Apres nous êtres rendus pour une dernière fois au chevet de ma mère, dont l'état général s'améliorait de jour en jour, nous sommes rentrés à New York. John et Bruno nous attendaient à l'aéroport, et nous avons regagner notre hôtel particulier.
Nous étions contente de retrouver notre maison. John avait tout prévu un super diner servit par notre traiteur attitré. Puis nous sommes allez nous coucher, un peu fatiguées par le voyage et le décalage horaire. John me fit la faveur de me baiser doucement et longuement ce qui me relaxa et je me suis endormie repue et heureuse.
Le lendemain matin, au petit déjeuner je racontais à John les péripéties sexuelles que nous avions connus à Lyon et organisées par notre ami Max. Je regardais John et visiblement notre récit avait sur lui un effet sous la ceinture. Puis il parti pour ses bureaux, non sans avoir reçu de ma part une fellation pour lui permettre d'être décent dans son costume.
Je retrouvais Justine dans le couloir des chambres, Bruno était déjà parti au bureau. Qu'allions nous faire de cette journée, les boutiques ? un ciné ? Nous avons choisi de passer notre journée sur les pelouses de Central Park. Après être passé chez notre traiteur pour faire un pic-nic , un taxi nous déposa à Central Park. Nous avons trouvé un coin sympa un peu isolé. Nous nous sommes installée, le soleil de début septembre était encore chaud et nous sommes mises à l'aise. Une particularité de New York, dans un pays très puritain, c'est que le topless n'est pas interdit.
Assoupies, nous avons entendues une voix nous dire : " Bonjour mes demoiselles, est-ce que l'on peut s'asseoir avec vous ?" . Je regardais au travers de mes lunettes de soleil, d'ou venait cette voix, et j'ai reconnu les deux frères que nous avions rencontrées un jour dans un restaurant et avec qui nous avions baisées allégrement toute l'après midi dans leur appartement. Comme le monde est petit, décidément ces deux là n'avaient pas grand chose à faire de leurs journées hormis le fait de draguer tout se qui bougeait.
Nous les avons invitez à nous rejoindre sur l'herbe. Une main baladeuse se mis instantanément à me caresser un sein. Je le repoussais prétextant que ce n'était pas le lieu pour faire ça. " Et bien allons chez nous ", telle fut sa réponse immédiate. C'était direct comme proposition, je regardais Justine dons le deuxième frère s'occupait d'elle et la masturbant sous sa robe. Elle me regardait les yeux dans le vague et je compris que visiblement elle était d'accord pour continuer cette petite sauterie dans de meilleures conditions de confort et de discrétion. Nous avons plié bagage, et rejoint leur voiture garée le long du park.
En chemin, le plus jeune des deux, fit une proposition, si nous allions dans ce Club échangiste ouvert depuis peu. J'en avais entendu parlé et j'avoue que curieuse comme je suis, l'idée me plut. Justine, qui toujours partante pour une séance de baise était d'accord également. Il était 15 heures et John devait rentré à notre domicile vers 16h30, aussi je lui passait un coup de téléphone pour lui demander si il était d'accord pour nous rejoindre dans ce Club avec Bruno. Et comme toujours John était d'accord pour nous rejoindre.
Nous sommes arrivé un peu plus tard devant un Hôtel particulier, dont rien à l'extérieur ne faisait pensé à un club échangiste. Nous avons monté les quelques marches et après que un de nos accompagnateurs se soient présentés au visiophone, la porte s'ouvrit et nous avons découvert un décor de cinéma. Toute la décoration était Art Déco, On avait l'impression de se retrouver en 1930 dans un bordel comme il en existaient à Paris à cette époque. Un grand salon s'ouvrait sur le hall d'entrée. Sur des canapés de velours rouge étaient assise des filles dénudées, des hommes étaient installés à côté d'elles, d'autres au bar. Une ambiance chaude et calme se dégageait de cet endroit. La maitresse de maison nous fit les honneurs de cette maison. Elle nous dit que les femmes présentes étaient des clientes venues faire la pute l'instant d'une après midi.
