Las Végas 15h30,
Joé nous emmenais tous les quatre à l’aéroport. Nous prenions un petit avion qui nous emmena à Saint Martin. Sur l’aéroport Le Falcon nous attendait, nous nous sommes installés dans ce luxueux avion. A 17 heures nous décollions direction Las Vegas. Je n’aurais jamais imaginé en quittant Lyon quatre semaines plus tôt de vivre tout ce que je vivais aujourd’hui.
L’hôtesse une très jolie brune typée hispanique, pris soin de nous en nous offrant des coupes de champagne et toasts au caviar et foie gras. John la regardait avec insistance, je lui faisais remarquer, « Attention si tu veux la baiser, je serais là, » il rit et me fis remarquer qu’elle était très belle et que si il avait été seul. Il aurait bien réalisé son fantasme, baiser une hôtesse de l’air dans l’avion en plein vol et vue la façon dont elle le regardait, ça n’aurait certainement pas difficile. Je demandais à John : « Veux tu que je lui demande ? », il me regarda avec curiosité et répondit : « Tu ferais ça », Je me levais en me dirigeant vers l’arrière de l’appareil, je m’approchais de l’hôtesse et lui dit : « Mon ami à envie de vous baiser, vous seriez d’accord ? A un moment j’ai cru qu’elle allait me sauter dessus en m’injuriant de tous les noms, mais rien ne sa passa, elle rougit un peu et reprenant ses esprits, elle me dit : « Pourquoi pas ». Je revenais à mon siège et disait à John : « Tu peux y aller, elle est d’accord ».
John ne se le fit dire deux fois ; il se leva, se dirigeât à son tour vers l’arrière de l’appareil et ouvrit la porte de l’office. L’hôtesse l’attendait. Je pénétrais à mon tour dans l’office, et assistait au spectacle. John la déshabilla de sa jupe et de son chemisier, elle s’accroupit, ouvrit sa braguette, sortit le sexe de John en pleine érection et commença à lui faire une fellation. Elle me jetait de temps en temps des regards, ne comprenant pas très bien comment fonctionnait notre couple, et repartait de plus belle en avalant complètement le sexe tendu à l’extrême.
Jugeant que cela avait trop duré, John la releva, lui retira son soutien gorge et son string. Elle avait une paire de seins magnifiques, lourds et complètements bronzés, et un sexe complètement épilé fendu très haut et sans aucune marque de string sur son bronzage. Il la posa sur le petit comptoir, lui souleva les jambes et la pénétra d’un seul coup. Elle gémit à cette pénétration rapide et profonde, puis John s’activa de plus en plus vite pour exploser enfin, inondant l’intérieur du ventre de l’hôtesse de son liquide chaud et épais. Elle restait assise sur le comptoir, les yeux dans le vague et secouée de petits spasme de bonheur. Je m’approchais alors du sexe de John et entreprenais de finir de le vider, ce qui me provoqua chez moi un orgasme.
En ressortant de l’office, elle nous dit : « nous avons encore trois bonnes heures de vol, alors.. » Elle ne terminât pas sa phrase, visiblement elle avait appréciée la petite séance. En regagnant nos places, Justine et Bruno nous regardaient avec un petit sourire, car pendant que nous étions occupés avec l’hôtesse, ils s’étaient joyeusement envoyés en l’air. Les phantasmes de tout le monde étaient réalisés.
Le vol se déroula sans encombre et le pilote nous annonçât qu’il commençait sa descente. Vingt minutes plus tard nous atterrissions à Las Vegas McCarran International Airport. Après les formalités, une limousine nous emmenait vers l’hôtel The Venitian.
Et là c’est grand choc, on a tous vu des vidéos et des films sur Las Vegas, mais quand on est dans la ville, c’est complètement différent. Cette impression immédiate de gigantisme, de démesure. C’est la course au plus beau, au plus grand, au plus haut.
Nous circulions sur le « Strip » l’avenue principale de Las Vegas, les hôtels casino se succédaient, ce ne sont pas des hôtels mais des villes dans la ville. John m’expliqua en passant devant le Caesar Palace, qu’il fut un temps, le Grand Prix des USA de Formule 1 se déroulait sur le Parking de l’hôtel, ce qui donne la dimension de celui-ci.
