrent, la firent assoir sur un tabouret et ils nettoyèrent ses plaies. Comment cette fille allait-elle pouvoir subir quatre autres supplices plus ou moins violents. Au bout de cinq minutes elle était prête pour la suite. On présenta la boite au public et c’est une femme qui tira le papier. On devait faire assoir la fille sur le tabouret munis des punaises devant une table ou était posé une planche avec également tout une série de punaises têtes en l’air. Ils mirent le tabouret devant la table, prirent la fille chacun par un bras, et ils l’obligèrent à s’assoir, la fille cria dans son bâillon, puis une fois assise ils la prirent par les épaules la penchèrent en avant les seins au dessus de la planche et ils l’appuyèrent de toute leur force faisant entrer les punaises profondément dans ses seins. Ils la laissèrent pendant quelques instants dans cette position et la relevèrent. La grande majorité des punaises restèrent plantées, particulièrement sur les mamelons. Ils la levèrent ensuite, laissant apparaitre sur ses fesses une multitude de petits trous d’où perlaient des gouttes de sang.
Après une nouvelle séance de soins rapides, la boite fut présentée au public. Visiblement le sort s’acharnait sur elle. Le troisième supplice faisait partie des plus hard de la boite. Il était écrit : allongée sur la table les mains et les pieds entravés, les jambes ouvertes au maximum, elle allait subir l’implantation de douze aiguilles dans chaque sein, dix autour du mamelon et de deux en croix sur ses bouts de seins, de cinq aiguilles sur chacune des lèvres de son sexe plantées de l’extérieur des lèvres vers l’intérieur, et de deux aiguilles plantés directement dans le clitoris. Elle eut un moment de panique à la lecture de la sentence. Mais elle n’eut pas le temps de réagir, mise sur la table, les mains et les chevilles attachées aux anneaux de la table, Une sangle passait sur son ventre et deux autres sur chaque cuisses l’immobilisant complètement.
La femme se dirigea vers la table, prit une boite métallique, elle contenait toute une série d’aiguilles médicales de toutes longueurs. Elle sorti la première aiguille, elle était longue d’environ cinq centimètres, elle la planta directement sur le sein de la fille, l’enfonçant de deux bons centimètres. Les vingt aiguilles plantées ainsi elle termina en perçant en croix les bouts de ses seins des quatre dernières aiguilles. S’approchant ensuite du sexe largement ouvert de la victime, Tirant sur la lèvre, elle enfonça l’aiguille jusqu’à la faire ressortir de l’autre côté. Et ainsi de suite avec les cinq aiguilles de chaque côté. Le plus dur restait à venir, elle choisit une nouvelle aiguille plus fine mais aussi longue, l’approcha la pointe visant la base du clitoris et l’enfonça de toute sa longueur la faisant ressortir trois centimètre plus haut.
Elle fit la même chose avec la deuxième. La fille se tordait. A ce moment de la vidéo, je regardais Justine, elle semblait dans un autre monde, elle regardait l’écran sa main sous sa robe entre ses cuisses. Elle semblait jouir de la situation de cette fille. Pour avoir connu cette souffrance (voir la soirée des échanges) je ressentais en moi la douleur que devait ressentir la fille.
La vidéo continuait, ils détachèrent la fille, remise debout ils l’obligèrent à marcher, mais en resserrant les jambes, les aiguilles plantées dans ses lèvres, entrèrent profondément dans son sexe, celles de gauche dans les lèvres de droite et inversement. Elle s’écroula sur le sol, les jambes ouvertes des filets de sang coulaient de son sexe. Ils le replacèrent sur la table et une par une ils retirèrent les aiguilles.
Après de nouveaux soins rapides, il restait deux nouvelles épreuves. La boite fut présentée à nouveau. Le sort fut plus clément, Elle devait faire une fellation au maître de maison et un lèche minou à la femme. Elle prit cette punition comme une récréation, après avoir fait éjaculer l’homme au fond de sa bouche, elle s’attaqua au clito de la femme, celle-ci l’obligea à boire jusqu’à la dernière goutte, en lui maintenant la tête entre ses cuisses, le jet de sa jouissance.
