Chapitre 33 - Vacances 2012 à Saint Barth - Ile Fourchue

Après l'épisode de l'ile de la tortue, et les déviances sadiques des participantes à cette soirée, nous avons repris la mer pour nous diriger vers une autre ile, l'Ile Fourchue située au nord est de St Barth, son nom est due à la forme d'une fourche à deux pics. Totalement déserte, c'est une escale très prisée des plaisanciers.

David nous avait prévenu que nous devions retrouvé dans cette immense crique un bateau dont les propriétaires de nationalité vénézuélienne, possédaient des mines d'extraction de diamants dans ce pays. Il avait fait leur connaissance lorsqu'il leur avait loué un bateau à St Barth, le leur étant tombé en panne. Ils étaient trois frères qui s'entouraient d'une foule de jolies filles, plus belles les unes que les autres. L'argent coulait à flot, et elles étaient prêtes à tout pour rester auprès de leurs bienfaiteurs.

La présentation que venait de nous faire David présageait des moments torrides que nous allions passer. Après une journée de navigation, nous nous sommes retrouvé devant cette ile. Immense rocher pratiquement nu de végétation et dans l'anse, une foule de bateaux de toutes natures. David demanda au capitaine de téléphoner pour savoir ou était encré le bateau de ses amis. Un quart d'heure plus tard nous nous amarrions à quelques encablures de leur bateau. Déjà celui de David était imposant, mais le leur devait faire pratiquement le double en longueur.

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Accoudé au bastingage, John, Justine et Bruno, nous regardions ce bateau d'une ligne magnifique. Cinq minutes plus tard une  vedette vint s'accoster et les trois amis de David montèrent à bord. Ils nous les présentât, ils devaient être âgés de 30 à plus de 45 ans. Le plus jeune, répondant au prénom de Manuel, le teint bronzé, habillé d'un pantalon blanc et d'une chemise largement ouverte était superbe, et je  commençais à me dire que les journées à venir allaient être très chaudes, le cadet, Carlos, plus petit et peu boulot laissait apparaître un visage qui n'inspirait pas la confiance, constation immédiate, mais je me trompe rarement sur mes premières opinons. L'ainé, Juan-Francisco, les cheveux noirs très longs, inspirait une force tranquille, mais dont le regard était pratiquement insoutenable. Il nous détaillait avec Justine et  Johanna comme s'il était au marché en train de faire ses courses en se demandant ce qu'il allait pouvoir faire avec les produits qu'il avait acheté.St MARTIN St BART 10.12 28.12.11 828

Je regardais Justine et un certain malaise s'instaura aussitôt. Je demandais à David, " Tu les connais bien? car j'avoue qu'ils ne m'inspire pas trop confiance et je ne suis pas la seule à penser cela." David me répondit qu'ils les connaissait un peu pour avoir passer une nuit mémorable sur le bateau qu'il leur avait loué à St Barth. Que c'était de joyeux fêtards qui ne pensaient qu'à dépenser leur frics et à baiser tout ce qui passait à leur portée, l'argent aidant ça ne leur était pas trop difficile de trouver des proies de choix.

Les présentation faites, nous nous sommes dirigés dans le grand salon où Melissa  nous servi du champagne. David s'adressant à eux leur demandât comment ils envisageaient le prochaine soirée qui devait avoir lieu sur leur bateau. Juan-Fransisco nous détailla alors ce qu'il avait prévu. Nous sommes trois hommes sur notre bateau à l'exception de l'équipage, il y a treize filles à bord. Avec vous cela fait 5 hommes et quinze femmes, c'est à dire trois femmes par homme, le but étant de les baiser toutes plusieurs fois si possible. J'ai prévu quelques remontant pour cela. Celui qui aura manifester le plus d'entrain se verra offrir un cadeau, petit par la taille mais conséquent par le prix. Bien sûr nous sommes hors jeux.

Les dés étaient jetés. Une nuit de baise intense nous attendait. De qui entre David, le plus âgé, John et Bruno le plus jeune allait remporter ce challenge. A moins que le "remontant" qu'il avait prévu ne vienne troubler cet ordre logique.