Puis nous sommes arrivés à l’hôtel « The Venitian ». Un immense bâtiment en arc de cercle. Là je ne me trouvais plus à Las Vegas, mais à Venise avec son grand canal, ses gondoles, ses palais, ses places, ses restaurants. Un dépaysement complet. La limousine s’arrêta devant l’entrée de l’hôtel grande comme une entrés de gare, avec des lumières partout. Aussitôt des chasseurs s’occupèrent de nos bagages. Les formalités d’accueil faites on nous conduisit dans nos suites respectives. Elles étaient toutes contigües. Et là encore un grand choc, la suite était magnifique avec un superbe salon, un chambre avec un lit immense, intimement, je pensais qu’on pouvait tenir à six dans ce lit, une salle de bain toute en marbre, enfin le rêve.
Il était 19 heures, et j’ai profité de ce temps avant le diner, pour téléphoner à mes parents. Ils me confirmèrent leurs arrivées pour le surlendemain. John, me regardait, j’étais comme une enfant devant ses cadeaux de noël. Il souriait en me voyant heureuse, je m’approchais de lui, passais mes bras autour de son coup, et l’embrassais longuement, il me prit dans ses bras, me porta sur le lit, et il me fit l’amour, lentement, profondément, avec tendresse et passion.
Vers 20 heures Justine et Bruno nous on rejoint dans notre suite. John avait réservé une table au restaurant de l’Eiffel Tower – la Tour Eiffel de Las Vegas. La limousine vint nous chercher pour nous y emmener. Un ascenseur nous conduisit au sommet. En réalité elle fait la moitié de la tour Eifel de Paris, mais de là-haut, on a une vue exceptionnelle sur Las Vegas, et Las Vegas la nuit, les éclairages, c’est mille fois Paris.
Nous avons diné, puis bien sur, direction le Casino de l’hôtel The Venitian. Visiblement John et David étaient des habitués des jeux. Nous sommes restés deux bonnes heures à mettra des pièces dans les différentes machines. La chance n’était pas avec moi, pas plus qu’avec Justine. Bruno a réussi à se rembourser ses mises. Tant qu’à John il a perdu tout ce qu’il avait joué.
Une foule très bigarrée est cliente des ces casinos. Des filles plus jolies les unes que les autres qui papillonnent autour des hommes, n’hésitant pas à les draguer ouvertement même devant leurs femmes. C’est d’ailleurs exactement ce qui c’est passé.
Depuis un moment j’observais une fille brune, certainement d’origine Vietnamienne ou Thaï, avec des cheveux lui descendant jusqu’aux fesses, habillée, je devrais dire déshabillée d’une mini jupe, et d’un chemiser cachant juste le devant de son buste, laissant apparaître sur les cotés deux seins magnifiques. A un moment elle engageât la conversation avec John. Je ne sais pas ce qu’ils se sont dit, mais ils se retournèrent ensemble pour me regarder, sans doute qu’il lui disait qu’il était accompagné.
La fille vint alors vers moi, elle se pencha à mon oreille et me dit directement, qu’elle était disponible pour une nuit à trois ! Gonflée la minette. Je remarquais alors dans l’entrebâillement de son chemisier, une trace longiligne sur son sein gauche, peut être une cicatrice. John nous a rejoints. Je lui disais que cette femme désirait coucher avec nous. Il me regarda, cherchant dans mon regard une réponse, Oui, Non ? Il a du comprendre Oui, car il lui demanda dans la foulée, Combien ? La fille lui répondit, sur un ton outragé, qu’elle ne faisait pas ça pour l’argent mais pour le plaisir, qu’il lui plaisait, et que j’étais tout à fait le type de femme avec qui elle avait envie de faire l’amour. D’un commun accord, nous acceptions, John lui donnait le numéro de la suite, avec rendez-vous dans une heure.
La fille s’éloigna en se dodinant sur ses escarpins à talons très hauts, John me regardât et me dit : « Il faut bien que nous enterrions notre vie de célibataires ». La soirée avait très bien commencée, je pensais qu’elle allait bien se terminer. John demandât au barman, s’il connaissait cette fille ? il lui répondit : « Oui c’est une habituée, mais ce n’est pas une prostituée». John semblait rassuré par cette réponse.
Nous retrouvions nos amis, et je disais à Justine comment allait se terminer la soirée. En riant elle dit : « Tu me fais des infidélités ?» Je répliquais : « Promis je te raconterais ». Nous nous sommes séparés en se souhaitant à tous une bonne nuit.