Au premier étage des chambres sans portes ou certains couples, trio et plus baisaient. Cet endroit me plaisait. Arrivé devant une chambre vide, nos gentlemen's nous poussèrent à l'intérieur et nous nous sommes retrouvées sur un lit immense. Ils nous déshabillèrent et en un instant nos abats ont commencés. J'avais eu déjà l'occasion d'apprécier les talents de baiseur de mon partenaire. Cet homme, comme son frère, pouvait baiser pendant plus d 'une heure sans arrêté et sans jouir, ils nous envoyaient au paradis plusieurs fois, sans qu'ils ne de fatiguent. Ils nous ont pris dans la chatte dans le cul, nous les avons sucés en espérant recevoir le précieux nectar et c'est seulement après de longs moments qu'ils se sont vidés de leur sperme.
Pour ma part je l'ai reçu au fond de la bouche. Je sentais le liquide chaud et épais coulé dans ma gorge, il n'en finissait pas de se vider. Je dégustais avec avidité ce sperme, dont je raffole. J'ai toujours aimé boire l'éjaculation de l'homme et cela depuis la première fois ou à douze ans une ami de deux ans plus agé que moi m'a fait découvrir l'amour et ce que j'étais loin d'imaginer, avaler le sperme. (voir chapitre 01- Mon adolescence). Justine le reçu dans le vagin, quand il se retira d'elle son sexe débordait de liquide. Ces deux là étaient vraiment des phénomènes.
Repue, je regardais l'heure, John et Bruno n'allaient pas tardés. Effectivement un quart d'heure plus tard, nous les avons vu arrivés tous les deux dans la chambre. Ils se connaissaient par relations mutuelles. John me fit remarquer que j'avais les yeux un peu cernés, je lui disais qu'après la séance que les deux lascars nous aveint fait subir, le contraire aurait été étonnant.
La maitresse de maison fit son apparition dans la chambre. Elle nous proposa si nous étions d'accord de revenir vers 9 heures, elle avait organisée une soirée avec quelques habitués. Pourquoi pas, rendez-vous fut pris. Apres avoir pris une douche dans la salle de bain attenante à la chambre, nous sous sommes rhabillées et sommes descendues au bar boire du champagne. Puis nous sommes allez diner rapidement dans un petit resto français. A 9h15 nous étions de retour dans le Club.
Dans le salon une dizaine de couples étaient déjà présents. Des jeunes, des plus âgés, deux couples de Blacks et un asiatique. Dans l'ensemble les femmes étaient toutes très belles, et les hommes assez distingués, les croisant dans la rue, on aurait été loin d'imaginer qu'ils aimaient participer à des partouzes. Deux autres couples retardataires arrivèrent encore.
La Maitresse de Maison nous a rejoint et elle nous annonçât comment allait de dérouler la soirée. Elle nous fit placer sur des chaises en cercle, Elle avait dans la main une robe qu'elle nous présentât. Cette robe longue et large était retenue sur les épaules par 5 petits rubans de chaque côté. Un ruban la ceinturait à la taille. Le jeu consistait à ce que la fille choisit porte cette robe, La maitresse de maison posait des questions tirées du Trivial Pursuit. Le premier des hommes à répondre à la question se lavait et venait défaire un des petits rubans retenant la robe. Et ainsi de suite. A la dixième question le femme se retrouvait les seins nus. Il restait la onzième question, Celui qui répondait à la question défaisait le ruban de la taille, la fille se retrouvait entièrement nue, il pouvait alors l'emmener sur un des canapés du salon. Les ébats avaient lieus dans le salon, à la vue des époux ou amis des femmes qui allaient se faire baiser devant eux.
Elle demanda si toutes les participantes étaient d'accord, car une fois la partie commencée elles ne pourraient plus faire machine arrière. Nous nous sommes toutes retrouvées aux toilettes présageant que certains de ces Messieurs abuseraient de notre intimité la plus serrée. C'est un phantasme chez les hommes, enculer une femme, ils adorent.
Un tirage au sort désignait l'ordre de passage de chaque femme. Et la soirée commençât. La première à participer fut l'Asiatique, elle partit se déshabillée et enfilée la robe,. Quand elle revint elle avait dénouer ses cheveux et sa crinière noire lui descendait jusqu'aux fesses. Elle était superbe.
La première question fut posée et aussitôt un des hommes se leva et donna la bonne réponse, il vint défaire un des rubans sur les épaules et ainsi de suite. A la cinquième bonne réponse un sein fut dégager de la robe. A la dixième réponse elle se retrouva la poitrine dénudée, ne restait plus que le ruban de la taille. Je murmurais à l'oreille de John, "Débrouille toi pour répondre, cette fille est superbe, tu devrais passer un bon moment avec elle". La question était : comment se nomme le troisième président des états Unis. Des réponses fusèrent, toutes fausses, Bruno proposa Andrew Jackson. mauvaise réponse. John proposa Thomas Jefferson. Bonne réponse. Il se leva il défit le ruban retenant la robe et cette beauté asiatique apparue complètement nue. John la pris par la main et en se retournant me jeta un coup d'œil complice.
