Chapitre 06 - Une partie de chasse très spéciale

Quelques mois plus tard, je recevais un coup de téléphone. C’était  Laurent, également un des amis présent à la fameuse soirée. Il me proposait de passer un weekend chez des amis à la campagne. N’ayant rien de prévu, j’acceptais l’invitation. Nous avons convenu qu’il viendrait me prendre le samedi suivant vers 11 heures.

Le Samedi  à  onze heures, nous partions en direction de l’autoroute de l’ouest vers Versailles,  puis en direction de Louveciennes. Nous sommes passés devant le « Cœur Volant » et le « Pacha-Club » restaurant discothèque ou j’allais quelque fois. Puis nous avons pris une petite route qui nous mena dans une propriété entièrement close d’en mur d’enceinte de plus de 3 mètres de haut. Une grande bâtisse surgit au détour de la route privée. La maison était entièrement entourée de bois parfaitement entretenus.

Je reconnu sur le perron  Philippe, un des participants également de notre soirée. Il nous accueilli et nous fit entrer dans un grand salon,. Il y avait là une dizaine de couples et quelques hommes seuls,  je reconnus certaines de ces personnes, d’autres par contre m’étaient totalement inconnues. On nous servit des apéritifs puis nous sommes passés à table.

Vers la fin du repas, David nous demanda si nous connaissions le « Jeu du Chasseur ». Visiblement certains connaissaient ce jeu. Alors Philippe expliqua de quoi  il s’agissait : « C’est très simple, les hommes sont les chasseurs et les femmes le gibier ». Effectivement ça ne pouvait être plus simple. Cette « chasse » devait se dérouler dans les bois attenants.

La question fut posée de savoir qui voulait participer, Laurent me demanda : « partante ? », devant la totalité de « oui » des invités, je ne pouvais pas me dérober, d’autant plus que  je voulais en savoir un peu plus sur « cette chasse ». Nous étions une dizaine de femmes à devenir devant les chasseurs, le gibier, mais nous ne savions pas comment allait se dérouler cette chasse.

Le repas terminé nous avons été séparé entre les hommes et les femmes. Nous avons été conduites dans une pièce ou pendaient sur des portiques des tenues vestimentaires composées d’une mini jupe style kilt, sans ceinture ni bouton uniquement fermée par une bande de velcro, d’un chemisier également sans bouton à fermer par un nœud sous les seins, d’une casquette et d’une paire de tennis. Cette tenue faisait penser à une tenu d’écolière, en plus érotique. La femme qui nous avait accompagné, nous demanda de quitter tous nos vêtements en précisant ; «  ni slip, ni sous-gorge ».

Une fois habillée ou plutôt déshabillée, la jupe m’arrivant au raz des fesses, on nous emmenât dans deux minis-bus dans le bois. Là, un homme nous attendait, il se présenta comme le « Garde Chasse » il nous distribua des lunettes style lunettes de protection, on nous a fait choisir dans un sac un badge portant un numéro que nous devions accrocher sur le chemisier. Il nous expliqua, que nous avions  quinze minutes pour se disperser et se cacher dans le bois, au bout de ce délai, au son du cor, les chasseurs seront lâchés. Il nous expliqua qu’une douzaine de petites cabanes étaient disséminées dans le bois et que nous pouvions nous y cacher.

Il nous expliqua également que les « chasseurs étaient armés d’un pistolet à gaz en plastique qui tiraient des petites billes remplis d’une peinture. Ces pistolets qui sont en fait des pistolets d’enfants sont efficaces à 5 mètres maximum, donc évidement pas dangereux. Dès qu’un « gibier » était touché, il devenait la propriété du chasseur. Ils n’avaient pas le droit de tirer dans le dos, et uniquement sur le corps en évitant la tête. La durée de la chasse était imitée à deux heures.

Pour finir, Il nous expliqua que les chasseurs  avaient avec eux,  une liste des numéros des badges que pour portions sur nous, et chaque numéro  correspondait au rôle qu’il devait alors jouer avec « leur gibier ». J’avais tiré le numéro 9, je me suis dit que c’était  mon numéro chance !

