New York le 15 octobre
Je vous avais raconté comment M Aaron finançait son association de bienfaisance. La dernière soirée ou j’avais participée avait failli très mal tournée (voir la soirée des échanges). Ayant mis à jour sa liste d’invités il avait pris soin, cette fois-ci de bien vérifier les identités des participants. John ne nous avait pas dit de quelle soirée il s’agissait, mais connaissant l’organisateur, je prévoyais déjà une bonne partie de baise en perspective.
Donc samedi dernier, conduite par Holden dans la limousine, notre
chauffeur et homme à tout faire, et homme à tout faire était le mot juste, nous avons repris la route de Mamaroneck, situé à
quelques kilomètres de New York. Le temps n’était pas aussi clément que la première soirée, vent, pluie glacée était au programme de la journée. En arrivant à sa propriété, des voitures étaient déjà garées, nous sommes entrés rapidement dans le
grand hall de sa résidence, accueilli par Aaron, ravi de nous revoir, à 10 000 $ par couple il pouvait être ravi, enfin c’était pour la bonne cause.
Il y avait un dizaine de couples, j’en ai reconnu quelque uns habitués à ces soirées, des jeunes et des moins jeunes, et même un vraiment plus jeune du tout, surtout la femme qui devait friser les 80 balais, tout ce petit monde élégamment habillé. Pour ma part j’avais opté pour une robe très courte en soie grise, et Justine portait un ensemble en cuir rouge composé d’un gilet et d’une jupe très courte et moulante. Ses seins magnifiques débordaient sur les côtés du gilet laissant apparaitre le galbe parfais de sa généreuse poitrine. Elle ne passait pas inaperçue, mais la provocation c’était son truc à Justine, tout l’inverse de quand j’avais fait sa connaissance à Lyon quand elle était venue travailler avec moi dans ma galerie.
Je demandais à John, « Tu sais ce qui va se passer ? » il me dit oui mais il laissait à Aaron le soin de nous expliquer comment la soirée allait se dérouler. Après quelques coupes de champagne, de canapés au caviar, et autres fantaisies, Aaron demandât ma parole : « Mes amis, tout d’abord je vous remercie d’avoir répondu présent à mon invitation. A part quelques rares invités, aucun d’entre vous ne sait ce qui va se passer ce soir. Vous savez évidemment qu’il s’agira de sexe, vous me connaissez trop bien pour savoir qu’il ne peut en être autrement. Alors voilà, dans le grand salon, j’ai fais installer un tatami, des lutteurs et lutteuses vont s’affronter nus. Le gagnant et gagnante de chaque combat aura le droit de baiser ou de se faire baiser par un d’entre tiré au sort.
Il ajouta : « Tout se déroulera dans le grand salon où des canapés, coussins, permettrons des ébats dans le confort et à la vue de tout le monde. Vous aurez à votre disposition tout ce dont vous souhaitez, accessoires sexuels, le choix des positions reviendra aux lutteurs et ne pourra être discutés, ils pourront faire de celui ou celle qui seront choisit ce qu’ils veulent, je vous réserve quelques surprises à ce sujet, voilà le programme de la soirée ».
Nous nous dirigeâmes vers le grand salon ou tout autour d’un tatami était disposé des grands canapés. Nous avons pris place et la soirée commença. Deux jeunes et belles jeunes filles firent leurs entrées, entièrement nue, le sexe complètement épilé, l’une blonde et l’autre brune. John et Bruno se regardèrent en murmurant qu’ils se les feraient bien toutes les deux. Elles se placèrent au centre et un arbitre donna l’ordre de commencer.
Les deux filles se jaugèrent, essayant d’attraper son adversaire par la taille, au bout de quelques minutes la plus grande des deux réussie
à prendre son adversaire sous la cuisse et d’un mouvement de bascule elle renversa sur le dos. Match gagné par la blonde. Aussitôt, Aaron plongeât la main dans une vasque et sorti un papier qu’il
déplia et annonça le nom du gagnant. Il s’agissait d’un homme d’environ quarante ans accompagné d’une femme visiblement plus âgé que lui. Elle lui lançât un regard noir en voyant qu’il allait se
faire cette superbe jeune blonde. Elle se dirigeât vers lui, le pris par la main et ils allèrent tout les deux s’installer sur un sofa. Elle entreprit de le déshabiller, une fois nu, elle
plongeât la tête en avant sur son sexe qu’elle avala avec gourmandise.
Pendant ce temps, deux jeunes hommes un black et un asiatique entrèrent à leur tour sur le tatami et le combat commença. Beaucoup plus viril que celui des filles il tourna très vite à l’avantage du black. Ce dernier déclaré vainqueur se vit désigné par pur hasard par la main d’Aaron, la femme du premier participant. Celle-ci jubilait à l’idée de se faire baiser par ce beau black, qui visiblement avait tout pour la satisfaire. Elle se leva la première et tout en adressant à son mari qui était en train de faire un cunnilingus à la jolie blonde, un regard vengeur. En en un rien de temps elle fut nue, Pour son âge elle avait encore un corps bien conservé, avec des seins hauts placés, sans doute refais, mais elle était parfaitement baisable, ce que ne manqua pas de faire le jeune Black.
