New York le 26 février 2016
Comme je vous le faisais savoir dans mon récit des fêtes de fin d'année, nous sommes partis le 10 février au Japon, John en voyage pour sa société d'import Export et moi pour voir si je pouvais ouvrir un nouvelle galerie d'arts érotiques au pays du soleil levant. J'avais rendez-vous avec un richissime japonais qui devrait financer mon projet. L'érotisme fait parti de la culture japonaise, Ils n'ont aucun tabou avec le sexe. La vénération d'un phallus est chose courante et chaque année dans certaines villes japonaises, ils honorent ce sexe.
Après un voyage long, heureusement passé en première classe sur Japan Air Line, où John avait réservé des cabines individuelles et où nous avons pu dormir confortablement, nous sommes arrivés après 14 heures de vol à Tokyo à l'aéroport Narita à 11 heures du matin.
Une voiture nous attendais à l'aéroport pour nous conduire au Tokyo Palace Hôtel, situé en plein cœur du quartier d'affaires de Marunouchi et à côté du Palais Impérial. Après avoir pris possession de notre chambre, nous nous sommes retrouvé dans la salle de bain pour une remise en forme. John a su faire ce qu'il fallait pour ça. Puis nous sommes restés dans l'hôtel pour déjeuner au restaurant de sushi Kanesaka. retour dans notre chambre, John a passé son après midi à téléphoner à ses différents contacts pour ses rendez-vous. J'en ai fait de même avec mon interlocuteur, que je nommerai ici Monsieur Hayato, et rendez-vous fut pris pour le lendemain après midi, mais il me convia le soir même dans sa résidence pour un diner, avec mon mari bien sûr. iI nous envoyait son chauffeur pour 19 heures.
A 19 heures précises, une qualité qu'on les Japonais, l'exactitude, la réception nous prévenait qu'une voiture nous attendais. Nous sommes descendu et avons trouvé notre chauffeur dans une limousine, digne de celles de Las Vegas, mais japonaise. Après avoir roulé un moment dans une circulation d'enfer, nous sommes arrivés dans le quartier de Ginza, le quartier le plus chics de Tokyo, Toutes les grandes marques internationales y sont représentées. Le chauffeur nous déposa devant un immeuble ultra moderne et un voiturier nous invita à le suivre. Nous sommes arrivés dans un hall immense, une réception avec de charmantes hôtesses, des plantes vertes et des canapés partout, cet immeuble c'était l'empire de monsieur Hayato. Gros industriel et financier ayant fait fortune dans la banque et la téléphonie régnait sur un véritable empire. John à côté faisait figure de SDF. Une hôtesse nous a invité à la suivre, je l'aurai bien suivi dans sa chambre, mais bon restons sage. Un ascenseur nous conduisis au dernier étage directement dans l'appartement privé de Monsieur Hayato.
Nous sommes entrés dans un immense salon et elle nous pria d'attendre. Je regardais John, habitué au luxe là ça dépassait tout ce que nous avions connu jusqu'à présent. Au bout de quelques minutes, notre hôte apparu accompagné d'un couple et d'une jeune femme de type plutôt thaïlandaise. Il semblait assez jeune 40 ans tout au plus, grand, habillé d'un très élégant costume clair. Il s'approcha de moi, me baisa la main me fit un compliment sur ma personne, serra la main de John et dans un anglais impeccable nous souhaita la bienvenue dans sa modeste demeure, tu parles modeste !!!. Il nous présenta ses amis, en précisant que le jeune femme était célibataire! pourquoi cette précision ?
Il nous dit qu'ayant rendez-vous avec moi le lendemain pour parler affaire, la soirée sera réservée au diner et aux divertissements. Qu'entendait-il par divertissements ? En tout cas cet homme était jovial, et malgré le luxe qui l'entourait il semblait être un bon vivant et sans manière. Je me permettais de lui demander s'il était marié, sa réponse fut non.
Après quelques coupes de champagne, un maître d'hôtel nous invita de passer à table. Nous sommes arrivés dans une pièce ou régnait en son milieu une table basse entourés de coussins. Je ne m'attendais pas à diner accroupie sur des coussins et ma jupe courte allait être un obstacle à cette position, si je ne voulais pas dévoiler ma nudité. Il s'en aperçu et appelant une jeune femme en kimono, il me pria de la suivre. Elle me conduisit dans un dressing et me tendit un magnifique kimono, Elle m'aida à me déshabiller et comme à mon habitude je ne portais pas de sous vêtements, je fus rapidement nue devant elle. Elle en profita en laissant un instant ses mains frôler mes seins et mes fesses. Elle m'aida à enfiler le kimono. D'un rouge sang, entièrement brodé, Il était magnifique et je me trouvais pas mal non plus et nous sommes retourné dans la salle à manger.