Au son du cor, chacune d’entre nous partir dans toutes les directions. Les sous-bois étaient parfaitement nettoyés, les arbres n’avaient pas de branches basses, des chemins étaient balisés par des flèches qui indiquaient la direction du point de départ de la chasse. Je passais devant une cabane ou était attaché un âne qui paissait tranquillement.56.jpg

Des buissons de feuilles larges  et de fougères assez touffus étaient répartis de façon assez irrégulière, je compris que c’était un bon moyen de se cacher. Je trouvais une cabane, comme nous l’avait indiqué le « Garde Chasse », je poussais la porte, à l’intérieur très propre, il y avait une table, deux chaises, un canapé, une armoire. Je ne pris pas la peine de l’ouvrir, pensant que je ne pouvais pas me cacher dans cette cabane car je serais démasquée trop vite. Je ressortais et décidais de me cacher dans un buisson qui était planté tout contre la cabane. De la, je pouvais voir arriver l’assaillant à gauche en face et à droite. Et brusquement j’entendis le cor, la chasse était ouverte. Une poussée d’adrénaline monta en moi, je repensais au jeu de cache-cache de mon enfance, tout en me disant que le final sera très différent, et n’aura pas les mêmes conséquences.

Au bout d’un moment j’entendis un bruit à ma gauche, je me tassais sur moi-même, et j’ai vu arriver un chasseur, il était habillé d’un short kaki, d’un tee-shirt et d’une casquette de même couleur, il tenait à la main le pistolet  en plastique. Je me faisais la plus petite possible, il passa à deux mètres de moi, je l’entendis ouvrir la porte de la cabane, puis un grincement me fit penser qu’il avait ouvert l’armoire. J’avais eu du nez, de ne pas mis cacher.

Absorbée par ce chasseur, je n’ai pas vu arriver un autre de l’autre côté, au bruit qu’il fit en marchant sur une branche morte, je me suis retournée, il m’a vue, il a tiré, il m’a touchée sur mon chemisier, d’une petite tache bleue. Il s’approcha de moi, il ne faisait pas partie des hommes que je connaissais. Il était habillé de la même façon que le premier que j’avais vu. Il me tendit la main pour que je sorte de ma cachette, me fit mettre les mains dans le dos, et me conduisit dans la cabane. Il se retrouva nez à nez avec l’autre chasseur qui le félicita de sa prise, c’était flatteur pour moi.

Une fois à l’intérieur, il sortit de sa poche, un papier, regarda mon badge, lu son papier et m’annonçât : « Tu es mon gibier, je dois appeler deux autres chasseurs pour qu’ils viennent me retrouver. » Il sortit un Walkie Talkie de sa poche et appela, il donna le numéro de la cabane, et cinq minutes plus tard deux autres chasseurs entrèrent dans la cabane.

Ils inspectèrent les lieux, ouvert l’armoire. A l’intérieur était accroché toutes sortes d’ustensiles, des menottes, des fouets, des pinces pour seins, des poids, des cordes, des godemichés de toutes formes et de toutes tailles, enfin tout un ensemble de matériel sado maso.

Je lui demandais alors si la suite du scénario était écrit sur sa feuille, il me répondit d’une voix rude : « Non il faut que nous improvisions». Puis tout alla très vite, on tira sur ma jupette qui tomba aussitôt, on défit mon chemisier, retira ma casquette ce qui libéra mes cheveux que j’avais jusqu’au milieu du dos, puis ils se reculèrent pour me regarder, ils me tâtèrent mes seins, mes fesses, firent des commentaires sur mon physique, se posèrent des questions  sur ce qu’ils allaient faire de moi. J’étais observé comme un gibier qui aurait été tué, et que les chasseurs détaillaient pour savoir quels morceaux ils allaient déguster en premier.