A ce moment là, Justine n’en pouvait plus elle était blotti contre Bruno. Que ressentait-elle ? Visiblement le spectacle lui plaisait, je ne connaissais pas ce côté de Justine et je m’inquiétais du résultat de cette vidéo qui pourrait bien avoir un effet inverse à celui recherché.
Et la séance continua, un nouveau papier fut tirer au sort. Le supplice consistait a faire assoir à cheval sur une sorte de demi tonneau, les jambes tombant de chaque côtés, sur ce tonneau deux phallus d’une quinzaine de centimètre en latex était fixés avec sur le devant de l’un deux une excroissance. Ils portèrent la fille la firent mettre à califourchon, les deux phallus en face de ses orifices intimes. Ils la firent descendre, elle était pénétrée entièrement, l’excroissance venant juste se positionner sur le clitoris. Ils lui attachèrent les jambes au support et les mains derrière la tête à un anneau de son collier, une corde attaché à la potence la faisait tenir verticalement. La femme annonça que la séance allait durer vingt minutes sans aucun arrêt. Elle prit un petit boitier relié à l’engin de torture et appuya sur un bouton, un ronflement se fit entendre, les deux sexes en plastique montaient et descendaient à l’intérieur du corps de la fille et celui de devant vibrait directement sur son clito.
Les cinq premières minutes furent pour la fille un réel plaisir intense de jouissance, mais quand cette jouissance dure, et qu’elle n’est plus contrôlable, elle se transforme en supplice atroce. C’est ce qui se passa, elle gémissait se tordait, mais rien ni faisait, au contraire, la femme tourna un bouton et les mouvements s’accélérèrent. Elle bougeait de plus en plus, des larmes dans ses yeux apparurent, elle suppliait du regard pour qu’on arrête, mais le supplice continuait. Au bout des vingt minutes, quand tout s’arrêta, la fille était complètement dans les vapes. Une fois descendue, elle ne tenait pas debout. Il restait encore une épreuve. La femme s’approcha d’elle, la regarda fixement dans les yeux et lui demanda, si elle voulait s’arrêter là, dans un murmure elle dit non.
Aussitôt elle fut amenée au dessous de la potence d’où pendait une drôle de balançoire. Elle était composée d’une bande de mousse sur laquelle était fixé des pointes acérées de eux centimètres. On la fit monter sur deux tabourets, et elle enjamba cette balançoire, son sexe était juste au dessus des pointes. Elle passa ses pieds dans deux cordes pendantes de chaque côté et les mains à deux autres cordes raccordées à des poulies. Le Maitre retira les tabourets et elle se retrouva suspendue. On lui annonça qu’elle restera 10 minutes dans cette position. Pour ne pas descendre et s’empaler sur les pointes elle devait serrer les jambes au maximum.
La fatigue aidant elle descendait régulièrement jusqu’à toucher les pointes. Au bout de 5 minutes elle n’avait plus la force de résister et les pointes s’enfoncèrent dans son entre-jambes. Elle eu la force de remonter, mais deux minutes plus tard elle était complètement assise sur les pointes. Elle resta ainsi les pointes enfoncées dans les lèvres de son sexe. Au bout des dix minutes, on la fit descendre. De son sexe coulait des filets de sang.
Il y eu encore quelques images, puis la vidéo s’arrêta. Nos regards se sont portés sur Justine, elle était dans un état ou je ne l’avais jamais vu. John lui dit : « alors après avoir vu ça, toujours décidée à essayer ? » Elle le fixa de regard et répondit : « plus que jamais » ! Ce que j’avais imaginé arrivait, Bruno la regardait complètement ahuri par sa réponse, « Mais tu es folle de vouloir faire ça » lui dit-il. Sa réponse fut « Non je ne suis pas folle, si cette fille la fait je peux le faire, je veux essayer. » et elle ajouta « John contact ces gens là le plus tôt possible ».
La fin de la soirée fut un peu triste, nous étions tous les trois décontenancés par sa décision. Je demandais à John si il n’y avait pas un moyen de la convaincre de ne pas faire cette expérience, il me répondit qu’il ne voyait pas comment, mais qu’il allait voir avec les organisateurs de ces soirées pour qu’ils modèrent les supplices proposés.