Ils reprirent leur annexe en se donnant rendez-vous à vingt heures sur leur bateau. Bien advienne que pourra, nous verrons bien, après tout à part le fait de se faire défoncer le sexe et le cul, ça n'était pas si terrible que ça, et nous en avions toutes les trois vues d'autres. La suite ne se déroula pas exactement comme nous l'avions prévue.

A vingt heures nous accostions à notre tour à leur bord. Les trois frères nous accueillirent entourés des filles, toutes en string et topless. Il faut avouer qu'elles étaient toutes superbe. Ils y en avait pour tous les goûts, blondes, brunes, des noires, des métisses des asiatiques, c'était un peu la tour de Babel.

Habillé comme nous l'étions, nous nous sentîmes un peu gêné, ce que remarquât aussitôt Juan Francisco, qui nous pris par la main et nous emmena à l'intérieur du bateau. Retirez vos vêtements et passez ces strings, et en rigolant, il dit "C'est l'uniforme à bord". Loin de se retirer pendant que nous nous changions, il nous regarda nous déshabiller avec un sourire qui en disait long sur ses pensées. Il nous dévisageait de la tête au pied, puis s'adressant à Johanna, il lui murmura à l'oreille, "Je sais ce que fais te faire cette nuit". Elle rougit et je pensais que si c'était par rapport à la poitrine voluptueuse qu'elle avait qu'il l'avait choisi, elle allait passé elle aussi un bonne nuit.

Un buffet avait été dressé sur le pont arrière, un trop plein de mets rares et bien évidement cher, un saladier de caviar, du foie gras, des plateaux de fruits de mer, enfin de quoi prendre des forces avant l'hallali.

Vers neuf heures et demie, Juan-Francisco s'adressa à nous "Mes amis, je pense que nous pouvons commencer cette soirée. Etant le maître de maison je me garde  le droit de choisir en premier." Et joignant le geste à la parole, il désigna Johanna, puis il choisit une métisse aux seins énormes, ça devait être son fantasme et pour finir une grande blonde également avec une poitrine généreuse. Puis vint le tour de Carlos, je frémissais à l'idée qu'il me choisisse, et j'avais eu raison de redouter ce choix, car me désignât du doigt, il m'invitât à venir le rejoindre. Moi qui espérais me faire baiser par le plus jeune s'était râpé. Il choisit ensuite une asiatique  avec des cheveux jusqu'aux fesses et une noire au crâne complètement rasé.

Il restait pour Justine Manuel, et elle ne se fit pas prier pour venir le rejoindre  avec deux autre filles. Vint le tour de John, David et Bruno qui s'entourèrent de trois filles chacun. Juan-Francisco s'adressant à nouveau à nous, nous dit : "Maintenant que tout les groupes sont réunis, je vous invite à me suivre à l'intérieur pour vous désignez vos chambres."  La ça se corsait, je pensais que nous allions tous se retrouver dans un salon, au lieu de ça nous serions seules avec chacune de nous un homme que nous ne connaissons pas et qui ne nous inspire qu'une confiance très limitée.

Je jetais un regard à John, qui me répondit d'un geste qui me rassura. Suivant Carlos il nous fit entrer dans une des chambres qu'il refermât à clé en mettant la clé dans sa poche. Décidemment ce type m'inspirait de moins en moins confiance. Mais comme les deux filles n'avaient pas l'air de s'inquiéter, pourquoi paniquer à l'avance. La chambre était composé en son centre d'un lit rond immense, des glaces renvoyaient les images du lit dans toutes les positions. Tout au tour du lit pendaient des espèces de rubans dont je ne comprenais pas trop ce qu'ils venaient faire là et qui nuisait à l'esthétique. Une salle de bain tout en marbre avec un jacuzzi joutait la chambre. S'approchant de moi, il me fit signe sans un mot de retirer mon string, ce que firent également les deux autres filles. Puis s'adressant à moi il me dit : "Je crois que tu vas passer la nuit la plus mémorable de ta jeune vie."  Présomptueux également le monsieur, j'en avait connu d'autres. Puis il se déshabilla à son tour et là j'ai eu un choc, j'avais connu pleins d'hommes avec des sexes de grande tailles dont des blacks qui m'avaient défoncer à ne plus pouvoir m'assoir, mais là je n'avais encore jamais vu ça.