Une fois dans notre suite, je me déshabillais et prenais une douche, John pendant ce temps, téléphonait au room service ouvert 24 h sur 24 et commandait du champagne et quelques encas. Cinq minutes plus tard, le garçon d’étage nous apportait sur une table roulante dressée, avec dans un seau à champagne, un magnum, il y avait des toasts au caviar, des fraises, une corbeille de fruits et petit bouquet de fleurs. Il faut reconnaître que ces américains on le sens de l’organisation et du service.
Quelques minutes plus tard on frappait à la porte, John alla ouvrir, c’était notre belle asiatique. Elle s’était changée pour revêtir une robe traditionnelle de son pays, robe fendue des deux côtés jusqu’à la taille. Normalement cette robe est portée sur un pantalon, mais là visiblement elle ne portait rien dessous, effectivement lorsqu’elle s’assit, elle laissa entrevoir son entrejambe parfaitement épilé, nu de tout sous-vêtement.
En savourant le champagne et les amuse-gueules, elle nous a dit s’appelée, Alexa et d’être de mère vietnamienne, et de père américain et qu’elle était née aux USA il y a 21 ans. Elle avait apporté avec elle un sac d’une grande marque, mais d’une taille ne correspondait pas à un sac à main. Il était plus grand.
Assis chacun sur un fauteuil du salon, et Alexa sur un canapé, John décida de passer aux choses sérieuses et vint s’asseoir à côté d’elle. En lui posant sa main sur sa cuisse nue et dit « Je pense que nous serions mieux dans la chambre ». On se leva, et tout en marchant elle défit sa robe et lorsqu’elle arriva dans la chambre, elle était totalement nue. Elle avait un corps sublime, des jambes longues, des seins très hauts et relativement volumineux. Prise de cours, je m’empressais d’en faire autant, pendant que John en faisait se déshabillait à son tour.
Je remarquais alors en détail la trace que j’avais vue sur son sein, ça ressemblait à une zébrure, comme si elle avait reçu un coup avec un objet fin. Elle portait également sur son sexe, sur chaque lèvre, deux petits anneaux dorés et planté au beau milieu de son clitoris un bijou en forme de petite boule. Elle commença à s’occuper de moi, elle s’allongea sur moi en position de 69, sa bouche se colla à mon sexe, j’en fis autant et léchait ce bijou, qui visiblement devait accentuer la sensibilité de son clito, car elle commença à onduler de plaisir. Et nous voilà partie pour une séance de bouche à sexe effrénée. Laissé seul, John décida se s’occuper du cul d’Alexa, Elle ne broncha pas quand il la pénétra de toute la longueur de son pénis. De ma position j’avais une vue idéale sur le sexe de John pénétrant de plus en plus vite le cul d’Alexa. J’allais alternativement du sexe d’Alexa aux bourses de John que je léchais et les aspirais. Nous avons jouis pratiquement tous en même temps, ma bouche toujours collée je savourais son orgasme.
Nous sommes tombés allongés tous les trois côtes à côte sur le lit. Après avoir un peu récupérer, Alexa se leva et alla chercher son sac. En revenant elle nous dit : « Il faut que je vous avoue, je suis maso, » Je m’attendais à tout sauf à ça. John lui demanda « Maso hard, vraiment ou soft ? » Elle le regarda dans les yeux avec une expression de bonheur et dit : « Non hard, très hard ». Qu’allions nous faire. John me regarda, souhaitant une réponse, mais je restais sans voix. Il décida pour moi en disant : « Puisque tu veux souffrir, tu va être servit, mais je te préviens quand je commence quelque chose je vais jusqu’au bout, et c’est moi qui déciderais d’arrêter quand je le souhaiterais. Tu auras beau me supplier, je continuerais. Tu es d’accord ?».
Ses yeux pétillaient. Ca voulait dire oui. John lui demanda : « Qu’est-ce que tu transportes dans ton sac ? » Il l’ouvrit et en sortis tous un matériel sado maso, il y avait de tout. Des menottes, des fouets, des cravaches, des sex-toys de toutes sortes, une boite contenant des aiguilles hypodermiques, un masque complet cachant les yeux le nez, un bâillon, des cordes, des bougies etc.