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Leur décision a été très rapide, ils me firent mettre à genoux, ils se déshabillèrent et leurs sexes déjà dans une forme  acceptable se présentèrent devant mes lèvres. Le message était très clair, et je commençais des fellations sur ces trois sexes maintenant en super forme. Puis trouvant sans doute trop de douceur dans ce traitement, un me pris la tête et s’enfonça jusqu’au fond  de ma gorge, j’étouffais, je pleurais, avait des hauts de cœur, il ressortit son membre et un second me fit la même chose, puis le troisième, je ne pouvais même pas crier ma détresse.

Comprenant que je n’en pouvais plus, il se retira et j’ai pu continuée à les sucer à tour de rôle, jusqu’au moment ou un de « mes chasseurs » se déversa dans le fond de ma gorge. Pour celui-là au moins, j’avais un moment de répit.

Puis l’un d’eux vint s’asseoir sur le canapé, il me demanda de lui tourné le dos, il me fit descendre sur son sexe, les jambes écartées, j’ai alors senti son sexe se présenter à l’entrée de mon cul, il me prit par les hanches et brusquement me fit descendre sur ce sexe dressé, Cette introduction brutale me fit crier, mais visiblement il n’en avait cure. Le second se présenta alors devant moi et me pénétra mon sexe aussitôt et brutalement.

Leurs deux sexes en moi, je commençais à ressentir le plaisir monté en moi. Le troisième que j’avais fait jouir, se posa alors devant ma bouche et me planta son sexe, remis déjà en forme. Il avait la santé ce  chasseur. Cette séance dura un bon moment, ils échangèrent leurs places plusieurs fois, amenant de ma part des orgasmes successifs. Mais aucun n’a jouit.thumb.06.jpg

Pensant qu’il fallait un peu changé de scenario, l’un d’eux prit dans l’armoire un sex toys qu’il mit en marche. Il était assez gros, muni de petites aspérités, il tournait sur lui-même en se tordant. On me demanda de m’allonger sur la table, de  relever les jambes, et il m’introduit ce sexe en plastique dans le vagin. Les aspérités me chatouillaient l’intérieur de mon sexe, mais c’est quand il l’a mis en marche, que l’effet à changé. Il tournait lentement en se tordant, ça procurait une douleur intense qui ne tarda pas à se changer en un vrai plaisir, j’ai regretté lorsqu’il le retira, pour le remplacer immédiatement par son propre sexe.

Pensant qu’un seul gode ne suffisait pas, il demanda à un des participants d’en choisir un autre. Je le surveillais par-dessus son épaule, et quand j’ai vu le modèle qu’il avait choisi, j’ai été prise de panique. En effet ce sex-toys était en plastique d’une quinzaine de centimètres de haut et très conique, il devait faire à la base 8  cm qui se rétrécissait à sa base pour faire environ 3 cm. Un fil sortait de la base relié à une commande. Il se retira, posa l’engin sur le bord de la table  qu’il  avait préalablement lubrifié, à deux ils me soulevèrent sous les bras, le troisième positionna le gode à l’entrée de mes reins, et doucement ils me firent descende dessus. Déjà dilaté par la première séance, il pénétra de la moitié, mais ils avaient décidés d’aller jusqu’au bout.

Pour ça, un monta derrière moi sur la table, et commença à appuyer sur mes épaules. Millimètres par millimètres je sentais l’engin entrer en moi, J’ai commencé à crier, la douleur devenait presque insoutenable, mais rien ne les arrêtais. Je n’en pouvais plus, et puis d’un seul coup j’ai senti que j’étais arrivé à fond, mes fesses touchaient la table, et il tenait tout seul  au fond de mes reins. Alors ils prirent la commande, et une vibration commença à me chatouiller l’intérieur.

Pour compléter le tableau, un d’eux me pénétra par devant et commença son vas et vient. Il devait également sentir les vibrations au travers de mon vagin et il jouit rapidement, un deuxième le remplaça aussitôt, il augmenta  la puissance des vibrations, j’avais orgasmes sur orgasmes, il jouit plus tardivement que le premier, et fut remplacer par le troisième. J’aurai voulu que ça dure un peu plus, quand il jouit lui aussi. J’avais le sexe en feu, mais le plus dure fut quand ils m’ont retiré l’engin qui me perforait les reins. La douleur fut intense et déclencha de ma part un nouvel orgasme.