Quinze jours plus tard, le rendez-vous était pris pour la soirée de Justine. John avait négocié avec les organisateurs pour qu’il y ait dans la boite que des épreuves plus soft. Nous sommes arrivés le soir dans cette salle de torture, contrairement à ce j’avais proposé, Justine avait demandée qu’il y ait des spectateurs et s’adressant à ces bourreaux elle exigea que les épreuves soient au moins aussi hard que celle de la vidéo et que les cinq épreuves aillent à leurs termes. Tout le plan de John s’écroulait. Résignés, nous nous sommes assis au premier rang. Et nous avons attendu, le cameraman filmait la scène. Ce que nous n’avions pas vu sur la vidéo, c’est que sur les murs de chaque côté de la pièce, étaient disposés des grands écrans de télé, qui permettaient aux spectateurs de voir les gros plans filmés.
Il y avait plus de monde que sur la vidéo. Justine apparue complètement nue, dans la même posture que sur la vidéo. La femme lui demanda si elle était d’accord pour subir les épreuves qui allaient lui être imposées. Elle répondit d’un oui net et sans appel.
La femme me proposa de tirer le premier des cinq papiers contenus dans la boite, je refusais et demandais que ce soit un spectateur qui décide à ma place. Ce qui fut fait. Le papier disait : Epreuve électrique. C’est une épreuve que nous n’avions pas vu sur la vidéo.
Justine fut amenée sur la croix de Saint André, les mains et les pieds attachés au quatre coins. L’homme s’approcha d’elle, il plaça des petites pinces munies de petites dents sur chacun de ses tétons, elle grimaça mais sans plus, deux autres pinces furent placées sur les lèvres de son sexe, et la dernière sur son clitoris. Il raccorda les pinces à un boitier d’où sortait 5 fils électriques, il se recula, appuya sur un interrupteur, et tourna doucement un bouton. La décharge électrique aux endroits les plus sensibles de son corps a fait Justine se cabrer dans ses liens. Il tourna à nouveau le bouton en augmentant la puissance. Elle cria sous la douleur, et il continua, le bouton était gradué de 1 à 10 il n’était qu’à la moitié. A force 7 , Justine avait des larmes dans les yeux, mais elle n’abdiquait pas. Nouvelle décharge à 9, Elle fut prise de tremblements qui ne cessèrent qu’avec l’arrêt du courant. Il tourna une dernière fois le bouton sur 10, elle recevait sur ses seins et son sexe 20 000 V, les mêmes décharges électriques que certaines matraques du même style. Il laissa environ cinq secondes la décharge et coupa le courant.
Justine était affalée sur sa croix maintenue par les poignets, son menton sur sa poitrine. Ils lui retirèrent les pinces qui laissèrent des petites traces, mais sans plus. Puis ils la couchèrent sur la table pour qu’elle récupère. Je regardais John et Bruno, ce dernier était blême. Comment sa Justine pouvait aimer souffrir de la sorte.
Au bout d’un quart d’heure, remise de ses émotions elle attendait avec sérénité la suite. Le second papier tirer annonçait le supplice du fouet. Je priais tout bas pour qu’ils ne frappent pas trop fort. A la place des quatre fouets différents de l’autre fois, cette fois-ci il n’y en aura qu’un seul, le nombre de coups étant déterminé par un tirage au sort. On proposa à un spectateur de lancer 5 dés, l’addition des points déterminant le nombre de coups. Ca pouvait faire 6 comme 36. Le résultat fut 3x6 -1x5 - 2x3. Justine allait recevoir 31 coups de fouets. Ce n’était pas fini, un spectateur devait donner un nombre entre 1 et 10. Il répondit 7, l’homme alla vers le mur, et prit un fouet portant une étiquette que nous ne pouvions pas voir et portant le numéro 7. Il s’agissait d’un fouet tressé, le même que sur la vidéo, elle avait pour le moment échappée au fil métallique.
