J’avais 23 ans, mon diplôme en poche et je ne savais en fait pas trop ce que j’allais faire. Mes parents avaient encore déménagé et habitaient Lyon, je les ai rejointes pour les vacances. Mon père me demanda ce que je voulais faire, je lui avouais que je n’avais pas d’idée précise, mais compte tenue de mes études aux Beaux Arts, il m’aurait plu de tenir une galerie d’arts.
C’est une très bonne idée, me dit-il, et il se mit à la recherche d’un endroit bien situé dans le centre de Lyon. Après deux mois de recherche il avait trouvé une boutique de 200 m² avec un sous-sol et une petite cour intérieure couverte, En plus un vaste appartement était attenant à cette boutique.
Il conclu l’affaire rapidement et un mois plus tard je rentrais dans mes meubles. Ayant gardé l’appartement de Paris, je le louais à une amie restée là-bas.
Après des travaux indispensables pour transformer cette boutique en galerie, j’ouvrais en janvier par un vernissage d’un copain des Beaux Arts, qui espérait se faire connaître dans ce monde très fermé de la peinture. Nous avons vendu pas mal de ses toiles qui ont rentabilisé son investissement.
Cette année là je n’ai pas prise de vacances, trop désireuse de me faire connaître dans le milieu de l’art. Je me suis consolée en m’accordant quelques jours en juillet chez des amis que j’avais connus à la galerie et qui avaient une propriété dans les environs de Lyon.
Ces 4 jours de vacances, je les mis à profit pour faire connaissance d’une personne très influente dans la peinture que j’appellerai Max, Il y a eu une compensation à cette aide, c’est pourquoi un soir j’ai acceptée son invitation.
Il avait une bonne cinquantaine d’années, plus beaucoup de cheveux, pas très grand, et bedonnant, bref loin d’être un playboy.
Il possédait un hôtel particulier à Lyon, et avait également une résidence secondaire en dehors de Montélimar. Je me rendais donc à Montélimar, prête à tout, mais qu’elle ne fut ma surprise en arrivant d’être reçue par une femme jeune, 30 ans tout au plus, qui se présenta comme étant sa femme qui se présenta sous le nom de Nathalie.
Je m’attendais à tout sauf à ça. Je retrouvais mon mentor dans le salon qui était en compagnie de trois autres hommes d’à peu prêt du même âge que sa femme. Il me les présenta, un avait une entreprise de création de parcs et jardin, un autre était commercial dans le domaine de maisons de luxe sur la côte et le troisième dirigeait une entreprise de transports à Montélimar.
Les présentations faites et après quelques apéritifs, nous passâmes à table dans le jardin. Une superbe femme noire nous a servi le repas, et nous sommes descendus ensuite vers la piscine pour prendre le café et quelques alcools.
Je ne comprenais toujours pas pourquoi cet homme m’avait invité pour un diner en tête à tête, et ensuite à une soirée entre nous deux avec une idée bien précise, me baiser. Je me demandais aussi comment une jeune femme aussi belle que Nathalie pouvait faire avec un homme moche et vieux. La réponse vint plus tard.
Après quelques verres, Max nous proposa de nous baigner. Bien sûr tout le monde accepta, et c’est bien sur nu que tout ce beau monde s’est retrouvé à l’eau. Devant mon hésitation, c’est sa femme qui est venue m’inciter à allez dans l’eau, j’acceptais et comme à mon habitude, je ne portais rien sous ma robe, je plongeais dans l’eau imitée par Nathalie entièrement nue elle aussi.
Une fois dans l’eau, je m’approchais d’elle et lui demandais pourquoi son mari ne nous rejoignait pas. Elle me dit alors, qu’il avait eu 5 ans plus tôt un grave accident de voiture qui l’avais privé de ses organes génitaux, et que ne pouvant plus honorer sa jeune épouse, il organisait régulièrement, des soirées où elle pouvait compenser largement le manque de son mari. C’était le deal qu’elle avait fait avec lui. Il s’affichait en public avec une femme sublime pour son image c’est presque indispensable, personne ne sachant ce qui était arrivé, et elle profitait de son argent et pouvait s’envoyer en l’air avec tous les garçons de le terre sans que mari n’est rien à dire. Par contre il refusait qu’elle se fasse baiser lorsqu’il n’était pas présent. Enfin de compte pas mal comme solution.
Effectivement le commercial en villa la pris dans ses bras, elle fit la planche et il l’enfourcha. Je regardais son mari, qui semblait prendre plaisir à voire sa femme se faire baiser. A ce moment là les deux autres s’approchèrent de moi, ils commencèrent à me caresser, je sentais leurs sexes se tendres, et un des deux plongea sous l’eau et je senti sa bouche se collée à mon sexe. J’attrapais le sexe du deuxième homme et commençais à le masturber. A bout de souffle, le premier refit surface et je me suis mis à les branler tous les deux en même temps.
