Un jour il me proposa d’aller le samedi prochain dans une soirée privée chez un de ses amis qui avait une résidence à Rambouillet. Je lui demandais quel type de soirée c’était, comment je devais m’habiller. Il me répondit que c’était une soirée ou il y aurait plus d’hommes que de femmes et qu’une simple robe à petites bretelles ferait très bien l’affaire. Intriguée par sa réponse, je le questionnais à nouveau, mais je n’obtins comme réponse que j’allais passée une soirée comme jamais je n’en avais passée, Cela ne calma pas ma curiosité, mais je me dis qu’après tout, avec lui j’étais bien, et que rien de grave ne pouvait m’arriver.
Le samedi suivant je me préparais, j’avais acheté pour cette soirée une petite robe en lamé argenté très courte, à bretelles comme il me l’avait demandé, et évidemment sans sous-vêtements comme à mon habitude.
Il vint me chercher vers 19 heures dans une voiture qu’il avait louée pour la circonstance, un superbe coupé Mercedes noir. Dans la voiture je le questionnais à nouveau sur cette soirée mystère, mais il n’en dit pas d’avantage. Il me dit que j’aimais les surprises, alors se sera une surprise.
Une bonne trentaine de voitures étaient garées, et un voiturier gara notre voiture. Accueilli sur le perron par un Maître d’hôtel, il nous conduisit dans un grand salon ou attendait devant un magnifique buffet une ctrentaine d’invités. Effectivement comme il me l’avait dit, je comptais une petite dizaine de femmes, toutes de race blanche et d’un âge beaucoup plus avancés que moi, à l’inverse des hommes tous de race noire et assez jeunes. Je commençais à comprendre comment allait se dérouler la soirée. Je n’imaginais pas en fait ce qui allait arriver.
Le maitre de maison nous accueilli, mon ami me présenta à lui. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, les cheveux grisonnants, très digne dans un costume sombre. Il me baisa ma main, me fit un compliment et nous invita à venir près du buffet. Je demandais à mon ami qui il était, il me dit qu’il était un haut dignitaire d’un pays africain. Ce fut la seule réponse que j’ai obtenu.
Un maître d’hôtel passa alors un petit sac en toile contenant des plaques, styles plaques de casino avec une petite chaine, Je pris une plaque, elle portait le nombre 10. Mon ami me dit : « tu as de la chance », « Ah bon pourquoi ? » lui ai-je demandé ? Aucune réponse. Je constatais que les autres femmes qui avaient tirées les plaques au hasard dans le sac avaient des nombres de 1 à 9. J’étais donc visiblement la seule à avoir un Dix. On nous demanda de mettre cette plaque autour du coup.
La soirée continua, nous avons fait la connaissance de certains des invités que mon ami connaissait, Plusieurs des femmes présentes me félicitèrent d’avoir tirer le numéro dix, je ne comprenais toujours pas pourquoi. Vers dix heures, notre hôte nous proposa de le suivre dans un autre salon.
Après quelques couloirs avalés, et quelques portes passées, nous sommes arrivés dans une immense pièce très sombre. On distinguait à peine le mobilier, et pour cause la pièce comportait en tout et pour tout en son centre une estrade d’une dizaine de mètres de long sur 6 de large et tout au tour des fauteuils étaient disposés. Au centre de cette estrade, il y avait comme une sorte de potence, à coté une table, une espèce de sarcophage posé verticalement, une chaise, une espèce de chevalet. C’est tout ce que j’ai vu en entrant. Pas très rassurée, je demandais à mon ami ce qui allait de passer, « Ne t’inquiète pas me dit-il, il ne t’arrivera rien que ne puisses aimer ».
Le maître de maison demanda alors à toutes les dix femmes présentes d’annoncer le numéro inscrit sur leur plaque. J’ai dit dix, et à ce moment là toutes les têtes des hommes se sont tournées vers moi. J’avais l’impression d’être à l’école et de ne pas pouvoir répondre à une question du professeur. On invita alors toutes les femmes à monter sur l’estrade, et un éclairage vint illuminer la scène. Chaque « mobilier » était éclairé par un projecteur.
Un homme vêtu de blanc s’approcha de nous et entreprit de nous déshabiller complètement. Certaines de mes nouvelles « amies » portaient des sous-vêtements, porte jarretelles, guêpières etc.. Quand arriva mon tour, il fit descendre les bretelles et la robe tomba toute seule à mes pieds. Nous nous retrouvions entièrement nues devant une cinquante d’hommes avec pour tout vêtement, notre plaque autour du coup.