Son sexe au repos devait bien mesurer plus de vingt cinq centimètres et gros comme une boite de soda. Je l'imaginais en érection, ça devait être monstrueux. Pourquoi ça tombait sur moi. Un instant j'ai eu l'idée de partir, mais la porte fermée et de toute façon sur ce bateau, je n'aurais rien pu faire. Alors je me préparais à subir. Carlos se dirigeât alors dans la salle de bain, et je le vis prendre des comprimés et les avaler. Puis dans un sourire qui en disait long, il me dit : "Avec ça je tiens 10 heures sans débander alors prépare toi à en prendre plein les fesses et ailleurs."

Je regardais les deux filles qui ne semblaient pas être plus impressionnées que ça, elles devaient avoir l'habitude, mais en les regardant de plus prêt, et je ne l'avais pas remarqué avant, elles me semblaient dans un autre monde, droguées. C'est vrai qu'elle n'avaient rien bu d'alcoolisé pendant le buffet. Je commençant presque à paniquer. Carlos s'approchât de moi, mis ses mains sur mes seins en les soupesant comme pour voire s'ils étaient refait ou pas, puis sa main descendit sur mon sexe, et je sentis son doigt pénétrer doucement à l'intérieur. Un fois entré de toute sa longueur il le replia vers le haut en forme de crochet et me força a me couché sur le lit.

Son sexe commençait à prendre des dimensions imposantes, l'asiatique s'approcha de lui pris son sexe dans la main et le masturba doucement au début puis de plus en plus fort. Son doigt toujours crocheté dans mon sexe allait et venait et je le sentais s'humidifier de plus en plus. Mes yeux fixés sur son sexe ne pouvaient se détacher de cette vision presque d'horreur. Je n'avais jamais vu ça, imaginé en longueur une bonne trentaine de centimètres et surtout d'un diamètre gigantesque de la taille d'une bouteille de vin. Il pouvait enré dans le livre Guiness des Records.

La noire, qui pour le moment, regardais sans rien dire, vint se placer derrière moi  me pris les deux mains et les plaça derrière ma tête en les tenant fermement. Carlos me regardât et me dit : " Regarde bien ce que  je vais faire à ma beauté asiatique", la fille se plaça en levrette à côté de moi, les fesses de mon côté, je voyais son sexe légèrement entre-ouvert, il se plaça derrière, d'une main il dirigeât son membre à l'entrée de son vagin, et d'une poussée il s'enfonçât en elle. Elle gémit à peine tout en se cambrant un peu plus ce qui a fait qu'il s'enfonçait encore plus loin dans le ventre de l'asiatiques. Il la pilonnât un bon moment puis se retirant il plaça son sexe largement lubrifié devant la petite rosette de son cul et il poussa. La fille ne bronchait pas elle subissait cet assaut monstrueux sans réaction apparente. Dans son vagin la moitié de la batte de baseball l'avait pénétré, mais dans son cul c'était les trois quart des 35 centimètres qui entrait et sortait en un vas et vient de plus en plus rapide. Puis décidant que ce petit jeu avait assez duré, il se retira.

Il me prit les jambes et d'un mouvement il m'obligeât à me mettre sur le ventre, puis il me fit mettre à quatre pattes, Les deux filles vinrent se placées de chaque côté me tenant d'une main mes bras et de l'autre m'écartant les fesses. Je fut prise de panique, mon sexe était sec, sans aucun préliminaire il allait me défoncer au risque de me déchirer, je m'agitais mais les deux filles me maintenaient fermement. Je sentis son sexe se placé sur le mien, ouvert comme il était il n'eut pas de difficulté à trouver l'entrée de mon vagin et il poussa. J'ai eu l'impression d'être coupée en deux, Je voulais crier mais aucun son ne sortait de ma bouche.

