MON JOURNAL INTIME

Voila 4 mois que ma galerie est ouverte et je n’ai malheureusement pas eu beaucoup de temps pour vous donner de mes nouvelles. La galerie marche à fond, la crise ne m’atteint pas, les œuvres d’art sont souvent des valeurs refuges. Il  faut dire que je fais tout pour cela, je donne beaucoup de ma personne  et ce n’est pas pour me déplaire.

A part les péripéties de notre DSK national que j’ai d’ailleurs vu un soir ou nous dinions dans le même restaurant italien le « Scatinella Ristorante » et la crise mondiale, pas grand-chose de nouveau sous le ciel de New York.

Nous avons décidé de nous accorder 15 jours de vacances, et comme David, notre ami de Saint Barth mettaient son bateau à notre disposition, nous n’avons pas hésité.  Bien sur Justine et Bruno étaient du voyage. J’allais retrouver  Joé et Barthémy, les deux étalons blacks au service de David et aussi de Johanna sa femme qui usait et abusait de ce que la nature les avaient particulièrement gâté.

Le 8 aout direction l’aéroport  pour prendre l’avion pour Saint Martin. Voyage sans problème. John ne refit pas le coup de baiser une hôtesse en plein vol. Arrivé à Saint Martin, nous primes le petit avion pour nous rendre à Saint Barth. David nous attendait ainsi que Joé qui conduisait un nouveau 4X4 flambant neuf  et encore plus grand que le précédent. et nous conduisit directement au port de Gustavia ou était encré son bateau.

Arrivé sur le bateau, nous avons été accueilli par le Commandant et l’équipage. J’ai reconnu certains d’entre eux. Il avait ajouté au personnel à notre service, la belle et douce Melissa, qui nous sauta au coup en guise de bien venu. Nos vacances se présentaient sous les meilleurs hospices.

Il était 17 heures, David nous annonça qu’il avait tout prévu pour ce soir, qu’il remontait à la villa, et reviendrait avec sa femme Johanna et Barthemy. Nous avons pris chacun nos cabines, Je pris l’initiative de proposer de prendre un bain relaxant dans le jacuzzi. Proposition adopté à l’unanimité et nous nous sommes retrouvé tous les quatre dans ce bain à remous, pour une séance de relaxation faites de fellations et de baises.

A 20 heures, David nous rejoignis, Nous retrouvions Johanna, toujours aussi belle avec ses 50 ans passés. Vêtue d’un simple paréo attaché au dessus de ses seins, elle était magnifique. Je m’approchais d’elle et lui glissais à l’oreille « Toujours nue sous tes vêtements ? » En guise de réponse, et pas gênée des regards de l’équipage sur elle, elle ouvrit son paréo laissant apparaître son pubis complètement épilé. Elle n’avait pas changé. Un buffet avait été dressé sur le pont arrière et nous avons diné comme à l’habitude de langoustes grillées, de fruits de mer en tous genres et de fruits exotiques. Comme à Saint Tropez, les touristes se promenant sur le port prenaient des photos de notre petite fête.

Après le diner, David nous demanda ce que nous voulions faire, nous n’avions pas une idée précise, alors il prit les devants et nous dit : « J’avais prévu une petite soirée spéciale ». John lui demandât : « En quoi elle consiste ta petite soirée spéciale ? David nous regardât tous en nous dit : «  J’ai pensé faire honneur aux trois femmes qui sont avec nous ce soir, que diriez vous d’un challenge ? » John insista « Quel chalenge » David faisait durer le suspense, puis il se décida : «  Voilà, comme nos femmes respectives aiment le sexe sous toutes ses formes, j’ai invité quelques hommes qui vont toutes les honorées. Celle qui aura eu le plus de rapports quels qu’ils soient gagnera le challenge. Je promets une très belle récompense à la gagnante.

Il avait tout prévu le salaud, Je demandais : « ils sont combien ?» David me regarda et dit : «  j’ai pensé que 30 hommes pour vous trois serait le bon chiffre, sans compter qu’ils vont changer de partenaires, si vous avez la santé, faites le calcul vous-même, sans oublié que nous sommes également de la fête avec Joé et Barthémy ». Nous nous sommes regardés, John avait les yeux qui brillaient, Justine visiblement était partante tant que Johanna, visiblement pas au courant des projets de son mari était prête pour la soirée.

Un début de vacances comme je les aime.