Mon hôte et John me regardèrent de la tête au pied, j'ai failli en rougir. nous nous sommes assis, je devrais dire en tailleur. C'est alors que je remarquais qu'à côté de nous il y avait d'autres coussins. Le maître d'hôtel frappa dans ces mains et six jeunes femmes firent leurs entrées.
Vêtues elles aussi d'un kimono, elle vinrent se mettre à genoux sur les coussins à côté de chacun de nous les genoux écartés. Je ne comprenais pas leurs présence mais qu'importe. Les premiers plats furent servis et c'est à ce moment que je compris leurs présences. Elles défirent leurs kimonos, découvrant leurs seins et leurs sexes entièrement épilés, ce qui n'est pas dans les habitudes des japonaises. Les lèvres de leurs sexes était percées d'un petit anneau doré auquel une petite chaine faisait le tour de la taille et le maintenait largement ouvert laissant voir leur clitoris. Puis passant leurs mains à l'intérieur de leurs cuisses, elles commencèrent à se masturber lentement. Le jouissance arriva très vite, alors avec des baguettes elles prirent des sushis et les frottèrent sur leurs sexes mouillés et largement ouvert, puis nous invita à les manger. Elles portèrent les sushis à notre bouche et j'avoue avoir eu un moment de stupeur, non pas parce que cette nourriture devait avoir le goût d'une jouissance féminine, mais plutôt par cette coutume que je connaissais, mais dont j'ignorais qu'elle fut toujours en vigueur de nos jours.
John regardais ce spectacle en commençant à comprendre ce que M. Hayato avait dit tout à l'heure, le diner puis des divertissements. Le diner se poursuivit avec des plats toujours agrémentés de l'arôme des jeunes japonaises. Elles nous remplissaient régulièrement nos tasses de saké tiède.
Le repas terminé il nous proposa de passer au salon ou un spectacle nous attendais. Nous nous sommes assis sur des canapés et entrère un couple en costume traditionnel. Ils se déshabillèrent totalement. Ils devaient exécuter devant nous différentes positions du Kama Sutra. Avec un but que nous reproduisions ensuite entre nous le même position. Ce qui impliquais bien sûr de se déshabiller entièrement. Si je comprenais le jeu de notre hôte, le couple restait ensemble, John héritais de la Thaï et moi de Hayato. Il nous demanda alors si nous étions d'accord.
Je regardais John assez ravi de se faire la petite Thaï, et moi, pas non plus contre de découvrir ce que cachait ce Japonais dans son pantalon. On m'avait toujours dit que asiatiques avaient des petits sexes, J'avais l'occasion de vérifier. Alors une fois tous à poil, je découvrais le sexe de mon partenaire, un sexe assez court mais d'un énorme diamètre et surtout une paire de couilles surdimensionnées. Les acteurs mimèrent une position et nous nous sommes mis en œuvre pour reproduire cette position. C'était une fellation, la femme allongée sur le dos et l'homme en position comme pour faire des pompes. J'engloutissais entièrement son sexe qui ne tarda pas à bander tout en gardant pratiquement les mêmes dimensions. Ses couilles tapaient sur mon menton, elles devaient contenir un volume respectable de sperme. John s'enfonçait dans la gorge de sa partenaire qui ne semblait pas troublé par ce sexe qui lui entrait dans la gorge. Puis les positions s'enchainèrent sans que nous ayons jouis.
Monsieur Hayato nous proposa alors de passez à des jeux plus hards. Les deux couples se sont séparés, John se retrouva avec la japonaise, le japonais avec la Thaï, et moi je restais avec Hayato. Pendant que les deux couples s'activaient sur les canapés, Il me fit mettre à genoux devant lui, il appela l'acteur du Kama Sutra qui posa sur la base du sexe de Hayato un petit vibreur, puis me prenant la tête il m'obligea à avaler à nouveau son sexe cette fois-ci en érection. Puis il pris une large ceinture de tissu qui sert pour les kimonos et il entoura ma tête et ses fesses. J'avais donc son sexe entièrement dans ma bouche avec l'impossibilité de me dégager. Il appuya ensuite sur un des boutons de la télécommande du vibreur. Je sentais les vibrations sur mes lèvres et percevais les réactions de son sexe. J'avais compris, lorsqu'il allait jouir je serai obligé de tout avaler. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais les vibrations étaient de plus en plus fortes et d'un seul coup, j'ai sentis dans ma gorge le liquide chaud du sperme de mon partenaire.
