MON JOURNAL INTIME

New York le 14 avril 2012

Depuis mon dernier récit du mois de janvier, j’ai été très prise par ma galerie qui marche de mieux en mieux. Il faut dire que je m’y emploi a fond dans tous les sens du terme. Nous avons avec John, Justine et Bruno participer à quelques soirées, qui ne nous ont pas laissé des souvenirs impérissables.

Notre ami Aaron manquait un peu d’imagination, et c’est pourquoi nous lui avons suggéré une soirée que nous avons appelée, « la soirée de tous les records ». L’idée lui a plu et il se chargea rapidement de l’organiser.

Un mois plus tard, il lançait les invitations. Rendez-vous dans la salle située dans un entrepôt sur le port, là ou il avait organisé « la Soirée Caligula ». Au programme 10 femmes en couples ou non et 150 hommes non accompagnés.

Le jour dit nous nous sommes rendus dans cette immense salle. Aaron nous accueilli comme toujours accompagné d’Eva  son « esclave » plus belle que jamais. Cette fille était faite pour l’amour, et elle ne s’en privait pas. Nous étions arrivés un peu en avance pour régler les derniers détails avec Aaron. Trois couples se tenaient devant un buffet largement garni.  La salle était décorée style 1930, avec des alcôves ou était disposé d’immenses lits, les trois côtés fermés étaient recouvert de glaces ainsi qu’au plafond, dans les quatre coins de chaque alcôves et il y en avait dix, quatre caméras télécommandées qui pouvaient filmer sous tous les angles. 2 caméramans complétaient  le tableau pour les gros plans. Comme à son habitude, Aaron aimait bien laissé un souvenir à ses invités. Il avait été demandé à ses invités de venir habiller dans le style de l’époque.

Petit à petit les invités arrivaient, les 8 femmes étaient là, avec  Justine et moi le compte était bon. Je les invité à nous rejoindre pour leur dire comment allait se dérouler la soirée. Une fois isolés dans un petit salon j’ai commencé à expliquer aux 8 femmes ce qui les attendait. Seuls leurs maris ou compagnons étaient eux au courant. «  Chacune de vous va se rendre dans une des alcôves que vous avez pu voir. Nous sommes dix et il y aura plus de 150 hommes présents vous nous honorez. Le jeu consiste à avoir le plus de rapports possibles de toutes les façons que vous voudrez ou que l’on vous imposera » Le visage de quelques unes avait prit brutalement des couleurs. C’est vrai que quand on est invité par Aaron, on sait à quoi s’attendre, mais là elles étaient loin de s’imaginer qu’elles allaient se faire sauter à la chaine en souhaitant battre le record de la soirée. Je posais la question : «  Vous êtes toutes d’accord ? ». Après quelques hésitations toutes acceptèrent les règles du jeu. Nous sommes sortis et avons retrouvés Aaron qui avait une annonce à faire.

Il s’avança toujours accompagné d’Eva et annonçât : « Tout d’abord je vous remercie d’avoir répondu présent à notre petite « sauterie » de ce soir. Tous les fonds récoltés iront à la fondation qu’Eva à créer pour venir en aide aux filles qui ont subis des sévices, comme elle en a connu dans sa première jeunesse ».  A 2 500 $ par personne, la soirée allait être rentable. Aaron continua : « Messieurs, j’espère que vous êtes en pleine forme car vous allez de voir honorer nos dix maitresses de ce soir. Vous les prendrez comme bon vous semble, ne vous soucier par de leurs préférences. Le but étant qu’elles aient un maximum de rapports. Ces rapports devront tous être protégés sauf les fellations. Quand je parle de rapports, ils devront tous avoir comme but final une éjaculation pour être validé. Comme tout est filmé, il serra facile de savoir qui aura gagné. Pour vous Messieurs, la récompense sera d’avoir passé une bonne soirée, pour vous Mesdames je vous réserve pour les trois premières une surprise de taille à la fin de la soirée. Il est 20h15, je vous propose de faire plus amples connaissances entre vous, le buffet est ouvert, la soirée commencera à  21 heures et la fin des ébats est fixée à 1 heures du matin. Des douches sont à votre disposition pour vous rafraichir, car je pense que les esprits vont être très chauds. » Applaudissement de l’assistance.