Ils allèrent chercher Justine, ils lui attachèrent les pieds à une barre qui lui écartait les jambes largement, la barre fut attachée à une corde, et Justine se retrouva tête en bas à cinquante centimètres du sol, son corps à la merci du fouet qui allait la frapper. La femme se saisit du fouet et le fit claquer dans le vide. Et elle commença la séance. C’est son sexe qu’elle visait, la lanière de cuir claqua juste dessus et sans attendre elle recommença ne laissant à Justine aucun répit. Au bout de 8 coups elle changea de cibles et visa les seins.
Au quinzième coup, elle passa le relais à l’homme. Le fouet numéro 4 fut annoncé, une badine de bois très souple. Je craignais à cet instant qu’il la massacre. Visant à nouveau le sexe largement ouvert il assena 3 coups très violents, puis trois autres sur les seins. Il restait 10 coups à recevoir. Elle proposa à un des spectateurs de venir terminer la torture. Les hommes se précipitèrent presque, le plus prompt monta sur l'estrade, on demanda à un autre spectateur de donner un autre numéro il désigna le numéro 1, le fil métallique. Il s'approcha de Justine la jaugea prit les deux poignées de l’engin de torture et visant son sexe il l’abatis de toutes ses forces sur elle. Instantanément des marques rouges et des gouttes de sans apparurent. Il alla regarder son travail et visiblement satisfait du résultat, il assena quatre autres coups au même endroit. Puis visant les seins il en fit de même. Visiblement incapable de se contrôler et en état de transe, il continuait de frapper, et il a fallu l'intervention du Maitre pour faire cesser le massacre.
Sur un des écrans on pouvait voir en gros plan les dégâts provoqués, son sexe était écarlate, ses lèvres boursouflées et entaillées, son clitoris sorti avait triplé de volume et saignait également. Ses seins étaient zébrés et du sang perlait d'un de ses mamelons entaillé par le fil métallique. Descendue de sa position, Justine semblait assez mal en point. Ils l’allongèrent sur la table, la femme regarda ses blessures, rien de très grave dit-elle, dans cinq minutes on continue ! Dans l’assistance, deux hommes se masturbaient, une femme les pieds posés sur sa chaise les cuisses écartées se masturbait, sa main pratiquement entrée dans son vagin. Une autre faisait un fellation à son voisin qu’elle ne connaissait pas une heure au paravent.
Je vis alors John se lever et se diriger vers Justine, il lui demandait d’arrêter, mais elle refusa catégoriquement, elle voulait voir jusqu’ou elle pourrait allez.
Cinq minutes plus tard, la séance reprenait avec le 3eme supplice. Un nouveau papier fut tirer au sort, c’était la machine à plaisir. Il allait la faire jouir jusqu’à ne plus supporter les mouvements allez retour dans son vagin et son cul et en plus les vibrations sur son clitoris. Après ce qu’elle venait de subir avant, ça risquait d’être encore plus douloureux. Un nouveau tirage au sort détermina la durée du supplice, 25 minutes. Ils l’installèrent sur la machine infernale après avoir largement lubrifié les deux phallus. Et la machine commença son œuvre de souffrance. Au bout de 10 minutes, Justine n’en pouvait plus, elle sanglotait, ses yeux pleins de larmes, le corps secoués de spasmes. Il restait encore dix minutes, je me disais qu’elle ne tiendrait pas le coup, qu’elle allait demander qu’on arrête, mais non elle ne demanda rien et subit jusqu’au bout cet effroyable douleur qu’est la jouissance portée à son paroxysme.
Redescendu de son engin de torture, elle fut immédiatement attachée à la potence. Le quatrième papier tiré au sort annonçait presque une récréation, La fellation pour l’homme, le lèche minou pour la femme, sauf que l’homme et la femme faisait partie cette fois-ci du public. Les deux gagnants tirés au sort, se présentèrent, l’homme un black sorti son membre, une batte de baseball, et se plaça devant Justine, elle englouti ce sexe péniblement et pourtant l’homme ne bandait pas complètement. Il lui maintenait la tête et appuyait dessus pour faire entrer sa bite au plus profond de la gorge de Justine, Elle étouffait il se retira quelques instants et recommença la manœuvre une deuxième fois et ainsi de suite jusqu’à l’éjaculation qu’elle reçu dans sa bouche sans pouvoir se dégager.
