Paris le : 24 octobre 1999
Revenue à Paris en 1996, j’ai continuée mes études jusqu’au bac que j’ai passé avec mention bien. Quand j’ai eu 18 ans, mes parents étant repartis vers d’autres horizons, ils m’achetèrent un appartement rue du Bac. J’étais chez moi et autonome.
Mes gouts étaient portés sur l’artistique, particulièrement le dessin et la peinture, sans doute un héritage paternel. Et c’est pourquoi, j’ai passé l’examen d’entrée à l’Ecole des Beaux Arts.
Je fus reçue et je commençais un cycle de 5 années d’études artistiques. La particularité de cette école, c’est que l’on fait appel à des modèles vivants pour les dessins, il arrive également que des élèves posent pour les autres élèves. En deuxième année, j’ai fais la connaissance d’un garçon black, fils d’un diplomate d’un pays africain. Un type super beau, 1m90 et tout en muscle.
Nous rêvions toutes de le voir poser pour nous, et ce jour arriva. Lorsqu’il entra muni d’un peignoir et qu’il se déshabilla, nous avons toute eue la même réaction, « ça existe ça » ! Ce garçon était un dieu avec un sexe démesuré au repos. J’imaginais quelle dimension il pouvait avoir en érection. Très troublée par ce spectacle, j’ai eu du mal à me concentrer pour dessiner, les autres élèves filles également. Le prof s’en ai aperçu et c’est la seule fois qu’il a posé.
Mais le mal était fait, et il s’est installé un concours entre les filles à qui serait la première qui raconterait comment c’était. Après presque un mois de drague, de sous entendus, j’ai fini par remporter le concours.
Tout à commencé par un diner dans une restaurant assez chic de la rive gauche, ensuite nous sommes allés prendre un verre dans une boite des Champs Elysées, ou visiblement il avait ses habitudes. Nous avons dansés et pendant les slows, je sentis, le mot est faible, qu’il n’était pas insensible à mes charmes.
Il me proposa de venir terminer la nuit chez lui, mais je lui dis que je préférais chez moi. Dans le taxi qui nous ramenait, il m’embrassa longuement et le feu commença à monter en moi.
Arrivé dans mon appartement, n’y tenant plus, je le conduisais dans ma chambre, il me déshabilla rapidement, il faut dire que je ne portais pas grand-chose sur moi, puis à mon tour je m’empressais de retirer tous ses vêtements.
Le plus dur a été de faire descendre son slip, tendu à l’extrême par ce sexe, que j’avais vu au repos, mais que je découvrais dans toute sa splendeur.
Je me souviens avoir un moment de panique en me demandant comment j’allais pouvoir avaler un tel sexe, et surtout comment il allait faire pour me faire l’amour. Et bien en fin de compte, ça été plus facile que prévu, sauf que je n’ai pu sucer que le gland, car pour le reste ça n’était pas possible.
Puis il entreprit de me lécher le sexe, il jouait avec mon clitoris, pénétrait sa langue à l’intérieur de mon vagin, puis mordillait mon petit bouton qui grossissait à vue d’œil. Puis vint le moment fatidique, j’étais tellement excitée que son sexe ma pénétrée sans effort. Je me trouvais littéralement coupée en deux, en longs vas et vient, les trois quart de son sexe était en moi. Nous avons changés de nombreuses fois de positions et il me demandât de venir sur lui. Je m’empressais de l’enfourché et la c’est moi qui a dirigée les opérations. Ce type était un dieu de l’amour et j’ai joui plusieurs fois avant qu’il ne m’inonde de toute la puissance de son sexe.
Nous sommes tombés tout les deux sur le côté pour reprendre nos esprits et après un moment que j’ai trouvé assez court, il se mit sur moi et dans le même état qu’après la première fois, il recommença à me pilonner.
Mon sexe, lubrifié par son éjaculation, il s’enfonçait de plus en plus en moi. Il me fit mettre en levrette et continua longuement, à un moment donné, je le sentis sortir de moi et remonter son sexe vers mes reins, prise de panique à l’idée qu’il allait me déchirer, ce n’était pas la première fois que je me faisais sodomisée, et j’avoue que j’aimais ça, mais là je ne pouvais pas m’imaginer pénétrée par ce sexe monstrueux. D’une voix très douce, il me dit qu’il ferait ça tout doucement et que si je voulais arrêter, il ne continuerait pas.
Il présenta son sexe devant mon petit cul, il appuya doucement, puis un peu plus fort, je sentais lentement son sexe pénétré dans mon intimité, j’écartais mes cuisses le plus possible et essayait de me décontracter et puis d’un seul coup, sans vraiment que je le sente, il fut en moi, de pratiquement toute sa longueur. Je sentais son sexe taper dans le plus profond de mon ventre.
C’était divin, il me prit par les hanches et recommença comme il m’avait pénétré par devant à me pilonner. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais j’aurai voulu que ça ne finisse jamais et après plusieurs orgasmes de ma part il a joui au plus profond de moi, Je sentais ses longs et généreux jets qui me percutaient le fond de mon ventre.
Après cette deuxième séance, il m’embrassa longuement et me dit que je voulais continuer, ça ne lui posait aucun problème, Ce type était infatigable. Après une courte hésitation, j’ai décliné sa proposition, voulant pouvoir m’asseoir le lendemain. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Au matin je me réveillais vers onze heures et je constatais qu’il était parti, en me laissant un petit mot qui disait : « j’ai passé une nuit exceptionnelle, et ce ne sera pas la dernière ». J’ai conservé ce billet, et à chaque fois que le vois dans mon livre intime, je suis parcourue de frissons à l’idée de cette première nuit que j’avais passée.
Le lundi, de retour à l’école, j’étais très attendue par mes copines. Alors c’était comment ? Je fus très discrète sur ses performances, ne voulant pas les inciter à le draguer, très désireuse de le garder pour moi. Quand on trouve un tel étalon, on le garde pour soit.
Régulièrement nous nous rencontrions chez lui ou chez moi, pour des séances de plaisir intense. Par curiosité, je lui ai demandée de mesurer son sexe, il a rit et après l’avoir mis dans une forme olympique le résultat était sans appel : longueur 25 cm, diamètre 7 cm ! Je n’avais jamais rencontré un homme avec un sexe aussi gros.
A suivre
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
Pour des raisons de confidentialité des participants à mes soirées, les photos illustrants les articles de mon blog sont tirées d'Internet.
Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer mon nom "
Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon site " www.lolita-o.fr. "
Bonne lecture