Une première fois, puis un deuxième jet, j'avalais, je n'avais pas le choix, mais il n'en finissait pas de se vider dans ma gorge. j'étouffais littéralement, mais ma tête prise dans cette ceinture de tissus était prise au piège, et il continuait par jets successifs de me faire boire son sperme. Jamais je n'en avait avalé autant en une seule fois. Puis tout cessa, il retira la ceinture et je me dégageais de son emprise. Combien en avais-je avalé. je ne sais pas, mais ses couilles devaient contenir plus d'un verre de foutre. Je n'avais jamais vu ça, cet homme était un phénomène.
Pendant ce temps là, John avait fait jouir plusieurs fois sa japonaise pendant que son mari avait enculé la Thaï. Une pensée me venait, j'avais rendez-vous avec Hayato le lendemain pour parler affaire, et John ne sera pas là. D'un autre côté j'avais besoin de lui pour créer une nouvelle galerie dans son pays. Alors que pouvait-il me faire de plus ?. Nous avons pris congés un peu plus tard non avoir bu quelques coupes de champagne pour me faire "digérer" la quantité de sperme qu'il m'avait obligé d'avaler.
Nous avons regagné notre hôtel, non sans s'être raconter nos exploits d'un soir. La nuit fut calme et reposante après le voyage et le décalage horaire. Le lendemain, John parti de son côté. Je descendais de mon côté déjeuner rapidement dans un des restaurants de l'hôtel. Et vers 14 heures le chauffeur de Hayato est venu me chercher. Il me conduisit dans le même immeuble que la veille, je suis entré, pris l'ascenseur et je me retrouvais dans le même salon. Hayato prévenu m'attendait, vêtu d'un kimono. Pour une fois, sachant à l'avance ce qui m'attendais, j'avais optée pour une tenue très sexy. Robe décoltée sur mes seins nus, string, portes jarretelles, et talons très haut. Il me regardais un peu décontenancé par ma tenue.
Nous sous somme dirigés dans son bureau. assise en face de lui, mes jambes croisées devaient lui offrir un beau spectacle. Il me demanda ce que j'attendais de lui, plus en détail que lors de notre prise de contact par textos et visioconférence. Je lui expliquais mon projet. Il connaissait très bien mes galeries s'étant renseigné sur mes activités professionnelles et je pense aussi sur ma vie privée. Il m'avoua qu'un de ses amis américains avait participé, il y a quelques temps, à certaine soirées organisées à N.Y en précisant qu'il gardait un excellent souvenir de moi ! C'est pour cette raison qu'il avait eu l'idée d'organiser cette soirée, connaissant mes goût pour le sexe sous toutes ses formes. Il était intéressé par mon projet, les Japonais étant très friands de tout se qui rapportent au sexe. il me dit alors qu'il avait déjà travaillé sur mon projet et que cela pourrait de faire dans les prochains mois.
J'ai failli lui sauter au cou, en fait c'est lui qui m'a sauté, mais pas au cou. Me prenant pas la main il me conduisit dans une chambre. En son centre un lit immense en face du lit un écran géant de télé. A chaque coins de la pièces des caméras vidéos télécommandées également au plafond et une à la tête du lit. Sur un pan de mur une grande glace, j'apprendrais plus tard qu'elle était sans tain et que derrière il y avait un opérateur qui dirigeait les différentes caméras. Il me demandais alors mes préférences, si je voulais une ou des femmes avec lui, et aussi un ou plusieurs hommes. Je lui répondis que je lui laissais le choix. Il pris alors son téléphone et 5 minutes plus tard arrivait dans la chambre deux femmes asiatiques et deux hommes un asiatique et un black. L'après midi allait être difficile, mais passionnante. Une fois dans la pièce tout ce petit monde m'entoura. A ma grande surprise Hayato alla s'asseoir dans un fauteuil en face du lit.des mains entreprirent de me déshabillée, une fois nue, le black me porta sur le lit, les deus filles s'installèrent une entre mes jambes la bouche collée à mon sexe, l'autre a califourchon sur la me tête, son sexe sur ma bouche, Le black s'installa derrière ma bouffeuse de minou et la pénétra d'une seule poussée. L'autre homme s'approcha de l'autre fille son sexe en avant et l'enfonça dans sa gorge.