Je demandais à Justine «  prête », elle me regarda d’un air qui voulait dire « pour qui me prends-tu ». Tant qu’à John et Bruno ils étaient bien décidé à se faire un maximum de filles d’autant plus que Aaron avait choisit dans ces connaissances, huit canons qui n’avaient pas froids aux yeux, même si elles ne savaient pas à l’avance ce qui les attendaient. Après quelques coupes de champagne pour se mettre en forme et quelques canapés de caviar et autres friandises, Aaron donna le départ de la soirée. Chacune d’entre-nous se dirigeât vers une alcôve, suivi par la « meute de mâles en rut ». Pour ma part je m’allongeais toute habillée sur le lit et aussitôt une multitude de mains se posèrent sur moi, mes seins furent très vite dégagés de la robe, deux bouches les prirent immédiatement, pendant que d’autre mains s’attaquaient à ma robe qui fut très vite en lambeaux, un fois entièrement nue, un sexe se présenta devant ma bouche, je l’avalais pendant qu’on m’ouvrait les jambes à l’équerre et qu’un sexe de bonne taille me pénétrait aussitôt. Je tournais la tête pout changer de partenaire et avalé un autre sexe, il était très long et tapait au fond de ma gorge. L’homme surement très excité se vida dans ma bouche en longs jets de sperme chaud et épais. J’eu juste le temps d’avaler le précieux liquide qu’un autre prenait sa place, pendant que celui qui me baisait jouissait en longs spasmes.

On me retourna un homme se glissa sous moi et pénétra mon sexe sans ménagement, je sentis qu’on « m’écartait mes fesses et qu’un autre sexe poussait sur mon cul, pas encore très lubrifiée, cette double pénétration fut douloureuse, mais ils en avaient cure, et poussait de plus en plus fort jusqu’à ce qu’il me pénétrât d’un coup entièrement de tout sa longueur. J’ai faillit crier, j’ai serré les dents et puis la douleur à fait place à une douce volupté. Les pénétrations se sont enchainées sans que je puisse compter combien de ces hommes m’avaient baisés. Les glaces me renvoyaient mon image, l’homme à la caméra filmait en gros plans ma double pénétration.

Je ne sais combien de temps s’était passé, mais j’éprouvais le besoin de faire une pose. Je me levais et au détour d’une alcôve je découvrais Justine en pleine action. Elle aussi prise des deux côtés plus un autre dans la bouche, elle m’a vu et me fit un signe avec le pousse levé pour me dire tout vas bien. Sacré Justine, quand je pense que je l’ai connue à Lyon lorsque j’avais ma galerie dans cette ville, elle avait bien changée, réservée, timide, elle avait bien évoluée, il faut dire qu’avec moi comme prof elle était à bonne école.

Je découvrais John défonçant à grands coups de reins une jolie blonde qui hurlait de plaisir. Ca baisait dans tous les coins. Je regardais l’heure il était 23h30 ça faisait déjà 2h30 que nous nous faisions baiser comme des malades, et il fallait peut-être que j’y retourne si je voulais gagner le concours. Je passais par les douches, me passait un grand coup d’eau sur la figure et repartais pour encore une heure et demie de baise. Les hommes n’arrêtaient pas de se succéder sur toutes les femmes, on entendait des râles dans tous les coins de la salle. Aaron annonçât «  il reste 15 minutes » et d’un coup certains qui ne pouvaient plus bander, reprirent des forces et s’efforcèrent de faire remporter le concours à la femme de leurs choix.