Dans l’assistance deux couples baisaient violement excités par le spectacle, une des deux femmes hurlait qu’on lui torde ses bouts de seins. Sa jupe remontée sur son dos, ses seins dégagés du soutien-gorge, l’homme la pilonnait sauvagement en lui tordant les seins de toutes ses forces « plus fort, plus fort « criait-elle, jusqu’à qu’ils s’écroulent tous les deux sur le sol.
Revenant à Justine, l’homme ayant joui, la femme s’installa sur la table et Justine fut amenée devant elle, pour qu’elle ne puise pas se dégager du sexe, on lui attaché à son collier une cordelette qui la maintenait la bouche collée au sexe de cette femme. La femme frémissait sous les coups de langue et des petits coups de dents mordillant son clitoris. Je me penchais vers John en lui disant qu’il restait une épreuve et que ca allait être l’épreuve des aiguilles. John me regarda en me disant qu’il savait, et qu’il espérait toujours qu’elle s’arrête avant. Pendant ce temps là Justine continuait son œuvre sur le sexe de cette femme qui dans un râle profond joui d’un seul coup. Son collier la maintenant collé à son sexe elle lui envoya dans la bouche un jet puissant d’urine. Justine ne put que boire tout ce liquide.
On la dégagea de ses liens, elle demanda à boire, on lui donna une bouteille d’eau. Puis sans attende, elle fut attachée sur la table les jambes largement ouvertes. L’homme prit une cordelette et lui entourant les seins, ce qui a eu pour effet de les faire gonfler. Il serrait fort, ses deux seins étaient maintenant enserrés à leurs bases, gonflés comme des baudruches les bouts écarlates prêts à exploser. Puis il s’attaqua à son sexe, il plaça sur chaque lèvre une pince reliée à un sandow qu’il attacha sur les anneaux de la table. Son sexe largement ouvert, les lèvres tirées au maximum, elle était à la merci et aux bons plaisirs de ses bourreaux. Il prit une bougie qui brulait dans un verre, un bon centimètre de bougie fondue bougeait dans le verre. Il plaça le verre au dessus du sexe de Justine, et versa lentement le contenu de la bougie fondue. Elle cria si fort qu’elle s’étrangla. Il arrêta puis il prit un autre verre et recommença au même endroit. Son sexe se remplissait de bougie brûlante, au troisième verre, l’entrée de son vagin était complètement fermée par la bougie fondue et qui commençait à refroidir.
Pendant ce temps, la femme était allée chercher une boite d’aiguilles. Elles étaient beaucoup plus longues une quinzaine de centimètres de longs. Elle approcha la première aiguille sur le côté du sein gonflé et planta l’aiguille jusqu’à la faire ressortir de l’autre côté. Je crois que j’ai failli m’évanouir de ce spectacle, je suppliais intérieurement qu’elle demande d’arrêter. Mais toujours rien. Une deuxième aiguille fut plantée de la même façon sur l’autre sein, puis une troisième verticalement et une quatrième en symétrie, deux autres sur chaque sein complétèrent le tableau. Elle avait dans huit aiguilles plantées. Je me demandais qu’elles conséquences ça pouvaient avoir sur sa santé, je n’avais pas la réponse à ma question.
La bougie dans son sexe était maintenant complètement refroidie, l’homme entrepris de retirer ce bloc, en fait il se retira tout seul. Le caméraman s’étant placé juste devant, nous voyons sur les grands écrans le sexe de Justine rougi par la bougie, tuméfié par les coups reçus, mais ce n’était pas fini, La femme s’empara d’une aiguille à coudre recourbée de tapissier, elle enfila du fil chirurgical, elle défi les deux pinces qui maintenaient son sexe ouvert et sans ménagement elle planta l’aiguille dans le haut des lèvres, puis tirant le fil elle fit la même chose sur l’autre lèvre. Elle était entrain de coudre serrées les deux lèvres de son sexe.