A force de vas et vient il s'enfonçait de plus de plus jusqu'au moment ou il ne pouvait allez plus loin, je sentais le gland tapé le fond de mon vagin à grands coups de boutoirs. Je ne sais combien de temps dura se supplice, je ne jouissais pas tant la douleur était grande mais il ne s'arrêtait pas. J'espérais qu'il éjacule rapidement mais le bougre tenait bon et continuait son pilonnage. Puis décidant que comme pour l'asiatique ça avait assez duré, il se dégageât de moi, je sentis les mains des deux filles m'écarter les fesses au maximum, je sentis enfin le gland énorme se présenter à l'entrée de mon cul, et comme pour la fille il poussa. La douleur fut encore plus intense qu'avant. Il n'en avait que cure et continuant sa poussé il réussit à en faire entrer presque la totalité. J'avais l'impression qu'il remontait dans mes intestins. Il continua de longues minutes qui me parurent une éternité.  

Puis sa respiration s'accélérât  et je sentis au plus profond de moi, un jet brulant de sperme m'inonder l'intérieur de mes reins. J'allais pouvoir enfin reprendre mes esprits. Peine perdue il ne s'est pas retirer de moi, et je sentis qu'il recommençait ses manœuvres destructrices. De plus la noire vint se placer devant moi, écartant les jambes elles vint mettre son sexe devant ma bouche, m'obligeant à la lécher, elle me maintenait la tête presque à m'étouffer. Combien de temps allait durer cette deuxième séance, je perdais la notion du temps jusqu'à je sentis à nouveau son sexe explosé en moi. Puis il se retira complètement en contemplant son œuvre, je devais avoir l'anus complètement dilaté.

Je constatais qu'il n'avait toujours pas débander, je ne sais pas ce qu'il avait pris avant, mais ça lui faisait de l'effet. Allongée sur le lit en chien de fusil, complètement chaos, n'ayant pas jouis une seule fois, je me sentais frustrée. Il m'accordât alors un moment de répits et c'est l'asiatique qui d'une langue experte me fis avoir plusieurs orgasmes, je me sentais mieux, malgré la douleur qui me taraudait le ventre.

Pendant que la fille s'occupait de moi il pilonnait à son tour la noire, lui sur le dos et elle au dessus, elle s'enfonçait très loin ce sexe destructeur. Au moins pendant ce temps là il me fichait la paix. Ce répits ne dura pas très longtemps. Je vis l'asiatique revenir de la salle de bains avec un sextoys d'une taille comparable au sexe de mon bourreau. Le plaçant sur une table basse, il m'obligèrent à m'assoir dessus en le faisant pénétrer dans  mon cul. Quand mes fesses touchèrent la table et que j'avais à nouveau en moi cet énorme engin qui me dilatait complètement l'anus, toujours dans une forme éclatante, il s'agenouillât devant moi, les deux filles me firent me pencher en arrière et il entreprit de me pénétrer à nouveau le vagin.

Mais la tâche fut difficile, mon sexe rétrécie par l'engin qui me perforait les reins l'empêchait de me pénétrer comme la première fois. Et c'est à force de poussées de plus en plus violentes qu'il réussit à s'installer au fond. Je ne savais plus ou j'étais, mais contrairement à la première fois je sentais venir en moi une excitation, je sentais mon clitoris se gonflé et durcir. et j'ai fini par jouir en longs spasmes de plaisir. Sentant que je prenais du plaisir à son petit jeu il continuait de plus belle. Et d'un seul coup je sentis que quelque chose allait et venait au fond de mes reins.  Le belle asiatique avait mis en marche le phallus de plastique en marche et celui-ci se tordait à l'intérieur m'envoyant des sensations qui m'ont perdre toute notion du temps. J'en arrivais à espérer que cela ne s'arrête pas. Puis tout s'arrêtât, je sentis à nouveau le long jet de sperme taper au fond de mon vagin, puis il se retira de moi.