Je regardais effarée John qui avait l’air d’être sur de lui. Il attacha les mains d’Alexa au montant du lit puis chercha dans le sac, il trouva deux ceintures de cuir noir, auxquelles était fixé deux mousquetons. Alexa expliqua qu’il fallait lui mettre ces ceintures sur le haut de ses cuisses, et attacher les mousquetons aux anneaux de son sexe. John s’exécuta, les mousquetons fixés il comprit quand lui écartant les jambes, ça lui ouvrait le sexe. Il attacha ses pieds de chaque côté des pieds du lit, ce qui lui écarta les jambes au maximum. Son sexe était complètement ouvert, ses lèvres étirées au maximum offraient un vue sur son intérieur. Ca devait lui faire un mal pas possible, mais elle ne bronchait pas. Il lui mit le bâillon composé d’une grosse boulle de caoutchouc qui lui entra dans la bouche et l’attacha avec les liens derrière la tête. Puis il me demanda de choisir un des fouets dans le sac. Je choisis pour commencer une petite cravache fine et très souple à son extrémité. Je la tendais à John qui s’installa le dos tourné à Alexa et commença a la fouettée sur les cuisses, puis directement sur le sexe largement offert.
Elle frémissait sous les coups mais sans visiblement souffrir. Il continua de plus belle. Chaque coup laissait des marques fines et ses lèvres intimes commençaient à gonfler légèrement sous les coups. Alexa remuait de plus en plus dans ses liens, ce qui accentuait encore plus l’étirement de ses lèvres intimes. Jugeant que cela avait assez duré, il arrêta le supplice. Le sexe d’Alexa était meurtri, mais elle en redemandait encore plus.
Je fouillais dans son sac et trouvais une gode de grande taille, je l’enduisais de gel et lui perforais les reins d’une seule poussée. J’appuyais ensuite sur le bouton, ce qui déclencha des vibrations. Je le mettais eu plus fort des vibrations. Alexa gémissait de plus en plus.
Son sexe ouvert me donnât une idée, je m’approchais d’elle, le poing serré je forçais son vagin jusqu’à faire entrer ma main jusqu’au poignet. Je sentais les vibrations intenses du gode, trouvant que ce n’était pas assez, je serrais mes deux mains et forçais à nouveau son sexe, La pénétration fut plus difficile. Arrivée au fond de son vagin, je desserrais et resserrais les poings. Elle se mit à gémir de plus en plus fort se tordant de plus en plus dans ses liens. John s’approcha, il passa sa main enduite de gel entre les miennes et appuya de toute sa force. J’ai cru qu’il allait la déchirée, mais il arriva à ses fins et Alexa avait dans son sexe, trois mains enfoncés jusqu’aux poignets.
Avec John ont fit alors un mouvement de droite à gauche ce qui déclenchât chez Alexa un orgasme à répétition, le traitement dura un bon moment, et quand nous avons retirés nos mains, elle joui tellement fort qu’elle évacuât un jet sans discontinué.
Alexa nous regardais aux anges. Toujours dans ses liens, qu’allions pourvoir lui faire subir. Ne pouvant parler, elle jeta un regard vers le sac, je fouillais à nouveau, et à chaque objet que je sortais, je l’interrogeais du regard. Je sortais un petit aérosol, elle fit oui de la tête. John compris tout de suite et pulvérisa sur son sexe béant une bonne dose du produit. Il s’agissait d’un gel chauffant, marqué « Very hot ». Après un court instant, le produit fit son effet et son sexe se colora immédiatement d’un rouge foncé. Pour accentuer la réaction, John trouva sans son sac un autre gode plus gros que le premier et il la masturbât alors violemment en l’enfonçant le plus possible tout en pinçant et tordant de son autre main son clitoris. Les yeux d’Alexa s’embuèrent alors de larmes, elle devait souffrir le martyre, mais c’est elle qui l’avait voulu.
John retira les deux engins de torture, détachât Alexa de ses liens, elle se recroquevilla sur elle même en mettant ses deux mains sur son sexe martyrisé, elle pleurait maintenant. Je la prenais dans mes bras, et l’embrassais tendrement. Elle se calma alors, se leva et partit dans la salle de bain. Nous nous regardions avec John, en se demandant comment une femme pouvait prendre autant de plaisir à souffrir. Ce ma rappelait les soirées à Rambouillet, ou des femmes venaient de leurs plein grés se faire torturer, pour arriver à l’orgasme.
