Dimanche matin
Le lendemain réveillée à 13 h, j'ai retrouvé tout ce petit monde dans la salle à manger ou un brunch avait été dressé, Justine avait les yeux un peu cernés, je lui proposais d'aller voir mon ancienne galerie, là ou je l'avais engager pour me seconder.
Le taxi nous déposât devant, je ne reconnu pas tout de suite la vitrine, le nouveau propriétaire avait fait pas mal de travaux. Une grande jeune femme brune e ttrès belle nous accueilli et s'étant présentés elle nous dirigeât dans le fond de la galerie, là même ou j'avais installé mon bureau. Le nouveau propriétaire un suisse allemand, "Ewald" portait bien la cinquantaine, costume impeccable, cheveux grisonnants assez longs, petites moustaches taillées au ciseaux, les yeux d'un bleu profond rendant à son regard un sentiments de force et de volonté. Il nous reconnu immédiatement, nous embrassa et nous avons discuté de nos galeries respectives. Il est vrai que nous étions restés en contact, car sa spécialité était assez proche de la mienne. Il présentait surtout des tableaux, des sculptures de nues et des photos en noir et blanc, très soft, à l'inverse de moi qui à New York présentait tout ce qui avait trait au sexe, sans tabou, tout en restant dans le domaine de l'art.
Il nous fit des compliments sur notre beauté, (ça fait toujours plaisir) puis devant une coupe de champagne, il nous fit une proposition. Pourquoi nous ne ferions pas une séance de photos pour être exposés dans sa galerie. L'idée était assez séduisante, se retrouver nue dans ce qui avait été sa propre galerie ne me déplaisait pas, bien au contraire, il y en avait bien une dans un commissariat de police de Lyon (voir nue dans Lyon). Justine acquiesçât et rendez-vous fut pris pour le lendemain dans un studio avec lequel il travaillait. Il nous dit prévoir un coiffeur et une maquilleuse, il pensait à tout.
Nous avons pris congés et après s'être promené dans les rues commerçantes de Lyon en ayant fait chauffer un peu ma carte American Express Platinium, nous sommes rentrés chez Max les bras chargé en ayant soin d'avoir pensé à des cadeaux pour nos hôtes.
Après s'être préparées pour la soirée que Max avait prévu, nous sommes descendu au salon. Etait déjà présent, Emma, Louise, leurs copains n'étaient pas là, en fait ils n'avaient pas apprécier de voir leur copines se faire sauter et jouir avec des inconnus et ils étaient partis. Visiblement cela ne les touchait pas outre mesure, elle les connaissaient depuis quelques jours et les avaient invités à la soirée. Etait présents également deux des trois amis de Montélimar, le troisième avait du rentrer précipitamment chez lui, sa femme en voyage d'affaires, lui avait téléphoner pour lui dire qu'elle rentrait dans la journée, plus tôt que prévu.
Il était vingt heures, Nathalie nous proposa de passer à table, le diner nous a été servi par la même fille que j'avais connu dans sa villa proche de Montélimar le jour où j'avais fait la connaissance de Max. Une superbe fille noire, qui m'avait d'ailleurs envoyée au paradis en s'attardant sur mon clito au bord de la piscine. Le diner se passa en se remémorant la soirée de la veille. Après le café, Max nous annonçât le programme de la soirée en nous proposant de le suivre. En file indienne, nos nous sommes dirigés vers le hall d'entrée, il ouvrit un porte, un escalier se présentait, nous sommes descendu et j'avoue avoir reçu un choc en voyant devant nous une piscine intérieure toute en marbre avec des colonnes, des grands canapés tout blanc.
Au fond de la pièce on distinguait une lumière derrière une vitre teintée. Max appuyât sur une commande et la vitre se déroba laissant apparaître la continuité de la piscine mais à l'extérieur de la maison. Couverte d'une verrière, avec des arbustes, des fleurs, des palmiers. Je faisais remarquer à Max que cela ressemblait étrangement à la piscine de notre maison à New York. Normal me dit Max, "quand tu m'as envoyé des photos de la maison de John, j'étais un peu jaloux, alors voilà le résultat". Fabuleux. Nous proposant de nous mettre à l'aise, c'est à dire à poil, hommes et femmes et nous asseoir dans les grands canapés.
Puis il ajouta, je vais vous présenter pour votre plaisir, un spectacle mixte de chippendales. D'une porte dans le fond de la piscine apparurent trois mecs et trois femmes, habillés ou plutôt déguisés. Ils ressemblaient un peu au groupe "village people" et pour les filles, infirmière, lolita, policière avec tout le matériel, matraque, menottes etc.. Je regardais Justine en lui faisant un clin d'œil, qu'elle me renvoyât, avec un air de dire, "on va encore passer une bonne soirée."