Avec cet éclairage, je ne distinguais pas ou était mon ami, c’est quand il est monté sur l’estrade et qu’il m’entraina devant l’espèce de sarcophage qu’il me dit que chaque numéro correspondait à un programme spécifique, mais que les participantes ne savaient pas à l’avance à quoi elles devaient s’attendre. Il me dit également que le sac était séparé en deux et que j’étais obligé de tirer le numéro 10, ce qui n’était pas le cas des autres participantes.
Il ouvrit le sarcophage, et me fit pénétrer à l’intérieur. Au sol était posé une espèce de triangle vertical qui avait pour effet d’écarter largement les jambes. Il referma la porte et je me suis retrouvée dans le noir, Une petite lampe bleue au sommet de cette boite me tira de l’obscurité.
Ensuite j’ai entendu des bruits se rapproché et puis tout autour de ma « boite » ce que je n’avais pas vu, des ouvertures recouvertes de tissus laissèrent passer des mains, il y en avait à toutes les hauteurs, et disposées tout au tour.
Les « mains » fouillaient mon corps entier, me pénétraient mes endroits de plus intimes, me caressaient les seins, me tordais leurs bouts, mais tout ça sans excès. Cela dura plusieurs minutes, puis les mains se retirèrent, et la porte s’ouvrit. La lumière vive ne fit pas voire exactement ce qui se passait sur cette estrade.
Puis petit à petit, je vis les autres femmes, une était couchée sur la table et un noir la pénétrait à grand coup de hanches. Je remarquais que son sexe était muni d’une sorte de préservatif, mais pas en latex, d’un large diamètre il était muni d’aspérités très pointues. Elle semblait apprécier le traitement, tant ses gémissements étaient forts.
Une autre était attaché au poteau que j’avais remarqué, et un homme la fouettait avec une cravache, un coup sur les seins, un coup sur le ventre, un coup sur le sexe, puis il remontait et recommençait. Il changeât d’ustensile de torture en prenant une sorte de corde style corde à linge avec un fil de métal recouvert de plastique, à chaque extrémités une poignée qui permettait de le tenir solidement. Quand il recommença son travail, chaque coup provoquait des traces fines et rougeâtres. Je ne sais pas combien de coups elle a pris, mais je l’ai vue partir au bout d’un bon moment soutenues pas deux hommes.
Une autre était exposée, les cuisses largement ouvertes avec des pinces sur ses lèvres intimes attachées sur les cuisses, ce qui avait pour effet de voire tout l’intérieur de son sexe. Un homme s’approcha avec à la main une brosse de toilette d’une douzaine de centimètre dediamètre
Cette « brosse » avait visiblement des poils assez durs, il la fit pénétrer pratiquement d’un seul coup jusqu’au fond de son sexe, les poils de la brosse se recourbaient légèrement en la pénétrant, il entreprit ensuite de la faire tourner à gauche puis dans l’autre sens, puis il la masturba pendant un long moment. Lorsqu’il la retira toujours aussi brutalement elle a joui en se tordant dans ses liens alors l’homme se mit devant elle et il la pénétra toujours aussi brutalement.
Sur la table de l’autre côté, une femme était attachée , les cuisses ouvertes attachés à des anneaux fixés sur la table. Un homme munis d’aiguilles hypodermiques de plus de 5 cm les lui enfonçait jusqu’au bout dans ses lèvres intimes et la pointe des seins.
Elle en avait une bonne dizaine plantée dans le sexe, elle semblait dans un autre monde, son visage ne diffusait aucune douleur, mais plutôt un plaisir immense et elle gémissait. C’est quand il lui enfonça la dernière aiguille plus longue que les autres, dans le sens de la longueur dans le clitoris, qu’elle hurla et qu’elle joui si fort qu’elle inonda l‘homme d’un long jet, comme les femmes fontaines.
Je m’inquiétais pour moi de subir ces traitements, et voulu descendre de l’estrade. Mon ami me fit remonter et me dit que toutes ces femmes désiraient subir des supplices, et que rien ne leur était imposé. Par contre pour moi, il m’avait réservé d’autres activités beaucoup moins brutales.
J’ai vu une femme dont les seins étaient ficelés fortement, une corde attachée entre les seins passait par-dessus la potence dans une poulie. Deux hommes prirent la corde et cette femme se retrouva pendue par les seins qui prenaient une couleur bleue. Ils augmentaient le supplice en secouant légèrement la corde. Puis ils apportèrent une sorte de potence en TE avec une autre barre plus bas. Sur la partie du haut étaient fixées verticalement deux aiguilles hypodermiques d’une vingtaine de cm. Sur la barre du milieu il y avait un godemiché d’une belle dimension, monté sur un système électrique qui permettait un vas en vient vertical. Ils placèrent la potence en ajustant les aiguilles juste sous les seins, mis le gode à l’entrée de son vagin et millimètres par millimètres ils firent monté l'ensemble en tournant une manivelle. Les deux aiguilles pénétrèrent les deux seins en même temps et le gode pénétra doucement le sexe de cette femme. ils continuaient de faire monter la potence et moteur du sextoys commença à la masturbée.