Pendant ce temps j’entendais Nathalie gémir sous les assauts de son compagnon de jeu. Ayant considéré qu’ils étaient suffisamment en forme on s’installa sur le rebord de la piscine, le créateur de jardin se mit sur le dos, je lui enfilais un préservatif et je pénétrais son membre dans mon sexe pendant que l’entrepreneur de transports se plaçais derrière moi et m’enculait illico.
La soirée commençait très bien. Le mari regardait la scène en buvant tranquillement son whisky, comme si le fait de voire deux femmes dont la sienne se faire baiser devant ses yeux était normal. Ils me baisèrent un bon moment, en changeant de position, celui qui me baisait m’encula et vice et versa. Le premier à jouir fut celui qui me baisait, il se dégagea, et moi restée toujours sur le dos, le sexe de mon assaillant planté dans mes reins, Max resté jusque là dans son fauteuil se leva, s’allongea devant mes jambes, colla sa bouche sur mon sexe et lécha longuement celui-ci en me suçant et en mordillant mon clitoris pendant que l’autre continuait à me sodomiser. J’avais eu un premier orgasme pendant le coït, mais j’en ai eu un deuxième encore plus fort pendant ce traitement. Sa bouche resta collée à mon sexe il a bu avec avidité le résultat de mon orgasme. Le troisième orgasme arriva lorsque celui qui me sodomisait s’est vidé dans mes reins.
Quelle soirée ! Et elle commençait à peine. La femme noire qui nous avait servi le repas apparue sur la terrasse nue comme un ver. Elle avait un corps sublime, des yeux noirs en amandes, des cheveux légèrement frisés qui lui descendaient jusqu’aux fesses qu’elles avaient rebondies et fermes, comme seule les femmes noires peuvent en avoir.
Elle aussi faisait partie de la fête. Je n’avais pas eu le temps de récupérer que déjà elle s’allongeait devant moi les fesses en l’air et colla sa bouche sur mon sexe encore humide des mes orgasmes successifs. Aussitôt un des trois acolytes se plaça derrière elle et il la pénétra d’un seul coup. Imperturbable elle continuait son travail de sape sur mon clito, qui ne tarda pas me faire prendre mon pieds une fois de plus. L’homme placé derrière elle alternait ses pénétrations, sexe, cul, Il finit par jouir en la pilonnant de plus belle.
Curieusement elle ne semblait rien ressentir, c’est quand elle se releva que je m’aperçus que cette beauté noire avait subie dans son enfance, l’ablation complète du clitoris des grandes et petites lèvres. Son sexe était en fait un trou, jamais complètement fermé, et toujours disponible pour les hommes de son pays d’origine. Un massacre encore en vigueur même de nos jours en France, Les traditions à la cons quand tu nous tiens !
Nathalie, qui avait elle de son côté baisée avec deux des invités, vint se poser en écartant les jambes juste son sexe au dessus de ma bouche. Je compris le message et commençais à la lécher sucer, mordre, tandis que la noire continuait de son côté à me faire la même chose. Et c’est reparti, une jouissance de plus en plus grande m’envahit, et j’ai eu un orgasme encore plus fort que les précédents.
De sons côté Nathalie un peu en retard sur moi jouit à son tour, et là encore son mari vint récupérer le liquide chaud de son orgasme. Bien tout les monde avait baisé avec tout le monde, qu’est-ce qu’il restait à faire ? Mes trois compagnons trouvèrent rapidement la solution, le seul qui ne m’avait pas encore touchée se mis sur le dos, le deuxième derrière moi et le troisième devant moi. Le seul à n’avoir pas mis de préservatif était celui que j’avais dans la bouche. Il fallait donc que je m’attende à le recevoir au fond de ma gorge. Sans doute fatigué et un peu vidé par leurs exploits précédents, ils mirent longtemps à parvenir à l’orgasme, et enfin je reçu cette semence chaude, dans mon vagin, mon cul et ma gorge.
Nathalie s’approcha alors de moi et m’embrassa longuement sur la bouche récupérant au passage du sperme de mon compagnon de jeu. A une heure du matin on sonna la fin des hostilités, en se promettant de se revoir. Pourquoi pas, j’avais passée une très bonne soirée, qui se présentait comme étant au début de me faire baiser par un homme vieux et libidineux, pour finir par une partouze avec des hommes et des femmes jeunes et beaux. La vie est bien faite.
Max a tenu parole et me présenta à des collectionneurs d’arts, qui ne tardèrent pas à fréquenter ma galerie assidument. Il faut dire que je faisais tout pour ça. On à rien sans rien, et je n’ai pas honte d’avoir couchée avec eux, en récompense de m’avoir aidée.
A suivre
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