Sur de la musique venue de nulle part, le spectacle commençât, ils exécutèrent un striptease en règle ne gardant qu'un mini slip pour les hommes et un string pour les filles. Puis il s'approchèrent de nous approchant leurs sexes de nos visages. Le but était évidemment qu'on leur fasse à tour de rôle une fellation, ce que je ne me suis pas fait prier, les filles pour leur part présentaient leurs sexes à des coups de langues de chacun des hommes présents. Puis les choses s'accélèrent, un grand blond me pris par la main, me fit mettre en levrette sur le canapé, face à lui , je le suçais jusqu'à ce qu'il bande, me retournant, il s'introduit en moi. Son sexe de bonne taille allait et venait à des rythmes différents du lent au rapide puis revenir au lent, sortait son sexe de mon vagin, puis le pénétrait à nouveau brutalement, une succession de plaisir, Ce mec baisait comme un dieu, habitué à donner du plaisir à ses partenaires, tout en se retenant d'éjaculer trop vite.
Puis il décida de changer de partenaire, me délaissant, une fille vint se planter derrière moi et de sa langue continuant le travail de sape sur mon clito. J'explosais rapidement, sa bouche toujours collé à mon sexe elle buvait le résultat de mon orgasme. pour ne pas rester en reste, je l'allongeais sur le canapé et lui administrais le même traitement. Dans la position où j'étais, je présentais mon cul à celui ou celle qui voulait bien le prendre, ce qui ne tarda pas. Je sentis deux mains m'écarter les fesses, un gland de bonne dimension se présenter devant ma rosette, et doucement me pénétrer jusqu'à ce que ses couilles touchent mes fesses. Ces mouvements m'envoyaient des décharges de plaisir, j'en faisais profiter la fille, son clito entre les dents je le mordillais, l'aspirais, le chatouillais du bout de ma langue, je lui introduisait deux doigts dans le vagin, puis trois, quatre enfin de mes cinq doigts réunis je la masturbais, ma bouche toujours collé à son clito.
Je ne sais plus combien de temps cela à durer , mais ce que je sais c'est que nous avons joui pratiquement tout les trois en même temps, la fille m'inondant la bouche de son précieux liquide, elle devait faire partie de ces femmes fontaines qui n'en finissent pas de se vider tout en jouissant, mon mec m'envoyait dans mes reins une bonne quantité de sperme chaud et épais. Se dégageant les uns des autres, la fille se plaça derrière moi et récupéra le sperme qui coulait, me nettoyant d'un coup mon cul.
Tout ce petit monde baisait allègrement, Max qui ne vouliat rien perdre de ce spectacle filmait les scènes, faisait des gros plans sur les sexes plantés dans les vagins, les éjaculations dans les bouches etc. Des souvenirs en boite pour les soirées d'hiver. Pauvre Max, il fallait une sacré force de caractère pour assister à ces ébats en sachant qu'il ne connaitrait jamais plus le plaisir de baiser une femme. Il avait transférer son plaisir en voyant les autres baiser, de voir sa femme se faire défoncer et de la voir jouir, cela lui apportait le sentiment de ne pas être égoïste vis à vis d'elle et que ce n'était pas parce que lui ne pouvait plus rien faire que sa femme ne devait pas profiter de la vie. Il lui apportait une vie heureuse, une vie facile, de l'argent, et pour la remercier de rester avec lui, l'autorisation de baiser avec d'autres hommes, tant qu'il serait présent. Pas une fois elle n'avait déroger à cette règle.
La soirée continua sur un rythme d'enfer, ces mecs étaient insatiables, je ne sais pas à quoi ils marchaient mais en tout cas c'était efficace., je n'ai pas compter mais j'ai du me faire baiser encore plusieurs fois, je n'en pouvais plus, surtout quand à deux ils décidèrent de m'enculer en même temps. Couchée sur le dos sur l'un d'eux, son sexe déjà bien planté dans mon cul, le deuxième entre mes jambes décida de faire pénétrer le sien dans la place déjà occupé. Il y parvint, j'étais coupée en deux, mais quel pied. C'étant déjà vidé les couillles plusieurs fois ils firent durer le plaisir de longues minutes, je sentais mon orifice s'élargir de plus en plus et leurs sexes pénétrer de plus en plus loin. Je sentais leurs couilles taper mes fesses, je crois que là ils ne pouvaient pas aller plus loin. Ils jouirent à tour de rôle, un me mordillait les tétons, ce qui accentuait mon plaisir. Puis ils se retirèrent, le sperme dégoulinait de mon trou dilaté. La fille qui m'avait fait jouir au début le vit et posant sa bouche elle avala tout, ce qui déclencha chez moi un nouvel orgasme.
