Saint Barth le 23 juillet,
Après quelques péripéties au départ de Paris pour cause de grève, je suis enfin arrivée à Saint Martin, puis un petit avion en 10 minutes me débarqua à Saint Barthélemy en fin d’après midi. J’ai été accueillie à l’aéroport, par mes hôtes. Après quelques kilomètres, nous sommes arrivés sur mon lieu de vacances, une merveilleuse villa sur les hauts de l’Anse du Grand Cul de Sac, au nord est de l’ile, et dominant une mer d’un bleu turquoise étincelant.
Le rêve ! On m’a fait visiter la villa, un bijou, 2 étages, 3 salons dont un équipé salle de cinéma, une salle à manger intérieure, une salle à manger extérieure donnant sur la piscine, cinq chambres équipée d’une superbe salle de bain, une salle de sport avec banc de massage, douche, jacuzzi et sauna, une grande terrasse entourant une superbe piscine. J’ai pensé à ce moment là que je vivais un rêve éveillé. Habituée des grands hôtels, cette villa avait un plus une âme, ou l’on se sentait chez soit.
Ils me présentèrent le personnel, composé de 6 personnes, Sylvestine la gouvernante une vraie mama créole, une femme de chambres, Melissa une jeune métisse blonde avec des yeux dorés et d’une rare beauté qui aidait également à la cuisine, Adèle la cuisinière, Bartemy le coach sportif un superbe black, Joé un homme à tout faire qui faisait également office de chauffeur, (je m’apercevrais plus tard que le terme d’homme à tout faire est bien choisi) et Séyar le jardinier, chargé également de l’entretien de la piscine. Au fond de moi, je me disais que je pourrai toujours trouver sur place, de quoi agrémenter quelques moments de sieste améliorée.
On ma fait choisir ma chambre. Mon choix se porta sur une chambre donnant et sur la piscine et sur la mer. Mes hôtes me prévinrent que le diner serait servi à 21 h. Mélissa la femme de chambre m’aida à ranger mes affaires, et me fit couler un bain. Alors que je me déshabillais, elle me détailla avec insistance en me disant que j’avais un très beau corps. Elle ne semblait pas insensible à la beauté féminine, c’était bon signe. Je plongeais dans l’eau tiède contrastant avec la chaleur ambiante, et je me prélassais tout en regardant par la baie vitrée cette baie merveilleuse qui s’offrait à moi.
Après m’être habillée d’une robe blanche très légère, recoiffée et maquillée, j’arrivais dans le salon, ou attendais mon hôte et sa femme. Ils m’avaient été présentés par Max, lors d’un vernissage, lui, que je baptise « David » a une soixantaine d’années et sa femme, « Johanna » grande brune au visage d’une rare beauté une bonne dizaine d’années plus jeunes que son mari, ils vivent entre New York, et Paris et la plus grande partie de l’année à Saint Barth. Il y avait un autre couple invité. L’homme, la cinquantaine bien sonnée, très élégant, les cheveux presque blanc, qui contrastait avec son bronzage, sa femme, vingt cinq ans au plus, grande, brune typée asiatique. Il possède une société de location de bateaux dans les Caraïbes. Les présentations faites, on m’offrit un cocktail maison excellent, fait de fruits locaux et de champagne.
A 21 heures la gouvernante, vint nous annoncer que le repas était servi. Installé dans la salle à manger donnant sur la piscine, nous avons dégusté des langoustes grillées, accompagnées de salades exotiques. Il faut dire qu’ici les langoustes servent de plat national et sont bien moins cher que la viande.
Après le diner, nous sommes passés sur la terrasse, pour terminer la soirée. Un peu fatiguée par le voyage, je pris congé de mes hôtes, et allais me coucher pour une nuit réparatrice, en rêvant à ce qu’allait être les 6 semaines que j’allais passée dans ce lieu idyllique.
La première semaine se passa entre la piscine, les promenades sur le bateau de David, un yacht de 35 mètres ancré au port de Gustavia la principale ville de l’ile, les parties de pêches aux gros. J’ai fais la connaissance des amis de David et Johanna.
Un jour où je lézardais au soleil au bord de la piscine bien évidement totalement nue, David resté à la villa alors que sa femme Johanna était partie à Gustavia, la principale ville de l’ile, pour faire les magasins, vint s’installer à côté de moi dans l’alcôve. Une alcôve de piscine c’est comme un lit à baldaquin, avec un grand matelas, et tout au tour et sur le toit une toile spéciale laissant passée les rayons UV, ce qui permet de bronzer à l’ombre.