Dans la douleur j'avais pris un pied pas possible, Je ne pensais pas pouvoir subir  cela et malgré tout j'avais jouis comme rarement. Autant il avait été brutal pendant toute ces séances que maintenant il était plein de sollicitude à mon égard. Il m'apportât une coupe de champagne, il s'assit sur le lit à côté de moi, il me caressait les seins avec une douceur qui contrastait avec ce qu'il m'avait fait subir avant. Il était 4 heures du matin et je me demandais ce qui avait pu arriver à Justine et Johanna, avaient elles aussi subit cette torture même si celle-ci c'est terminée en explosion de plaisir.

Six heures après le début de nos ébats, Carlos était toujours dans une forme éblouissante et il me demanda très gentiment si je voulais encore de lui une fois de plus. J'acceptais à condition que ce soit moi qui vienne sur lui. Il s'allongeât sur le dos, le sexe à la vertical, je me suis mise alors sur lui les jambes de chaque côté de ses hanches et je me suis laissée empalée une fois de plus, mais cette fois-ci c'était moi qui dirigeait les opérations. J'ai fais durer le plaisir le plus longtemps possible, je ne voulais pas qu'il jouisse trop tôt. Quand je sentais qu'il était prêt d'exploser, je m'arrêtais puis reprenais mes montées et descentes bien callée sur ce pieu de chair dure que je n'e suis pas prête d'oublier. Il a finir par jouir à nouveau, et je me suis écroulée sur lui

Pendant tout ce temps les deux filles s'occupaient joyeusement à se faire plaisir chacune leur tour empalée elles aussi sur le gode gigantesque.

Je me suis réveillée à deux heures de l'après midi, j'étais seule dans la chambre. J'ai eu de la peine à me lever un peu courbaturée par les exploits de cette nuit. Je retrouvais John dans sa chambre, je lui demandait comment c'était passée cette nuit, il me répondit : "Je te raconterais cela plus tard et toi ?". "plus tard aussi" .  Je lui demandais s'il avait vu Justine et Johanna. Ils ne les avait pas vue depuis hier soir. Je cherchais dans les chambres pour trouver Justine. J'ai fini pas la trouver, Elle dormait sur le dos les bras en croix les mains écartelée les pieds attachés au quatre coins du lit avec dans son vagin et son cul un gode de même taille que celui qui avait fini par me faire jouir.  Je la laissais et cherchais Johanna, je l'ai trouvé en compagnie de David. Il lui massait les seins délicatement, ceux-ci portant des traces rougeâtres, ainsi que sur le bas ventre et son clitoris était complètement boursouflé. Je lui demandait si ça allait, elle me répondit que c'était la première fois qu'elle prenait du plaisir dans le souffrance. Il faudra qu'elle nous raconte elle aussi ce qui c'est passé cette nuit.

Nos hôtes étaient des maîtres dans l'art de faire jouir les femmes tout en les faisant souffrir plus qu'elles n'auraient penser pu subir.

Un peu plus tard, nous nous sommes tous retrouvés dans le grand salon, Juan-Francisco pris la parole en disant : "J'espère que vous ne nous en voudrez pas de nos manières de recevoir nos invités, et pour vous remercier d'avoir accepté nos petits jeux, Mesdames je vous offre à vous trois un petit caillou qui vous rappellera j'espère  cette folle nuit." Il nous tendit à chacune un petit sac de velours noir, à l'intérieur un diamant brut de bonne taille qui une fois taillé devrait approché les dix à douze carats.

Au moins nos efforts étaient largement récompensés. Nous avons prix congés en se disant que pourquoi pas se revoir une autre fois. Je me disais qu'à ce prix là je voulais bien me faire défoncer à nouveau.  Carlos s'approcha de mois en me susurrant à l'oreille " Je bande encore, si tu veux continuer ?" Je déclinais son invitation en lui promettant que j'allais m'entraîner pour la prochaine fois dès fois qu'il trouve des godes encore plus gros.

A suivre

Mon Journal Intime

Conseil de Lecture

Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements. 

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Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer  mon nom  " Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon sit" www.lolita-o.fr. "

Bonne lecture 

 
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