Avec des amis, nous aimons nous retrouver dans des clubs échangistes. Il faut toujours apparaître en couple vis-à-vis des participants. Il faut qu’ils aient vraiment l’impression qu’ils vont baiser la femme d’un autre, c’est pourquoi l’ami avec qui je suis ce soir là me présente comme sa femme.
Certains clubs sont fréquentés uniquement par des couples d’un âge relativement avancé, ce qui n’est pas forcement désagréable. Dans ces cas là il faut jouer le jeu. Il faut que la dame qui regarde son mari baiser un fille de 30 ans de moins que lui soit persuadée qu’il est un grand baiseur, qu’il envoie cette gamine au septième ciel, et quand ils rentrent chez eux celle-ci à droit à une sacrée fiesta.
J’ai connu lorsque j’étais étudiante à Paris, certains clubs échangistes dont un particulièrement. Situé à Ville d’Avray, " Le Roi R..." c’est certainement un des plus vieux clubs de ce style en France encore ouvert, je crois me souvenir qu’il a été créé en 1934. Le côté insolite de ce club c’est d’être situé à 50 mètres d’une gendarmerie.
Ce club très fermé, comportait également un restaurant, excellent de surcroit, où on pouvait diner dans la tenue de son choix. Ca allait de la robe de soirée au nu intégral.
Après avoir diné, tout ce petit mon de se retrouvait dans le club adjacent. Un grand bar attendait les clients. La première fois que je suis entrée dans ce club, je portais une robe longue fendue des deux côtés jusqu’à la taille et avec un grand décolleté dans le dos, l’accès à mes seins en était très facilité. Il faut savoir ce que l’on veut. Mon « mari » d’un jour m’a accompagné au bar et je me suis assise sur un tabouret. Très gentiment il me fit remarquer qu’ici les femmes devaient s’asseoir les fesses nues directement sur le tabouret. Je m’exécutais et c’est là que je constatais que le milieu du tabouret était découpé en forme de cœur.
On me servit une coupe de champagne, et presque aussitôt un homme s’approcha derrière moi, passa sa main sous le tabouret et commença à me caresser le sexe. Une sensation nouvelle dans ce cadre très chique, j’imaginais cette même scène au bar d’un grand hôtel et je frissonnais de plaisir. Je me retournais et constatais que l’homme devait avoir une quarantaine d’années, portait beau, dans un costume sombre impeccable. Il s’adressa à mon « mari » en ces termes : « Vous permettez que je baise votre femme ?». J’ai faillis éclater de rire en repensant à la chanson d’Adamo, sauf que là c’était pour un autre type de danse. Mon « mari » acquiesçât, et l’homme lui dit : « il en est de même pour moi, vous verrez dans un salon, une grande fille brune complètement nue, entrain de se faire baiser depuis une bonne heure, alors elle est à vous, une précision, elle accepte tout d’un homme, avec une préférence pour la sodomie ».
Le tableau était planté, il ne restait plus qu’à se mettre à l’œuvre. Je suivais cet homme dans un petit salon, il me fit assoir sur la banquette, il défit son pantalon et laissa apparaître un sexe, comme je n’en avais jamais vu. Il était au repos, ce qui m’inquiétais sur l’effet que je lui faisais, et il devait faire au plus cinq centimètres de long. Il me tendit un préservatif d’une taille adaptée, je lui enfilais sans effort en me disant que j’allais le retrouver au fond de mon sexe et j’approchais néanmoins ma bouche et commençais à lui faire une fellation, en espérant qu’il prenne une dimension plus honorable. Il s’est mis à se durcir, et quand il jugeât qu’il était au maximum de sa taille tout au plus dix centimètres, il me retourna, releva ma robe et me pénétra.
Plus habituée aux sexes XXXL qu’aux sexes S, je ne sentais strictement rien, heureusement au bout de quelques instants, il éjaculat en se couchant sur moi. Il se rhabillât, me remerciât, je ne sais pas pourquoi et repartit vers le bar. !