Quelle nuit, encore une que je n'oublierai pas. Je ne manquerais pas en rentrant à New York de raconter à John mes péripéties l'Yonnaise. Il va bander comme un âne et me baiser comme un dieu. Plus personne ne baisait affalé dans les canapés, je sirotais une coupe de champagne et regardais autour de moi. La situation ressemblait à un tableau de bacchanal avec les corps entremêlés, repus de plaisir. Je plongeais dans l'eau tiède imitée aussitôt par d'autres.
IL était 5h du matin, nous n'allions pas être très fraiche pour la séance photos de lendemain, aussi je décidais imitée de Justine et Nathalie d'aller ce coucher, seules les deux minettes qui n'en n'avaient sans doute pas eu assez restèrent en invitant les mecs restant à s'occuper d'elles. Du coup ils étaient cinq pour deux. Emma qui venait de fêter ses dix huit ans avait du commencer ce sport depuis de nombreuses années vu sa capacité à avaler, se faire baiser et enculer sans répits. Cela tenait de la nymphomanie.
Ca me rappelais à Paris quand je faisais mes études aux Beaux Arts, j'avais connu une fille de 20 ans qui sortait avec un mec, mais qui ne pouvait pas vivre sans ses doses de sperme journalière. Elle en arrivait à sucer gratuitement des mecs dans le bois de Boulogne pour avoir sa dose, elle aimait tout, sucer, avaler, se faire baiser et enculer à la chaine. Elle habitait un studio dans une tour à Grenelle, elle ne manquait quand elle rentrait chez elle de sucer le gardien de nuit derrière son comptoir. Elle m'avait raconter qu'un soir elle avait été seule dans une boite à Ville d'Avray et qu'elle s'était proposée pour battre le record de pénétrations en une seule soirée, record qui était de 33. C'était un samedi soir et pratiquement tous les hommes l'on baisée, soit officiellement 54 !!! De la folie. J'ai appris par la suite qu'elle était décédée brutalement d'un cancer de la peau à 24 ans.
Lundi 13 h
Après un réveil difficile, ou Justine avait voulu dormir avec moi, nous nous sommes préparées pour la séance photos. Nous avons gagner du temps sur la coiffure et le maquillage puisque des professionnels nous attendaient dans le studio photos. La taxi nous déposa devant un immeuble du centre de Lyon, nous étions nu peu en avance de peur d'être en retard, nous sommes montés au 3 eme étage, sur la porte une plaque un nom " Bernard photos" Un coup de sonnette et un grand brun vint nous ouvrir la porte. "Salut, c'est vous les deux nanas pour les photos" ? . Bonjour l'accueil, je devançais Justine qui était prête à lui répondre ce que je devinais par avance. "Oui c'est nous on nous a demandé de venir se mettre a poil pour que vous puissiez bander en nous photographiant". Ma réponse l'interloqua et ils nous dit, "J'attends deux filles envoyées par une agence de casting pour un roman photos porno, pardonnez moi je vous ai pris pour elles". Ca faisait plaisir à entendre, manque un peu de tact le monsieur. Nous sommes entré, je demandais, "Ewald n'est pas arrivé", "Non il a téléphoné qu'il aurait un peu de retard, mais le coiffeur et la maquilleuse sont là, si vous voulez vous préparer".
A ce moment un coup de sonnette, c'était les deux filles pour la séance porno, deux hommes les accompagnait. Bernard le photographe leur demanda de se déshabiller, ainsi que les mecs. Du fond du studio ou nous étions, on voyait tout de qui se passait. Bernard leur demanda de les faire bander, ce qui ne fut pas très difficile, après une brève fellation pratiquée à deux bouches ils bandaient comme des ânes. Et la séance photo commença. Les photos se succédaient dans des poses très suggestives, fellations, pénétrations vaginales, anales, double vaginales et anales, enfin toutes les poses possible entre deux filles et un homme. Gros plans sur les organes génitaux, éjaculations faciales. En fait il suivait un conducteur de l'histoire, si histoire il y avait .