Il choisit d’abord une fellation qui l’amena dans une forme olympique,
puis il la retourna en levrette, choisit son cul pour
cible, et d’une seule poussée entrât jusqu’à la garde en elle, surprise par cette intrusion qu’elle ne souhaitait pas, elle se débattit avec violence. De son côté son mari baisait allègrement sa
jeune conquête, il jubilait en faisant savoir à qui voulait l’entendre, qu’elle s’était toujours refusée à lui de cette façon « Elle s’est fait dépuceler le cul à 78 ans ».
J’avoue que cette scène était assez surréaliste. Il demandât qu’on lui fournisse le plus gros des godes mis à notre disposition, son mari se libéra de la fille et choisit un énorme gode à
vibrations, il devait faire dix centimètres de diamètre. Puis s’adressant au Black « Tiens enfonces lui ça dans sa chatte, il y a encore de la place. » Ce
qu’il fit, toujours planté dans son cul, il fit entrer le gode énorme dans son sexe et la masturbât avec violence. C’est quand il a joui, que la vieille femme ivre de douleur et de
plaisir, s’écroula sur le sol. On crut un moment qu’elle avait fait un malaise, mais non, se relevant en titubant elle dit : « Pourquoi j’ai pas essayée ça plus tôt, il va falloir que
je rattrape le temps perdu ». Puis s’adressant à son mari elle lui dit : « Il va falloir que tu me trouve pleins de petits jeunes bien membrés, parce que toi, ta bitte est
trop petite pour ce genre d’exercice ». Elle avait la santé la vieille.
Déjà deux autres jeunes femmes entraient sur le Tatami, dont la perdante du premier combat. Bien décidée à gagner cette fois-ci. En effet elle attaqua d’emblée et remporta le combat. Nouveau tirage au sort et c’est Bruno qui gagnât le droit de se faire cette fille brune aux yeux bleus, à la poitrine généreuse. Elle vint chercher Bruno sous le regard de Justine qui semblait assez excitée à l’idée de voir ce que son ami allait faire à cette fille. Mais c’est la fille qui devait choisir et elle choisit de le faire s’allonger sur le dos, elle s'allongea alors sur lui, pris son sexe dans sa bouche et commença une fellation d'enfer, pendant que Bruno la bouche collée au sexe de la fille lui léchait et mordillait son clito. Le jeu consistait à savoir qui allait jouir le premier. Connaissant Bruno et sa résistance au plaisir, j’étais persuadé que la fille allait perdre et qu’il pourra à son tour choisir. Dix minutes plus tard la fille capitula, Bruno allongeât la fille sur le dos et il la pénétrât sans ménagement. Il résistât encore une vingtaine de minutes après que la jolie brune ait eu orgasmes sur orgasmes.
Entre temps d’autres combats se sont déroulés, Justine s’est vu
attribué un très jeune homme, tout juste majeur, blond avec un corps d’athlète. John s’envoyait en l’air avec une très jolie eurasienne, qui engloutissait avec volupté les vingt centimètres de
son sexe au fond de la gorge. Tant qu’à moi, j’étais une des dernières à rester sur ma faim. Et je commençais à m’impatienter. A ma surprise se sont quatre combattants qui entrèrent,
dont deux perdants des combats précédents. Ils devaient combattre deux contre deux, et à ce jeu là il devrait y avoir deux gagnants. Le combat fut très dur, chacun cherchant à obligé son adversaire d’abdiquer en lui
attrapant ses couilles et en les tordant violement. Le premier gagnant fut un Black assez monumental, le deuxième fut un blanc au crane rasé, couvert de tatouages. Il avait attrapé son adversaire
par les couilles et l’obligeait a se remettre debout en tirant dessus de touts ses force. L’autre hurlait de douleur.
Aaron dit alors : « Je vous avais promis des
surprises, et bien voila la première, les deux gagnants auront le droit de s’occuper de la même femme, et le sort désigne…. » Il plongeât la main dans la vasque et annonça,
« Lolita ». Comme par hasard, visiblement le tirage était truqué. Quoi qu’il en soit, les deux malabars allaient s’occuper de moi et ce n’était pas pour me déplaire. Le Black
s’approcha me fit lever de mon canapé, ou un couple était entrain de se faire un « 69 » d’enfer. Il fit passer ma robe par-dessus la tête et je me retrouvais nue en dix secondes. Il me
couchât sur le dos sur des coussins posés sur la moquette, s’accroupit entre mes jambes et de sa langue agile et longue me suçât le clitoris en tirant dessus avec ses dents. L’autre au crane rasé
approcha son sexe en érection près de ma bouche, je l’avalais en prenant soin de le faire entrer le plus loi possible au fond de ma gorge. C’est mon grand plaisir, que se soit ma bouche,
mon sexe ou mon cul, je peux me faire pénétrer de toute la longueur d’un sexe de vingt centimètres.