La langue agile de ma japonaise me fit jouir plusieurs fois tandis que maintenant elle se faisait enculer par le black. Hayato regardait la scène les yeux fixés sur le spectacle. Il avait sorti son sexe et se masturbait violement. Puis on changeât de position moi, ma bouche collée entre les jambes d'une des deux fille, J'ai senti le black se placer derrière moi, j'ai senti son sexe à l'entrée de mon vagin et ensuite s'enfoncer de toute sa longueur. il me labourait, tapant au fond de mon sexe déclenchant à chaque poussée une onde de plaisir. Il se retira et il m'encula avec toujours autant de force, son sexe gros et long n'en finissait pas de s'enfoncer jusqu'à ce que je sente ses couilles taper mes fesses. Je ne me lasse jamais de ses sensations fortes d'une pénétration profonde et violent. J'ai cette sensation de viol, que l'on s'approprie mon corps, mon sexe, mon cul.
Mon bourreau se retira, laissant la place à Hayato, le chemin était fait et il n'a eu aucune difficulté à m'enculer malgré la taille imposante de son sexe, lui ne me pénétrait pas aussi loin mais son diamètre dilatait mon cul, j'étais ouverte en deux. Il se retira et investi mon vagin. Me souvenant de la quantité de sperme qu'il m'avait fait boire hier, j'attendais avec impatience l'effet que ferai son éjaculation. La réponse arriva très vite. Un jet puissant me fit jouir puis un deuxième, puis un troisième et comme la veille il n'en finissait de se vider du contenu de ses monstrueuses testicules. Quand il se retira, j'ai senti son sperme coulé entre mes jambes. le lit en était inondé. Le black s'approcha alors en continua l'œuvre du premier, il éjacula très vite continuant à remplir mon vagin de foutre, et l'asiatique s'approcha me fit avaler son sexe et éjaculat au fond de ma gorge.
Les deux filles avaient disparues, je restait seule avec mes trois amants. Hayato en souriant me demandat alors si j'avais apprécié la séance. Mon sourire en disait long sur la jouissance que j'avais tiré de ses pénétrations multiples. Il m'avoua avoir pris aussi beaucoup de plaisir et que je leur laissais le temps de récupérer ils étaient prêts à recommencer. La suite fut un recommencement de ce j'avais subi la première fois, sauf que j'ai eu le droit cette fois ci à une double pénétration, le black dans mon vagin et Hayato dans mon cul et le troisième dans ma bouche. Je n'en pouvais plus, le lit non plus d'ailleurs.
Plus tard, dans la salle de bain, Hayato vint me rejoindre alors que j'étais sous la douche, il s'approcha de moi, son sexe en érection. Il leva ma jambe et pénétra mon vagin encore une fois, Comment cet homme pour avoir autant de résistance. Il marchait à quoi ? Une fois de plus il me fit jouir et lui d'éjaculer encore une fois, mais cette fois-ci en petite quantité. Je lui demandais ce qu'il avait l'intention de faire des vidéos réalisées pendant notre partie. Il me répondit qu'il me donnerai une copie, mais qu'en aucun cas il ne la montrerai à d'autres personnes. J'ai eu un doute sur sa sincérité. De toute façon rien qu'à l'idée que d'autres personnes pourraient me voir me faire baiser, me fit parcourir d'un petit frisson.
Il était 17 heures et je devait partir ayant rendez-vous avec John pour diner avec un de ses clients. Allait il se comporter de la même façon avec moi.? j'avoue qu'après cette séance, je redoutais la tournure que pourrai prendre ce diner. Ma réputation de femme aimant le sexe, avait fait le tour du monde. Il faut dire que John ne se gênait pas de la faire savoir. Il aimait me voir baiser avec d'autres hommes jusqu'à l'épuisement.
C'est notre façon de vivre, Nous nous aimons comme ça et cette façon de faire est beaucoup plus saine que de s'envoyer en l'air en se cachant de l'autre. Notre séjour au Japon ne faisait que commencer, et quel début en fanfare.
à suivre.....
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