Frustrée par ce premier coït, je décidais d’aller découvrir ce que ce club pouvait offrir comme autre sensations plus intéressantes. Je retrouvais mon mari d’un soir en plein action sur une femme brune, qui devait être la femme de l’homme à la petite bite. Sur une grande table recouverte de molesquine, un homme était couché sur le dos, la femme à califourchon sur lui, et mon ami derrière en train de la sodomisée allègrement. Je la regardais, elle avait les yeux complètement révulsés et semblait dans un autre monde. Je me disais que vu la taille du sexe de son mari, je comprenais qu’elle ait besoin d’autres choses de plus consistant. J’imaginais le sexe de mon ami qui était de bonne taille dans le cul de cette femme et de cet autre sexe qui la pilonnait par devant, et je commençais à avoir de fortes envies.
Heureusement, un couple s’approcha de moi, la femme d’une trentaine d’années tout au plus et me murmura à l’oreille : « j’ai envie de toi, et mon mari aussi ». Comme j’étais évidemment d’accord avec cette proposition, nous nous sommes installés dans un coin d’un salon, où s’activait un couple sur une table.
La femme, commença à m’embrasser, puis elle passa le haut de ma robe par dessus ma tête, je me retrouvais complètement nue, elle m’embrassa longuement les seins, puis sa bouche descendit vers mon sexe qu’elle commença à lécher et sucer avec une telle technique que j’ai joui presque aussitôt. Pendant ce temps là son mari avait sorti son sexe et me le présentait à ma bouche, excitée comme je l’étais, je l’avalais et commençais une fellation d’enfer, son sexe de bonne taille butait dans le fond de ma gorge, je le gardais quelques instants ainsi au fond de ma gorge, et recommençais à le branler et après plusieurs minutes il se vida dans ma bouche en longs jets brûlants. J’éclatais à mon tour en longs spasmes, la bouche le la fille toujours collée à mon sexe et qui buvait avec délice le résultat de mon orgasme.
J’adore l’ambiance feutrée de ce club, ou le savoir vivre est de rigueur, ces relations rapides avec des inconnus, bonjour, bonsoir, merci vous m’avez bien baisée. Rien n’est imposé, il y a des femmes et des hommes qui ne participent pas et qui viennent en simples spectateurs.
Je retournais au bar, commandais une coupe de champagne au barman. C’est à ce moment que mon ami vint me retrouver. Il me demanda comment s’était passé ma soirée. Je lui racontais ma partie de jambes en l’air avec le mari de la brune. Il se mit à rire, en me disant : « je le sais », la femme brune qu’il avait sodomisée lui avait avoué les caractéristiques anatomiques de son mari. C’est la raison pour laquelle il venait chaque semaine dans ce club pour qu’elle puisse s’éclater.
Pourquoi pas, visiblement ils trouvaient dans ces ébats une certaine sérénité dans leur couple. Pour ma part, je suis intimement convaincue, que l’échangisme favorise la réussite d’un couple marié depuis quelques années. Ca les empêche de tomber dans la routine, et au lieu de partir chacun de son côté chercher ailleurs ce qu’il ne trouve plus dans le couple, les réunis au contraire dans une excitation mutuelle.
Ils organisaient de temps en temps des concours de celles qui recevraient le plus d'hommes
en une soirée, je crois me souvenir que le reccord est de 38. Pas mal, la gagnate avait droit alors à une petite plaque de cuivre fixée sur un mur avec son prénom et son reccord
personnel
Cette expérience de clubs échangistes, je l’ai pratiquée et la pratique encore, je trouve dans ces rencontres avec des inconnus (es), que l’on ne revoit pas forcement, (sauf étalons exceptionnels) des sensations uniques.
A suivre
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
Pour des raisons de confidentialité des participants à mes soirées, les photos illustrants les articles de mon blog sont tirées d'Internet.
Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer mon nom "
Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon site " www.lolita-o.fr. "
Bonne lecture