David s’éloigna à l’intérieur du bateau, prit son téléphone et dix minutes plus tard un groupe d’hommes montaient à bord. En majorité black, il y avait aussi des blancs et quelques asiatiques, ils étaient tous vêtus d’un pantalon blanc, le torse nu. Une belle brochette d’hommes prêts à nous sauter toutes les trois.

Les présentations faites on nous a servit des coupes de champagne, les groupes se formaient, chacune d’entre nous choisissait ses étalons. Pour ma part j’avais repéré quatre blacks spécialement beaux. Je regardais Justine qui louchait également sur eux. De toute façon, ça n’avait pas d’importance puisque ils nous sauteraient pratiquement tous.

John me prit par le bras en m’entraina dans le grand salon suivit par Justine, Johanna et toute la meute. Les rideaux avaient été tirés, pour éviter aux touristes curieux de voir nos ébats.  Les hommes quittèrent leurs vêtements, et je constatais qu’il y avait des spécimens très intéressant dans le lot.

John s’approcha de moi, il fit passer ma robe par-dessus la tête, imité par Bruno pour Justine et David pour Johanna. Totalement nues ils nous on présentés  en disant, « Messieurs elles sont à vous, ne les ménager pas, elles acceptent tout de vous, une seule contrainte toutes pénétrations devront être protégés à l’exception des fellations, vous avez à votre disposition le salon et le jacuzzi, maintenant la soirée vous appartient, faites les jouir le plus possible».

Aussitôt un des participants s’approcha de moi, blond, les yeux d’un bleu profond, bronzé il me rappelait mes compatriotes suédois. Il me prit par les épaules m’obligeant à me mettre à genoux. Ma bouche à la hauteur de son sexe en demi érection, je m’empressais de l’engloutir. Il prit rapidement des proportions intéressantes, pas très long, mais très épais, il me forçait la bouche jusqu’à toucher ses bourses avec mes lèvres. Pendant ce temps là, je sentais des mains se promener sur mon corps, mes seins, mon sexe, mon anus.

Il me fit tourner la tête et je me retrouvais avec un autre sexe totalement en érection, un beau sexe d’ébène, je le prenais dans ma bouche tout en masturbant mon premier amant d’un soir. Trouvant que j’avais une autre main de libre un troisième me prit la main pour que le masturbe aussi. Puis j’allais d’un sexe à l’autre, les avalants tour à tour. A quatre pattes comme j’étais je sentis une main s’insinuer profondément dans ma chatte, puis un sexe se présenter et me pénétrer d’une seule poussée. Surprise, je serrais un peu la bouche sur le sexe qui remplissait ma bouche ce qui a eu pour effet de le faire jouir, Je dégustais le sperme épais et chaud qui coulait dans ma bouche.

L’homme qui me baisait me fit basculer en arrière, et je me retrouvais le dos sur la poitrine de mon assaillant, il dégageât son sexe du mien pour aussitôt le présenter à l’entrée de mon anus, après une hésitation, il trouva son chemin tout seul. Je sentais ses testicules battent mes fesses. Dans cette position ma chatte se présentait largement ouverte et prête à recevoir un autre sexe. Ce fut un des Black que j’avais remarqué qui se plaça entre mes jambes Son sexe en parfaite érection était de la même taille que celui de Joé. Il poussa doucement jusqu’à toucher le fond de mon vagin, mes deux orifices bien rempli, ma bouche était disponible et un autre homme en profitant immédiatement. Ils jouirent presque en même temps, provoquant un orgasme plus qu’humide.

Pendant ce temps là Johanna se faisait enculer en règle par un énorme Black pendant qu’elle suçait un asiatique au sexe démesuré pour un homme de cette race. Tant qu’à Justine elle était dans la même position de moi, avec un plus un sexe dans chaque main, elle a toujours été très gourmande.

Les hommes se succédèrent les uns derrière les autres, nous n’avions aucun répits. Mélissa comptabilisait les partenaires de chacune d’entre nous, elle s’était mise dans le plus simple appareil, cette fille est vraiment sublime. Je ne comptais pas, j’en étais incapable. Mais pour gagner ce chalenge je demandais à mes partenaires d’être le plus nombreux possible en moi. Ils ne ce sont fait prier. Enculée, ils réussirent à faire pénétrer dans mon vagin deux sexes en même temps, je ne pensais pas être capable de ça. Mon ventre recevait trois sexes de bonnes tailles en même temps. Un quatrième dans la bouche, je ne pouvais en recevoir plus.