Nouveau coup de sonnette, c'était Ewald, qui arrivait. Il s'attarda sur le tableau des deux filles et des deux mecs entrain de baiser cette fois-ci pour le plaisir. Il s'approcha de nous : "Désolé pour mon retard, un coup de fil important avant de partir". Nous étions coiffée restait juste un petit raccord maquillage à faire. Il dit à Bernard le style de photos qu'il voulait. Rien de provocateur, pas de gros plans sur le sexe, sauf en contre jour. Pas de cuisses ouvertes, on ne devait pas voir les lèvres ouvertes du vagin. Alors nous avons pris la pose, d'abord moi, puis Justine puis toutes les deux ensemble, poses très suggestives mais qui ne laissait rien apparaitre des sexes. Gros plans sur nos seins en contre jour. etc.. La séance dura plus d'une heure et j'avoue avoir pris beaucoup de plaisir à faire ces photos.
A la fin de la séance, je regardais Ewald, il avait visiblement très chaud, un verre d'eau à la main, il nous regardait avec gourmandise. Je m'approchais et vint m'asseoir à côté de lui,: "Merci pour cette séance, j'espère que vous ne serez pas déçu du résultat" Il me répondit : "Comment je serais-je avec deux créatures aussi belles". Lui au moins il savait faire des compliments. Je lui susurrais à l'oreille : "j'ai envie de faire l'amour avec vous".
J'ai cru qu'il allait s'étouffer avec son verre d'eau, Il me regarda droit dans les yeux et avec majesté il me répondit : "Lolita, rien ne pourrait me faire plus plaisir, mais pas ici, je n'ai pas envie que le photographe en profite pour faire des photos de nous en cachette, si vous le voulez, allons à mon appartement, mais Justine viendrais avec nous ? " " Oui Ewald vous allez en avoir deux pour vous tout seul". Justine qui avait tout entendu le gratifia d'un grand sourire doublé d'un clin d'œil qui voulait dire qu'on allait bien s'occuper de lui.
Pendant que nous sommes rhabillée, Justine me demanda: " je croyais qu'il était homo", "moi aussi, mais visiblement il doit aimer les deux sexes.". Nous avons pris congé du photographe visiblement déçu que cette séance ne se passe pas chez lui.
Un taxi nous ramena à la galerie ou l'appartement d'Ewald était situé au dessus. En traversant la galerie, nous avons croisé la femme qui assiste Ewald. Elle un regard noir en nous voyant monté à l'étage. Ca m'a fait tout drôle en pénétrant, j'avais l'impression de revenir cinq ans en arrière. La décoration n'avait pratiquement pas changée. Il nous fit asseoir dans un grand canapé en cuir noir. et revint quelques instants plus tard avec un bouteille de champagne. Nous avons trinqués à nos réussites mutuelles. Assises de chaque côté de lui, c'est Justine qui entrepris la première les hostilités. Elle l'embrassait à pleine bouche, pendant que lui avait déboutonné son chemisier et lui caressait d'une main ses seins magnifiques. Il faut dire que Justine à une poitrine superbe, assez volumineuse, mais très ferme avec des tétons durs tout le temps, ce qui avait le don de m'énerver un peu.
Ne voulant pas en resté là, je m'attaquais à sa ceinture et aux boutons de sa braguette, je dégageais son membre de son caleçon en soie, il bandait déjà, c'était bon signe. Son sexe était assez court mais très gros en volume avec des testicules volumineuses et entièrement épilées. Ce monsieur entretenait bien son corps. Je le masturbais un instant et commençait une fellation. De son autre main il entrepris de trouver mon entre-jambe. Je lui facilitait le travail en écartant mes cuisses au maximum. Il trouva le chemin et fit entrer ses doigts dans mon vagin déjà très humide. Sans que je le lâche, il allongea Justine sur le dos lui ouvrit les jambes et posa sa bouche sur son sexe. Elle écarta les jambes en équerre et ravit de la position il pénétrât de sa langue le sexe de Justine qui ne tardât pas à gémir sous les caresses. Dans ma bouche je sentais son sexe se gonfler de plaisir. Je ne voulais pas qu'il jouisse trop vite avant de nous avoir baiser toutes les deux.