Après quelques moments à parler de tout et de rien, David se rapprocha de moi, en posant délicatement un doigt sur le bout de mes seins, qu’il commença à titiller. Je le regardais un instant, en lui disant : « Penses à ta femme » il me répondit de ne pas m’inquiéter pour ça tout en continuant à me caresser mon sein en pinçant le téton. Il ajouta ; « Johanna est descendue en ville officiellement pour faire des achats, mais je te parie qu’elle ne va rien trouver. En fait je sais qu’elle rencontre un de ses amants ». Je lui demandais : « Mais tu n’es pas jaloux », il répondit du tac au tac en se rapprochant un peu plus près : « Pourquoi jaloux, puisque je fais la même chose, d’ailleurs elle me racontera son après midi et moi je lui raconterais tout ce que vais te faire, à ce sujet, fais moi penser à te raconter une certaine soirée avec Joé ». Puis il posa sa bouche sur mes seins, je m’allongeais complètement sur le matelas, sa bouche suçait délicatement mes seins, puis elle descendit, en s’attardant sur mon nombril, endroit très sensible chez moi, il continua sa descente pour s’arrêter sur mon sexe. J’ouvrais largement mes jambes, il entama alors une séance de lèche puis de suçons sur mon clito.
Nous avons changé de position et je constatais qu’il avait une érection qui présageait de bons et longs moments. A soixante ans, David était en pleine forme physique. Son pénis était d’une bonne taille, j’approchais ma bouche de son sexe dressé et je lui fis une fellation profonde. Lorsqu’il me demanda d’arrêter, car il ne pouvait plus se contrôler, je continuais de plus belle, enfonçait sa verge au plus profond de ma gorge, et il se mit à jouir en de longs et chauds jets brûlants de sperme au fond de ma gorge.
« Je ne voulais pas jouir de cette façon » me dit’ il. Je lui répondais : « Oui mais moi j’aime, et ça ne fait que commencé ». Après quelques minutes de repos et quelques massages buccaux, il était à nouveau en pleine forme. Il me fit mettre en levrette et me pénétra de toute la longueur de son sexe. Ses longs vas et vient, ses accélérations puis les périodes de douces pénétrations vinrent à bout de moi, et j'ai jouis secouée de spasmes. C’est alors qu’il se retira pour présenter son sexe à l’entrée de mes reins. Il me demanda alors « doucement ou en une seule fois » ? J’optais pour la deuxième proposition, alors il appuya de toutes ses forces et il fut en deux secondes au fond de mon cul. Je soufflais fort, saisie par cette brutale intrusion. Puis il se retira complètement et recommença l’opération une bonne dizaine de fois. Ma main posée sur mon clito s’activait de plus en plus vite et je jouis une deuxième fois et encore plus fort. Quelques secondes plus tard, il éjaculait entre mes fesses. Nous sommes tombés tous les deux sur le côté et avons repris notre souffle.
Il faisait très chaud, il appela Mélissa par le téléphone intérieur pour qu’elle nous apporte des boissons fraiches. Elle arriva quelques minutes plus tard, déposa les boissons sur une table basse, nullement gênée par notre nudité. Elle me jetant un petit sourire et repartit dans la maison. Nous avons rebaiser une fois de plus dans la piscine, moi suspendue à son coup, mes lèvres collées au siennes, les jambes de chaque côté de son corps, et lui son sexe planté dans le mien. Les mouvements de l’eau activèrent ma jouissance ainsi que la sienne et pou la troisième fois nous avons jouis pour cette fois en même temps.
Revenus au bord du bassin, je lui demandais : « Tu es sûr de raconter à ta femme notre après midi ? » Sans aucune hésitation, il me dit : « Bien sûr, ça va tellement l’exciter, qu’elle va me faire l’amour tout en me racontant la sienne ».Mon sexagénaire avait la santé, mais il a du m’avouer qu’il avait recours à des artifices de couleur bleue pour arriver à un tel résultat. N’empêche que c’est un excellent amant.
La semaine s’est terminée d’invitations en invitations, jusqu’à l’arrivée de Justine le 3 août. Un peu moins habituée à un certain luxe, elle regardait ce pays magnifique, le luxe de la villa, avec des yeux d’enfants devant un arbre de noël, qui aurait été garni de tous les cadeaux souhaités. Elle choisi sa chambre, près de la mienne et qui donnait sur la baie. Je la rejoignais et la trouvais devant la baie vitrée, face à la mer, avec une petite larme au coin de l’œil.
Je n’ai jamais parlé de Justine. Fille unique, elle vécut une enfance heureuse, jusqu’au jour où ses parents se tuèrent dans un accident de la route, elle avait treize ans. Elle fut recueillie par ses grands parents du côté de son père, des gens dures et sans cœur, qui ne cessèrent de la culpabiliser de ne pas être morte également dans l’accident, car sa présence leur rappelait trop leur fils. Il existe cette race de personnes sur terre. Elle en souffrit tellement, qu’à quinze ans elle fit une tentative de suicide, heureusement avortée, grâce à la présence d’esprit d’un automobiliste qui la voyant sauter dans l’eau glacée du Rhône, plongeât à son tour et la ramena sur le bord.
Après ce jour tragique, elle refit surface complètement, et se réfugiât dans les études. C’est quand j’ai appris son histoire par un des professeurs de l’Ecole des Beaux Arts, que je l’ai prise avec moi pour me seconder à la galerie. Depuis, elle fait partie intégrante de ma vie.
A suivre
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
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