Elle ontinuait sa montée, la moitié des aiguilles avait perforés ses seins, et le sexe était entré d’une bonne moitié. Au bout d’une dizaine de minutes les aiguilles sont ressortis au dessus de ses seins, et elle reposait complètement empalée sur son engin de torture qui continuait à la masturbée violemment. Son supplice dura un bon quart d’heures, puis il firent descendre la potence, les aiguilles se retirèrent des seins, se qui provoqua un jet de sang. Son sexe saignait également et ils ont du la porter dans une autre pièce, car elle était dans l’impossibilité de marcher toute seule.
Pendant tout ce temps on m’avait laissée tranquille, mais la séance de torture terminée j’ai vu trois hommes s’approcher de moi, un des trois hommes s’allongea sur le sol et me demandant de me mettre sur lui, son sexe de bonne taille me pénétra sans difficulté, et il commença ses vas et vient, le deuxième se mit devant ma tête et força ma bouche de son membre. Je suçais se sexe avec avidité, c’est alors que le troisième homme se plaça derrière moi et pénétra mes reins d’un seul coup. Je hurlais, mais rien n’y fait, ils continuaient tous les trois à me pénétrer de plus en plus fort. Comme si ils étaient programmés, ils éjaculèrent en même temps. Le liquide chaud inonda mon sexe, mon cul et ma bouche. Celui qui avait joui dans ma bouche, me bloqua la tête pour m’obliger à avaler. Il n’en finissait pas de se vider, et je commençais à étouffer.
Le ton était donné. Deux autres hommes toujours aussi bien monté s’approchèrent de moi, il me soulevèrent , mes jambes passant de chaque côté de son corps, son sexe dressé me pénétra de toute sa longueur, il attendit quelques instants pendant que son acolyte me pénétrait par derrière, lls commencèrent à me faire monter et descendre, déjà fortement excitée par l’opération précédente, j’ai joui je ne sais plus combien de fois, je leur demandait d’arrêter, mais rien à faire ils continuaient ce pour quoi ils étaient là, envoyés toutes ses femmes au 7eme ciel. Comme les trois autres avant ils éjaculèrent en même temps. Mon sexe et mon cul étaient en feu, et je me demandais combien de temps et surtout combien d’autres des étalons allaient me violer.
La réponse ne se fit pas attendre, on me porta sur la table, je sentis qu’on m’écartait les cuisses qu’on attachait mes pieds de chaque côté aux pieds de la table, mes fesses reposaient juste au bord de la table. Mon ami vint me dire « Tous les hommes présents te trouves très belle et désirable, et ils souhaitent tous t’honorer. »
Je fus prise de panique, et le viol collectif commença. Mon ami toujours à côte de moi décomptais chaque hommes du total restant 25 - 20 - 15 etc..
Certains me prenaient le sexe, d’autres me sodomisaient. Mon ventre et mes reins étaient rempli de sperme , et je suis tombée un court instant dans les pommes. Quand il m’annonça plus que cinq, il me dit que les derniers participants voulaient jouir dans ma bouche. Presque inconsciente, j’ouvrais machinalement la bouche et les uns derrière les autres, en m’écartant les lèvres de plus en plus, ils jouirent tous dans ma bouche et j’ai tout avalé.
Je me souviens qu’on m’a détachée, portée dans une salle de bain, et déposée dans une grande baignoire. Une femme que je n’avais pas encore vue, entrepris de me laver, et ensuite elle m’a fait un massage relaxant. Mon sexe et mon cul me faisait un peu mal, mais cette douleur était en fait une douleur douce. Je ne pensais pas qu’une femme puisse subir autant d’assauts. Mais le nombre de participants fait que la jouissance est multipliée à l’infini, et on joui sans discontinué, en souhaitant que ça ne s’arrête jamais.
Je retrouvais mon ami et notre hôte dans le salon devant le buffet, ils me félicitèrent pour mes performances, il me tendit une coupe de champagne en souhaitant me revoir lors d’une autre soirée. Je ne déclinais pas l’invitation et il en fût ravi.
Dans la voiture qui nous ramenait vers Paris, conduite par un des participants mâles de la soirée, je m’inquiétais pour ses femmes qui avaient subies toutes ses tortures. Il me dit que toutes ces femmes étaient toutes consentantes, qu’elles avaient toutes signée une décharge concernant les séquelles éventuelles provoquées par les supplices. Il me dit également qu’elles étaient restées toutes au château et prise en charge par un médecin et une infirmière. D’ailleurs pour toutes les participantes, ce n’étaient pas la première fois, qu’elles revenaient régulièrement une fois tous les deux mois, mais qu’elles ne savaient pas à l’avance par quels tourments elles seraient condamnées.