Ca donna des idées à Justine qui, choisit-elle l’inverse, un dans sa chatte et deux dans l’anus, dilaté au maximum ses orifices semblait explosés sous les assauts. Elle gémissait heureuse de jouir pratiquement sans arrêt.

John me regardait, il semblait jouir de cette situation, visiblement heureux de me voir avoir orgasmes sur orgasmes. J’ai connu des soirées de baise intense, mais là, les pénétrations permanentes de tous ces hommes, faisait que jamais je n’avais connu une telle jouissance.

La soirée continua jusqu’à 4 heures du matin. Combien d’hommes m’avaient honoré, je ne le savais pas. Seule Melissa connaissait la réponse. Mon sexe et mon cul me faisait un peu mal, mes lèvres intimes étaient gonflées et mon clitoris avait pris des proportions que ne lui connaissait pas.

Comme en plus nos compagnons nous ont aussi baisés, qui avait gagné ?

Melissa s’isola avec David pour comptabiliser et revint avec le résultat. David annonça :

« 3  ème Johanna 22 avec pénétrations avec éjaculation »

« ex quo Justine et Lolita avec 33 pénétrations avec éjaculation »

« Deux solutions : ou elles continuent pendant 30 minutes soit elles sont déclarées gagnantes toutes les deux » .

Nous nous sommes regardées avec Justine, mais réellement le cœur n’y était plus. Et visiblement les hommes non plus. Alors nous avons gagnées toutes les deux. David repris la parole et dit « Je n’avais pas prévu ce cas d’espèces, vous aurez votre cadeau plus tard. »

Les hommes partis, nous nous sommes retrouvés tous les six et avons décidé de nous glisser dans le jacuzzi pour récupérer de cette soirée plus que mouvementée. J’ai eu droit par John à un lèche-minou en règle pour apaiser les légères douleurs imité aussitôt par Bruno et David.

Le lendemain, David et  Johanna retournèrent à leur villa, et le Commandant nous proposa de partir faire un périple autour des iles de qui entourent l’ile de Saint Barthelemy. Direction en premier l’île Fourchue. Après les manœuvres  pour sortir du port (pas évidentes pour un bateau de 35 m) et sous un soleil et une mer d’huile, nous voila parti pour une tour des iles.

La vie à bord s’organisa. Le personnel était à nos petits soins et Mélissa organisait tout cela avec professionnalisme. Accoudé à la rambarde, j’admirais cette mer des caraïbes quand je sentis dans mon dos une main parcourir le haut de mes fesses. Je ne me retournais pas et laissait faire. Je portais un paréo noué à la taille, les seins nus. La main continua ses caresses jusqu’à venir dans mon entre-jambes, j’écartais légèrement mes jambes et me penchais en avant. L’inconnu défit mon paréo, une boule chaude s’insinua doucement jusqu’à toucher  mon sexe, et tout doucement il me pénétra. Je reconnu instantanément Joé et sa matraque d’ébène.

Complètement penchée en avant, il pénétrait de plus en plus loin jusqu’à toucher le fond de mon vagin. Quel pied d’être baisée par un sexe pareil. En long va et vient il m’envoyait des décharges de plaisirs. En tournant la tête, je remarquais un des membres du personnel, un jeune mousse qui regardait la scène les yeux hors de la tête, une boule commençait à grossir dans son short. Je continuais à le regarder pendant que Joé continuait à me dilater le vagin puis vint le moment ou ne pouvant plus se retenir il éjaculat en long jets violents.

Le gamin était écarlate, j’attendis que Joé est fini de se vider de son précieux nectar, et d’un mouvement de tête, j’invitais le jeune mousse à nous rejoindre, il ne se fit pas prier. Gardant la même position, il se  plaça derrière moi, défit son short et présentant son sexe à l’entrée de mon vagin, il s’enfonça d’une poussée. Mon sexe largement rempli du sperme de Joé ne le dérangeait pas, mais je voulais autre chose. Joé compris tout de suite et dit à l’oreille du gamin : « Plus haut encule-la ». Il se dégageât et trouvant l’orifice le plus étroit de ma personne et m’encula d’un trait. Ses mains sur mes seins il me pinçait les bouts jusqu’à me faire mal, mais je le laissais faire trop heureuse de donner à ce môme ce plaisir. Il ne put se retenir longtemps et je sentis son sperme m’inonder. Me retournant vers lui, je lui donnais un baiser sur la bouche, il était rouge comme une tomate bien mûre. Il partit en courant tout en remontant son short. Il ne me restait plus qu’à prendre une douche, je dégoulinais littéralement. 