Justine dans un état second ne semblait même plus réagir à la douleur qui devait être la sienne. Son travail terminé le sexe de Justine entièrement cousu de bas en haut la femme la fit lever, puis elle la coucha sur le ventre les pieds sur le sol, l’homme plaça alors deux aiguilles tenue verticalement sur une planchette juste sur le bout des seins, puis il appuya sur son dos, les deux aiguilles entrèrent de toute leur longueur. La femme ensuite lui écarta les jambes, elle s’enduisit sa main d’un gel lubrifiant en présentant ses doigts resserrés en effectuant une rotation, ses doigts pénétraient lentement son anus. Ses doigts étaient maintenant entrés jusqu’au début de la paume de la main, elle appuya plus fort et trois centimètres de sa main perforaient l’anus de Justine qui se débattait et en essayant de resserrer les jambes pour éviter qu’elle aille plus loin. La femme continuait son effort er sa main fini par entrer complètement jusqu’au poignet. La douleur de la dilatation ajoutée à celle de son sexe cousu fini par avoir raison d’elle, elle tomba la tête sur la table, évanouie.
Loin d’émouvoir ses bourreaux, elle allait et venait de plus en plus vite dans le cul de Justine pénétrant de plus en plus loin. Enfin elle se décida à retirer sa main. Ils la couchèrent à nouveau sur la table, la femme muni d’une paire de petits ciseaux coupa les fils qui fermait le sexe, pendant que l’homme retirait une à une les aiguilles, il défit ensuite les cordelettes enserrant ses seins qui avaient pris une couleur bleuâtre. Ils la soignèrent de ses blessures avec une pommade hémostatique ce qui arrêta instantanément les petites hémorragies. Justine n’était toujours pas revenue complètement parmi nous, John et Bruno vinrent la chercher, ils l’emmenèrent dans une pièce annexe, Là elle put prendre une douche, qui lui fit le plus grand bien. Ses deux bourreaux nous expliquèrent qu’il ne fallait pas qu’elle recommence avant 6 mois, pour ne pas compromettre sa santé.
J’espérais bien qu’elle ne recommence jamais. Nous l’avons habillée et nous sommes rentrés à la maison. Pendant le trajet du retour elle ne dit mot, tout le monde garda le silence. Une fois arrivé, et toujours sans un mot, elle monta directement dans sa chambre suivit de Bruno. Je regardais John en lui disant : « Tu crois qu’elle a compris et qu’elle ne recommencera pas ? » John me regarda, l’air dubitatif et me dit ? « Elle a visiblement prit plaisir à souffrir, mais je crois que l’expérience aura quand même portée ses fruits, elle n’a pas voulu, sans doute par fierté, nous montrer qu’elle avait terriblement souffert, mais au fond d’elle-même je suis persuadé qu’elle ne renouvèlera pas l’expérience. »Souhaitons qu’il ait raison.
Nous sommes montés nous couchez, et pour une fois nous n’avions ni l’un ni l’autre envie de faire l’amour. Le lendemain matin, au petit déjeuner, nous avons vu Justine arriver en pleine forme, je me décidais quand même à lui poser la question sur ce qu’elle avait ressenti. Elle nous expliqua que c’était indéfinissable, la jouissance faisant place à la douleur intense qui devenait jouissance à son tour. Je m’aventurais à lui demander si elle comptait continuer l’expérience, Justine me regarda, les yeux embués et nous dit : « j’ai du vous faire beaucoup de mal en réalisant cette séance devant vous, j’ai terriblement souffert aussi de mon côté, alors je vous fais la promesse de ne plus recommencer. » et elle ajouta : « par contre je voudrais bien voir la vidéo, car vous aviez une vue privilégiée sur ce qu’on m’a fait subir et je voudrais voir ça de plus prêt ».
Tout le monde poussa un soupir de soulagement, Justine ajouta comme pour s’excuser auprès de Bruno : « je te rassure ce soir on baise comme des fous et si vous voulez être de la partie, je ne suis pas contre ! ». Je retrouvais ma Justine.
A suivre…
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
Pour des raisons de confidentialité des participants à mes soirées, les photos illustrants les articles de mon blog sont tirées d'Internet.
Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer mon nom "
Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon site " www.lolita-o.fr. "
Bonne lecture