Et c’est parti pour une longue cavalcade ou il me baisèrent à tour de rôle, puis les deux en même temps, plongé dans mon cul et mon vagin, je subissais leurs violents assauts avec délices. Je ne sais pas combien de temps ils me baisèrent, mais j’ai eu orgasmes sur orgasmes. Puis en un seul hommes ils éjaculèrent ensemble un dans mon sexe et l’autre dans ma bouche au fond de ma gorge, le liquide chaud et épais n’en finissait pas de couler au plus profond de ma bouche.
Il restait une femme qui devait avoir une quarantaine d’années et qui
assistait a tous ces ébats sans pourvoir y participer et visiblement elle était dans la plus grande excitation. Aaron demandât aux derniers combattants d’entrer. Un homme et une femme entrèrent
et grande surprise elle tenait en laisse deux énormes chiens de race danoise. Que faisait ces chiens dans cette soirée? Nous n’avons pas longtemps pour avoir la réponse. En fait il n’y eu pas de
combats, l’homme alla chercher la seule femme restante, la déshabilla rapidement, il l’allongeât sur le dos et plongeât sa tête entre ses cuisses largement ouverte. Il fit durer le plaisir un bon
moment puis brusquement, il se retira, la fit mettre en levrette, la tête dans les coussins, la fille vint se mettre au dessus, la maintenant solidement. L’homme alla chercher le premier chien
qui la langue en avant se précipita sur le sexe de la femme, qui largement lubrifié par ses orgasmes et en longs lapements lui arrachèrent des cris de plaisir. Le chien présentait maintenant une érection superbe. La fille présentât le sexe du chien qui
bandait comme un âne, à l’entrée du vagin de la victime, et le chien fit le reste. Il la baisa longuement en longues saccades de son arrière train. Il l’avait pénétré de toute la longueur de son
sexe, long, gros et rouge. Puis il éjacula en jappant de plaisir.
Ce n’était pas fini, toujours dans la même position le deuxième chien
s’accoupla avec cette femme en la sodomisant. La séance dura plus longtemps qu’avec le premier, et il finit par éjaculer à son tour. Ressortant de son cul, il entreprit en long coup de langue de
boire le sperme et le liquide de la femme qui a jouie en longs spasmes de plaisir.
Tout les participants avaient cessés toutes activités sexuelles et regardaient ce spectacle, éberlué de tant de violence dans ces rapports.
Ensuite, les mélanges de couples se succédèrent, tout le monde baisait avec tout le monde. La septuagénaire qui s’était fait enculée en début de soirée se faisait baisée par deux types, tous les deux dans son vagin, un troisième lui emplissait la bouche de son sexe. Je me demandais, si j’aurais à son âge, autant d’appétit sexuel qu’elle.
Ne trouvant plus d’hommes capable de bander, je me suis retourné vers l’eurasienne, et d’un 69 nous sommes faites jouir une dernière fois. La soirée se terminât vers 3 heures du matin, faute de combattants.
John et Bruno était repus de sexe, je leur demandais : « Vous vous en êtes faites combien ? » John me répondit d’un geste évasif, « je ne sais pas, mais j'ai du jouir au moins cinq ou six fois. Je le regardais en disant « C’est tout ? Et bien moi j’ai joui une bonne vingtaine de fois, c’est l’avantage que nous avons sur vous, tant qu’on baise on joui. »
Le retour fut très calme dans la limousine, sauf que Justine à
l’étroit dans son ensemble en cuir s’était complètement mise nue, au grand plaisir de notre chauffeur Holden, qui avait baissé la vitre de séparation opaque entre lui et nous. Il jetait des
regards d’envie sur Justine. Elle s’adressât à lui « Promis une fois à la maison je suis à toi pour la nuit, après tout tu es le seul qui n’est pas baisé dans cette soirée ». Justine
était insatiable. Le pauvre Holden avait assisté entre deux portes à ce qui se passait dans le grand salon avec d’autres confrères.
La voiture au parking en sous-sol, prise d’une envie soudaine, elle se dirigeât vers la piscine et plongeât la tête la première dans l’eau chaude. « Allez, venez, après cette soirée ça fait un bien fou ». Et nous nous sommes retrouvés tous les cinq dans l’eau où nos corps se rapprochèrent et nous avons terminée la soirée par une nouvelle séance de baise, Holden s’occupait de Justine en la baisant à grands coups de reins, sevré de sexe pendant cette soirée, il n’avait pas fini d’envoyer Justine au septième ciel. John et Bruno m’avait prise en sandwich, ils avaient encore des réserves, c’est ce que j’ai senti lorsqu’ils ont éjaculé dans mon vagin et mon cul. Encore une soirée réussie à mettre au capital jouissance.
A suivre….
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
Pour des raisons de confidentialité des participants à mes soirées, les photos illustrants les articles de mon blog sont tirées d'Internet.
Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer mon nom "
Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon site " www.lolita-o.fr. "
Bonne lecture