Je m'arrêtais et lui proposais de venir sur moi, je m'allongeais sur les dos, le contact du cuir sous la peau accentuait le désir, il vint sur moi, dirigea de la main son sexe dans le mien et me pénétrât. Je ne sais pas si il était vraiment homo, mais en tout cas il baisait très bien, allait et venait ressortant son sexe pour le frotter sur mon clito, puis le renfonçait le plus profond possible. Au bout d'un moment certains signes me firent dire qu'il allait jouir, et je lui proposais qu'il baise Justine. A son tour, il s'allongea sur le dos et Justine le chevauchât, elle montant et descendait doucement puis rapidement et recommençait le même traitement. Il avait quand même de l'endurance, mais elle finit par avoir raison de lui, elle se dégageât rapidement et toutes les deux nous avons reçu le long jet de sperme dans la bouche. Il n'en finissait pas de se vider, la dimension de ses couilles devait en être la cause. Nous nous sommes délectés du nectar chaud et épais. Nous aimons toutes les deux l'avoir dans la bouche et ensuite d'avaler le sperme d'un homme. C'est en faite une deuxième jouissance quand le liquide pénètre dans notre bouche.
Il restait sur le dos, les yeux mi-clos, reprenant sa respiration. " Tout va bien? prêt pour une autre séance " Il nous regarda toutes les deux à tour de rôle et dit " Mais vous êtes insatiable, pourquoi toutes les filles que je baise de temps en temps, une fois que j'ai joui se rhabillent et partent ? Je fais si mal l'amour que ça ?" D'une seule voix, nous l'avons rassurez sur ce plan là. Le temps de finir la bouteille de champagne, et nous avons remis ça, jusqu'au moment ou un bruit de talon sur la parquet nous fit sursauter. C'était son assistante, qui venait lui dire qu'il était 19 h et qu'elle partait. Elle n'avait même pas frappé à la porte, certainement pour confirmer ce qu'elle présentait quand nous sommes montés à l'appartement, de s'envoyer en l'air tous les trois. Elle tourna les talons et parti en claquant la porte. Ewald nous expliqua, elle était arrivée peu de temps après qu'il m'ait racheté la galerie et l'appartement. Elle avait très vite sa maitresse mais ça ne lui suffisait pas elle voulait que je l'épouse. Je ne le désirais pas, trop attaché à ma liberté. Nous prenions du bon temps ensemble, elle avait tout ce qu'elle voulait.
Un jour, sans doute pour me rendre jaloux, elle avait fait venir trois copains à elle dans l'appartement et quand je suis entré, je les ai trouvé tous en train de la baiser. J'ai mis ses copains à la porte et un me dit en partant, "Tu sais ce n'est pas la première fois qu'on la baise ta copine, t'es trop vieux pour elle, tu ne lui suffit pas." Fou de rage j'ai mis un coup de poing au mec et je lui ait cassé le nez, certainement pas très fier de lui il n'a pas porter plainte.
Laura recroquevillé dans un fauteuil pleurait, Je ne lui ai rien dit, mais depuis ce jour là ça été fini entre nous. Quinze jours plus tard elle démissionnait. Il y six mois, je l'ai vu revenir me voir, toute penaude, je venais de me séparer d'une fille que j'avais embauchée et qui était bonne à rien. Elle me demanda de lui pardonnez, et moi quand une femme pleure devant moi je perds mes moyens, alors je lui ai dit d'accord, mais à une seule condition, c'est que même si nous couchions ensemble, nous gardions tous les deux notre entière liberté. moi je l'accepte, elle plus difficilement, d'ou son intrusion tout à l'heure. Nous avons 25 ans d'écart tout les deux et je comprends que ce ne soit pas très facile pour elle. Je doit vous avoué que j'aime aussi les garçons et là elle a vraiment du mal à accepter. Elle a même essayer de s'en faire un, elle est mal tombée, celui-là rien qu'à l'idée de voir un sexe de femme le rendait malade.
Et si nous allions diner. Nous acceptions et après avoir téléphoner à Max qui déçu, nous dit qu'il avait prévu une petite soirée. Je lui répondais qu'on en pouvait plus et que ce soir serait une soirée soft. Il était vingt heures, Ewald téléphona pour réserver une table dans un restaurant ou il avait ses habitudes. Après le diner, il nous raccompagnât en taxi jusqu'à l'hôtel particulier de Max et il reparti chez lui.
Depuis notre arrivée toutes ces soirées m'avaient fait un peu oublié ma mère toujours à l'hôpital. Mon frère était arrivé de Stockholm mon père n'était pas tout seul. Demain nous devons reprendre le train pour Marseille et rentré à New York, un vernissage d'une nouvelle exposition devant avoir lieu dans 4 jours.
A suivre .....
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
Pour des raisons de confidentialité des participants à mes soirées, les photos illustrants les articles de mon blog sont tirées d'Internet.
Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer mon nom "
Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon site " www.lolita-o.fr. "
Bonne lecture