Tu sais, me dit ‘il les scenarii changent à chaque soirée. Tu veux que je te raconte la pire soirée à laquelle j’ai participé ? Et bien un jour ils avaient imaginés un tribunal inquisitoire. Ils avaient récréés une chambre des tortures comme au moyen âge.
Je me souviens d’une femme qui a été brulée avec des braises rouges sur les seins, une autre à qui on avait introduit une botte d’orties dans le vagin, une autre que l’on avait pendu par les pieds les jambes largement ouvertes et à qui on fait couler de la paraffine liquide directement dans le vagin. Une autre qui s'est fait foutée le sexe jusqu'au sang avec une ceinture de cuir., une autre a qui on avait placé entre les jambes un morceau de bois munis de clous qui lui entraient dans le sexe.
Je me demandais comment on pouvait en arrivez là, subir des choses abominables. En tout cas, pour moi il n’était pas question que je participe à pratiques, me faire sauter par cinquante types OK, mais la suspension par les seins ou autre chose, pas question.
Je lui demandais « les hommes, d’où viennent-ils », ils sont recrutés pour la plus part dans les salles de sports, et ils doivent régulièrement avant chaque séance, subir un teste HIV, c’est la raison pour laquelle, ils baisent les femmes sans protection.
Il me déposa devant ma porte, m’embrassa longuement, notre chauffeur nous regardais discrètement dans le rétro, en pensant à ce qu’il m’avait fait quelques heures plus tôt.Ce soir là je me suis endormie rassasiée d’amour.
Je suis retournée quelques fois à ces soirées, mais jamais on ne ma fait subir des tortures.
Par contre dans une de ces soirées, l’hôte des lieus et mon ami, après que je soit passée dans une bonne vingtaine de mains, m’ont fait l’amour ensemble. Cet homme d‘une élégance rare m’a baisée et mon ami sodomisée, leurs sexes étaient pratiquement tous les deux de même taille et c’est la première fois que je prenais deux sexes de tels dimension en même temps.
Je les entends encore dire ; « je pense que maintenant elle est prête pour nous recevoir tous les deux dans le vagin » et ils mirent tout en œuvre pour faire pénétrer leurs deux sexes dans le mien déjà fortement dilaté par les épreuves précédentes, ols réussirent après quelques efforts et une bonne dose de compréhension de la part. Je sentais leurs membres me perforer le vagin, ils tapaient au plus profond de moi. J'avais l'impresssion d'être ouverte en deux, Mon clotoris mis à dure épreuve frottait en permanence contre un des deux sexes et m'envoyait des décharges de plaisir qui ne finissaient jamais.
Je ne savais plus trop ou j’étais et je crois que j’aurais accepté n’importe quoi de leur part tellement j’étais dans un état second. Cela dura un bon moment et quand ils éjaculèrent ensemble, je me sentis complètement inondées de sperme, en grande quantité, Le liquide chaud n'en finissait pas de me remplir et je fus prise à ce moment là de longs gémissements qui se transformèrent en un cri, et j’ai joui comme jamais au paravent. Quand ils se sont retirés, j’ai évacuée un long jet de liquide qui a inondé le sexe de mes partenaires. Mon sexe était tellement tellement dilaté, que j'ai eu peur qu'il ne reste comme ça. Le sperme me coulait le long des jambes. je passais ma main dessus et la portant à ma bouche je dégustais avec un plaisir intense, le délicieux mélange de mes amants. Quand j'y repense il m'avait introduit dans mon vagin le maximum de sexe que je puisse recevoir. Je verais plus tard que je pouvais encore faire mieux.
Mon ami ne termina pas sa troisième année, rappelé par son père dans son pays d’origine pour occuper un poste à responsabilité au sein du gouvernement.
Nous avons continué pendant presque un an à communiquer, puis le l’ai perdue de vue. Des événements tragiques ayant eu lieu dans son pays, je sais pas si il est toujours en vie. Je pense toujours à lui avec regret, car il m’avait fait découvrir des plaisirs que je ne soupçonnais pas.
A la fin de ma cinquième année, j’ai reçue mon Diplôme National Supérieur d'Art Plastique.
A suivre
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
Pour des raisons de confidentialité des participants à mes soirées, les photos illustrants les articles de mon blog sont tirées d'Internet.
Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer mon nom "
Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon site " www.lolita-o.fr. "
Bonne lecture