Je le suivais du regard, je le vis allonger la fille sur un canapé, lui ouvrir les jambes et plonger sa tête entre ses cuisses ouvertes à l'équerre. Je l'enviais j'aurais bien voulu être à sa place, mais je n'ai pas eu le temps de poursuivre mes délires érotiques car une deuxième fille fut appelé. Justine. Elle se leva, sorti de la pièce pour enfilée la robe et revint. Sur lequel des hommes présents allait elle tombée. En cinq minutes elle se retrouva les seins libre de toute contrainte. La onzième question posée c'est un homme d'une quarantaine d'année qui répondit, A son tour il se leva et vint défaire le ruban de la taille. Justine apparue nue, ses seins lourds aux pointes brunes pointaient comme des obus et son pubis noir, comme ses cheveux, taillé en forme de cœur la faisait désirée de tous les hommes. L'homme la pris par le bras, l'emmena sur un des canapés, il défit son pantalon, laissant apparaître un sexe de bonne taille pas encore en pleine érection, il s'allongeât sur le dos, invitât Justine à venir lui faire une fellation, invitation que Justine répondit avec plaisir.
Déjà 9 femmes étaient passées à la séances de strip tease, quand on m'appela. Comme les autres je passait la robe et les questions commencèrent de nouveau. Il est vrai que ce jeu avait quelque chose d'érotique. Sur qui j'allais tomber ? Il restait 3 hommes dont Bruno mais qui ne pouvait pas participer du fait que nous étions amis. Dans les deux hommes restant, un d'une trentaine d'années blonds les yeux très bleus, qui lui donnait un regard inquiétant et un homme beaucoup plus âgé certainement une bonne soixantaine d'années, très mince et bien de sa personne. Comme les autres je me suis très vite retrouvée demi-nue. C'est le plus âgé qui répondit le premier, visiblement ravi de se taper une fille beaucoup plus jeune que lui. J'avoue que j'aurai préférer le blondinet, mais après tout, j'allais bien voir ce que cet homme connaissait pour envoyer une femme au 7eme ciel. Il me déshabilla en retirant le ruban, m'examina comme on regarde une voiture, et m'emmena sur un canapé pas très loin de John et sa chinoise.
Bruno hérita d'une fausse blonde à la poitrine hors de proportion, il semblait assez content, il allait pouvoir jouer avec ses deux ballons. Une fois installée sur le canapé, mon homme d'un soir m'avoua que depuis le début de la soirée il me voulait et c'est la raison pour laquelle il ne répondait pas aux autres questionnaires. Je l'aidais à se déshabiller. Une fois nu, je constatais que ce cher Monsieur bien de sa personne possédait un sexe comme les blacks peuvent en avoir. Il me dit qu'il avait un penchant pour faire avaler son sexe jusqu'aux testicules en maintenant la tête de ses partenaires derrière la nuque et aussi de pratiquer des sodomies profondes.
Le programme était établi, bien que j'aime la sodomie, je n'apprécie pas tellement d'avaler plus de vingt centimètres de sexe jusqu'à l'étouffement. Mais pour commencé il décida de plonger sa langue sur mon entrejambe et d'attraper mon clito entre ses dents, déjà pas mal exciter par tous ces spectacles donnés par tous ces couples en rut. Il était assez doué et je ne mis pas longtemps à jouir une première fois. Il ne dégageât pas quand je lui ai envoyé un long jet dans la bouche, au contraire il continua de plus belle. Il fit durer la séance un long moment et mon sexe était au bord de l'explosion. Ca devenait presque insupportable. Il sentit que je n'en pouvais plus, que le travail de sa langue sur le point le plus sensible du sexe d'une femme devenait un supplice, Il me pris par les hanches et me retint fortement m'obligeant à rester dans cette position. Je me souviens mettre mise à crier, j'essayais de le repousser , mais rien à faire, il continuait à lécher, mordiller, sucer mon clito. Et je suis tombée dans les pommes. Quand je me suis réveillée, il était en moi, son sexe planté jusqu'à la garde, tapant au fond de mon vagin. Ce type était démoniaque et bien sûr je suis tombée sur lui.