Une heure du matin fin des festivités, chacune de nous se dirigèrent vers les douches, le maquillage quelque peux dégoulinant, les cheveux collés par le sperme de ceux qui ont mal visé. Le tableau n’était pas très beau à voir. Trente minutes plus tard enveloppées dans des peignoirs de soie, nous sommes ressortis accueillies par des applaudissements de tous les participants.

Au milieu de la salle près du buffet une estrade avec été dressée avec un podium. Aaron pris le micro et annonçât : « Tous d’abord je voudrais féliciter toutes nos participantes qui se sont données sans retenue, j’espère Mesdames que vous garderez un bon souvenir de cette soirée. Je tiens à vous dire qu’il y aura des récompenses pour les trois premières. » Et il annonçât le résultat, les cinq dernières furent nommées, ni Justine ni moi n’étions dans ce classement. Je me penchais vers John et lui demandais « T’en a baisée combien ? », En riant il me répondit : « je ne sais pas exactement mais je peux te dire qu’arrivé à la maison tu vas en prendre encore plein les fesses, ».

Aaron continuait son classement :

5eme : Margot avec 21 rapports. C’était  la jolie blonde que j’avais vue baisée par John.

4eme : Lolita, avec 24 rapports un peu déçue de n’être pas sur le podium, mais je crois que je n’aurais pas pu faire mieux.

3eme : Jane avec 25 rapports. Elle montât sur le podium et à l’invite d’Aaron retira son peignoir

2eme : Justine avec 28 rapports. En sautant de joie Justine montât a son tour sur la deuxième marche et retira son peignoir.

1ere : Jodie avec 31 rapports. Cette fille était vraiment magnifique et je comprends que les hommes se soient acharnés sur elle.

Aaron s’avançât vers la troisième lui tendit une coupe. En faite de coupe il s’agissait d’un superbe phallus de 10 cm de diamètre et 25 cm de long de couleur bronze, puis d’un chèque en carton de  un mètre de long avec la somme écrite de 10 000 $, il l’embrassa sur les deux seins passa délicatement sa main dans l’entrejambe de la fille et passa à la deuxième. Justine reçu le même trophée mais couleur argent ainsi qu’un chèque de 25 000 $. Elle eu droit elle aussi à l’embrassade et la main d’Aaron sur son sexe. Puis vint le tour de la première, un phallus d’or et un chèque de 50 000 $. Les mêmes bises, et la main cette fois-ci plus profondément entré dans le sexe de la femme. Il ne perdait pas le nord Aaron, c’était sa récompense.

La soirée avait été rentable, Justine en nous rejoignant avec son trophée et son chèque sous le bras était ravie, Non seulement elle avait assouvit un vieux phantasme de se faire sauter par un groupe d’hommes et en plus d’avoir 25 000 $ à dépenser dans les boutiques de la 5eme Avenue. Tant qu’au phallus il pourra toujours servir à l’occasion.

Nous avons pris congé de notre hôte, Justine et moi toujours dans notre peignoir de soie, nos vêtements ayant été arrachés au début de la soirée. Nous avons retrouvé notre limousine avec Holden au volant. En nous voyant arrivées dans nos peignoirs largement ouverts par le vent et entièrement nues dessous, Il sourit et du se dire que la soirée avait été bonne, et qu’il aura peut-être l’occasion de la terminées avec eux rentrés à la maison.

Dans la voiture, blottie contre John qui me caressait le sexe et les seins délicatement, il me demandât : « tu en as encore envie ? » Je lui répondais: «  Oui mais deux à la fois, demande à Holden de venir avec nous, je suis sur que lui il a encore des réserves ». Effectivement Holden était en pleine forme, il allait de l’une à l’autre sans discontinuer. La nuit s’est terminée comme elle avait commencée, pénétrée devant, derrière, dans la bouche, nous avons terminées cette soirée en apothéose dans une jouissance extrême.

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