Nous avons attendu le retour d’Alexa au salon en buvant une coupe de champagne. Quand elle réapparût, elle semblait complètement apaisée et visiblement prête à recommencer. Mais la soirée se termina autrement. En levrette côte à côte sur le canapé, John nous baisait tour à tour, entrait dans mon sexe, ressortait pour pénétrer le cul d’Alexa, puis ressortais pour entrer dans le mien, puis dans le sexe d’Alexa. Je me demandais combien de temps il allait tenir à ce rythme et qui allait avoir les faveurs de sa jouissance. Ce fut moi qui reçu le liquide chaud et abondant au fond de mes reins.
Complètement vidé par cette séance, nous nous sommes allongés dans le lit et nous nous sommes endormis tous les trois, John au milieu de nous deux. A dix heures, je me réveillais et trouvait Alexa avalant le sexe de John, qui semblait encore dormir, et qui développait une érection matinale magistrale. Ne voulant pas assister au spectacle sans réagir, j’entrepris avec Alexa d’appliquer à John une double fellation, et nous avons reçu dans nos bouches le sperme de John.
Quelle nuit ! L’enterrement de nos vies de célibataires s’était passé au-delà de nos espérances. Alexa nous quitta en nous remerciant pour cette nuit, elle avait souffert, mais c’est ce qu’elle voulait. Nous avons appris par un des responsables de l’hôtel, qu’en faite ces filles vivent pratiquement à l’année à Vegas, en s’invitant dans les chambres des clients, sans rien demander en échange, que de proposer leur corps sans contrepartie financière. Elles vivaient dans le luxe des hôtels, déjeunaient dans les meilleures table, Alexa faisait partie de celles-ci. Pendant que j’allais dans la salle de bains, John me dit qu’il avait quelques coups de téléphone à passer pour régler certaines affaires.
A midi, ont frappa à la porte, c’était Justine. Je lui racontais notre nuit, elle regratta de ne pas avoir assistée en spectatrice à cette séance. Tiens, une nouvelle facette de Justine que je ne connaissais pas. Aimerait-elle tenter l’expérience ? Il faudra que je lui pose la question. Je téléphonais à John pour prendre des nouvelles de la situation. Il me dit que ça ne s’arrangeait pas, et qu’en fait la tempête tropicale se transformait en ouragan. Mais que tout était prête pour affronter les éléments.
Après un brunch copieux pris dans l’hôtel au restaurant Zeffirino, direction les boutiques. John connaissait parfaitement Las Vegas. La limousine nous conduisit dans la boutique Chanel pour me choisir un ensemble pour le mariage. Après quelques modèles présentés par des mannequins maison, j’ai choisis une robe assez courte blanche rehaussée de perles et de broderies. Les chaussures et le sac suivit. Ensuite passage chez le joaillier. John a choisit pour moi une alliance en platine et serties de diamants et, un très joli collier avec boucles d’oreilles assortis. Puis vint son tour, costumes, chemises, chaussures et enfin son alliance, en platine gravé. La Platinium American Express avait sérieusement chauffée.
Le soir nous avons diné dans un restaurant western, avec au menu, une côte de bœuf par personne. Et inévitablement ensuite un petit tour au casino du Ceasar Palace. Nous n’avons pas revu Alexa. Vers une heure, nous sommes rentrés à l’hôtel, chacun se salua et entra dans sa suite. Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte, c’était Justine qui me demandait s’ils pouvaient venir finir la nuit avec nous. Nous ne pouvions pas refuser une sollicitation de ce type, elle revint avec Bruno.
La nuit s’est passée en me partageant entre John et Bruno, quand ce n’était pas les deux en même temps. Pour sa part Justine les a reçus de la même façon. C’est le téléphone qui nous tira de notre sommeil. Il était 11 heures, c’était mes parents, ils venaient d’atterrir à l’aéroport. John leur dit qui leur envoyait la limousine. Dans notre euphorie de nos journées et surtout de nos nuits, j’avais zappé qu’ils arrivaient ce matin.
Une heure plus tard, ils arrivaient à l’hôtel. Ma mère toujours aussi belle, et mon père bronzé, avait rajeuni de dix ans. J’étais heureuse de les voir.
A suivre
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
Pour des raisons de confidentialité des participants à mes soirées, les photos illustrants les articles de mon blog sont tirées d'Internet.
Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer mon nom "
Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon site " www.lolita-o.fr. "
Bonne lecture