Il me baisa ainsi pendant un bon moment et me retournant brutalement il appuya son sexe sur mon cul et d'une poussée. Son gland assez gros pénétra d'une seul coup et le reste suivit tout seul. Et il recommençât par derrière ce qu'il m'avait fait subir par devant. Je tournais la tête et vit John qui me regardait d'un air interrogateur voulant dire : Ca va ?. Ne voulant perdre la face je lui faisait signe du pouce, ce qui voulait dire tout va bien. Rassurez il retourna à ses occupations sexuelles avec sa belle asiatique qui visiblement était insassiable.
Mon partenaire d'un soir s'acharnait à faire pénétrer son sexe le plus loin possible, je sentais ses testicules taper contre mes fesses. J' espérais que ce traitement ne dure pas trop longtemps, mais il n'en fut rien. Passant sa main sous mon ventre il entreprit de faire pénétrer ses doigts dans ma chatte. Lubrifiée comme elle était il n'eut pas de mal à faire entrer deux doigts, puis trois, puis quatre. Entre sa queue dans mon cul et ses doigts dans mon vagin, je ne savais plus très bien ou j'étais. La douleur devenait plaisir et j'ouvrais involontairement un peu plus les cuisses. Il pris cela pour une invitation et regroupant ses cinq doigts, il pénétra toutes les phalanges dans ma chatte. Je me suis débattue, ce qui a eu pour effet de lui permettre de pousser plus loin son investigation. Il a fini par faire entrer sa main à l'intérieur. Il m'enculait et en même temps il me masturbait sa main entière dans le plus profond de mon intimité.
J'avais déjà pratiqué le "fisting" mais là s'était trop fort et la douleur devenue plaisir retourna à une douleur intense. Il continua encore un moment et d'un seul coup je sentis mon cul être inondé de son sperme, et ne se contrôlant plus il poussa encore plus fort sa main jusqu'au poignet en bougeant les doigts. Je pleurais de douleur. Je vis alors John tirer mon bourreau en arrière le dégageant des mes intimités. J'ai cru un moment ou il allait lui mettre son poing dans la figure, mais se retenant, il se contentât de lui faire comprendre que son comportement était inacceptable et qu'il en aviserait la Maitresse de Maison pour qu'il ne revienne plus dans son établissement.
Il y avait un pervers dans le lot et il fallait que je tombe dessus, je dois les attirés c'est pas possible. Quoi qu'il en soit il m'avait fait prendre un pied pas possible au début de nos ébats, la suite fut moins réjouissante. Restée seule, mon partenaire étant parti, John proposa à sa chinoise si elle acceptais que je vienne les retrouver. Elle paru ravie et acceptât.
John avait joui en elle, alors lui écartant les jambes, je présentais ma bouche sur son sexe, sortait ma langue le plus possible et j'entrepris de faire une toilette intime récupérant ainsi le sperme de John avec les effluves de jouissance de cette superbe fille. Mon traitement lui procura une nouvelle jouissance et elle m'envoya un jet puissant dans ma bouche. Le pied ! Elle n'en pouvait plus et moi non plus. Quelle soirée, encore une à mettre au tableau d'honneur de nos escapades sexuelles.
Nous avons pris congés un peu plus tard, non s'être mélangé encore un peu avec certains partenaires qui avaient encore des réserves. Mon sexe et mon cul était en feu et je me demandais si je pourrais supporter encore une fois un assaut de John. La suite prouva le contraire. Une fois à la maison, Justine et Bruno se retirèrent dans leur chambre repus de cette soirée orgiaque, j'allais dans ma chambre, et cinq minutes plus tard déshabillée dans mon lit, j'ai vu arriver John accompagné de Holden l'homme à tout faire de la maison, entre autre de me baiser aussi, quand je le désirais ou quand John le lui demandait.
John sur le dos, moi empalée sur son sexe, Holden m'encula, Il n'eut pas de mal à me pénétrer vu la séance subie quelques heures plus tôt. Ainsi se termina cette nuit. Une de plus comme je les aime, pleine de surprises, de nouvelles découvertes, même si comme ce soir, j'ai subie quelques maltraitances. J'ai la chance de mettre mariée à un homme qui a les mêmes gouts que moi en matière de sexe. Nous nous aimons profondément et au travers de ces échanges de partenaires, à chaque fois nos retrouvailles sont de plus en plus intense.
à suivre...
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