Content d’eux et de ma prestation ils m’embrassèrent à tour de rôle. Le temps avait passé très vite et on entendit la sonnerie du cor qui sonnait la fin des hostilités. Remise debout, j’ai eu du mal à retrouver mon équilibre, et ils m’accompagnèrent jusqu’au point de rassemblement. Je retrouvais les autres femmes. Certaines avaient subies des sévices beaucoup plus douloureux que moi. Une portait sur les seins des striures rougeâtres, une autre avaient encore la marque de pinces sur le bout des seins.

Une autre se tenait le bas ventre, je lui demandais ce qui lui était arrivé, elle ne voulut pas me répondre. Je posais la question plus tard au chasseur qui s’était occupé d’elle, il me dit en souriant : « elle m’a fait une remarque désobligeance sur la taille de mon sexe, par rapport à celui de l’âne qui se tenait attaché à côte de la cabane alors J’ai pris le banc de bois qui était à coté de la cabane,  je l’ai attachée dessus sur le dos,  les jambes bien écartées et attachées aux pieds et j’ai été cherché l’âne.

Elle a  rigolée en me disant que je n’étais pas capable de faire ça, C’est ce qu’elle n’aurait jamais du dire, car j’étais plus décidé à lui faire peur, que de réellement passer à l’acte. Mais elle m’a provoquée, alors l’âne s’est présenté au dessus d’elle, il faut croire qu’il devait être habitué car il a développé une énorme érection, (d’où l’expression bander comme un âne), j’ai présenté son sexe devant le vagin en écartant les lèvres, et l’âne à fait le reste. » Ne me dis pas qu’elle s’est faite baiser par un âne », répliquais-je.  « Si  et crois moi il s’est enfoncé de la moitie de sa longueur, et quant il a éjaculé, elle s’est mise à hurler encore plus fort. »


Je la retrouvais, je luis ai dit que j’étais au courant et elle m’a dit que ce n’était pas la première fois, que c’était un jeu entre eux, et qu’elle était d’accord pour ce genre d’accouplement. Je découvrais une fois de plus la  perversité de l’être humain, il faut quand même être un peu dérangé pour aimer se faire baiser par un âne. J’ai appris depuis qu’il y avait pire dans le genre.

Je retrouvais Laurent, qui me demanda comment ça allait, « Bien je suis prête à recommencer » Il me rétorqua : « tu es folle et insatiable ».

Après une bonne douche, j’étais prête et en pleine forme pour la soirée. Je fus déçue car rien ne se passa, et je retrouvais Laurent dans notre chambre pour une nuit plutôt agitée.

Au matin, Philippe nous rejoignit dans la salle à manger alors que nous prenions notre petit déjeuner. Il nous dit : « Je vous propose de venir tous  à la piscine, pour un bon bain de relaxation ! » Qu’appelait-il un bain de relaxation ? A la piscine, nous attendaient  des tables de massages, devant ces tables, des masseurs pour les femmes et des masseuses pour les hommes, tous de types asiatiques. C’était donc ça le bain de relaxation ! La matinée se passa comme dans un rêve. Celui qui m’avait été attribué  me massa devant derrière, se mettant sur moi et me massant avec son corps. Je sentais son sexe, assez court mais d’une rigidité extraordinaire, Il me fit l’amour trois fois.

Mes voisins n’étaient pas mal lotis non plus, ces ravissantes filles, les massaient avec leurs corps, avec la bouche, avec leur sexe. C’était elles qui dirigeaient les opérations, fellations, pénétrations, sodomisations, elles accomplissaient leurs tâches avec un professionnalisme exemplaire. Après que tout le monde se soient retrouvés dans la piscine, nous avons déjeunés et vers 16 heures, nous avons pris congé de Philippe.

Sur le chemin du retour, Laurent me dit : «  sympa le weekend ! » J’acquiesçais en me disant que j’y retournerais bien une autre fois.

 

A suivre

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Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer  mon nom  " Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon sit" www.lolita-o.fr. "

Bonne lecture 

 
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