Dans ma cabine, je retrouvais John nu sur le lit, en pleine sieste, je pouvant me retenir de lui raconter ce qui m’était arrivé, je le réveillais par une fellation en règle. Il fallait bien qu’après ma chatte et mon cul je remplisse ma bouche, ce qui arriva rapidement. Je disais à John, : «  je viens de me faire baiser par Joé et un jeune mouse sur le pont du bateau ». John me regarda et répondit aussitôt : « je sais comme tu aimes son sexe, c’est moi qui lui ai dit de te baiser,  mais je te signale que tout l’équipage était au courant, qu’il t’a vu et ils ont ordres que si tu te retrouves seule dans un coin du bateau de te violer. Alors maintenant tu es prévenue. ». 

« Salaud, tu n’a pas fait ça, tu te rends compte que maintenant je risque de me faire baiser à n’importe quel moment, merci mon chéri, je sens que cette croisière va être mémorable ». John ajouta : « Ne dis rien à Justine en accord avec Bruno, j’ai fait la même chose  et comme ça vous aurez quelque chose à nous raconter ».

Une heure plus tard, je croisais Justine dans une coursive, « Alors bonne journée lui dis-ai-je. » Justine me regarda et me dit : «  Il faut que je raconte ce qui vient de m’arriver. » Je lui répondais avant qu’elle ne commence son récit : « Je sais tu viens de te faire violer par un membre de l’équipage ». Surprise elle me dit : » Comment tu le sais, oui c’est ça, je descendais du pont avant ou je venais de prendre un bain de soleil pour rejoindre Bruno dans ma cabine quand un grand Black m’a barré le chemin,  il tira sur ma serviette, me plaqua contre la cloison, il passa sa main sous ma cuisse, leva ma jambe et sans que j’ai pu faire un geste, il était en moi. Ma première réaction fut de résister, mais le salaud était monté comme un âne et je ressentais déjà le plaisir monté en moi. Enfin de compte, ça été merveilleux. Il faut quand même que j’en parle à John et Bruno ».

Je la regardais en souriant et lui dis : « Ce n’est pas la peine ils sont au courant, c’est eux qui on imaginés ce scenario,  à tout moment sur le bateau tu peux te faire baiser par un des membres de l’équipage, je viens d’y passer, Joé d’abord qui m’a baisée et un jeune mousse ensuite qui m’a enculée, ils m’ont fait prendre un pied énorme. » Justine médusée par ma déclaration finit par me dire : « Bon et bien voilà une croisière qui s’annonce bien » je lui répondais : « C’est exactement ce que je me suis dis ».

 

 

La fin de soirée c’est passée comme à notre habitude, un bon repas, du champagne, et une bonne partie de baise pour finir. Sur le pont arrière ou nous étions installés, on devait nous voir depuis la passerelle supérieure, et certainement nous avons donné des idées aux membres de l’équipage, d’autant plus que Melissa avait participée à notre petite « sauterie ».

Le lendemain matin, vers onze heures, je quittais ma cabine, John dormait encore. Je retrouvais dans la coursive Mélissa en pleine forme. Elle me confia à l’oreille que les matelots avaient imaginés un plan pour nous surprendre dans la journée. Je verrais bien le moment venu de quoi il s’agissait. Je continuais jusqu’au jacuzzi installé à l’avant du bateau à côté de la plage bain de soleil. Je me déshabillais entièrement et plongeais dans l’eau bouillante. J’admirais la rade de l’ile Fourchue, beaucoup de bateaux de toutes sortes y étaient amarrés. 

Plongées dans mes pensées, je n’entendis pas venir derrière moi  deux matelots. Une paire de mains se posèrent sur mes seins. Surprise, je me retournais et reconnaissais les deux asiatiques, ils devaient être jumeaux car ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Avant même que je n’ai eu le temps de réagir, ils m’avaient rejoint dans l’eau, Un s’assit sur le rebord du jacuzzi et me présentait un sexe presqu’en érection, je le prenais dans ma main et le masturbât jusqu’à obtenir une raideur et je l’avalais avec ravissement. Le deuxième se plaça devant moi, m’écartât les jambes, présentât son sexe devant le mien et d’un poussée entrât jusqu’à la garde. J’avoue que pour des asiatiques ils étaient bien montés, pas très longs mais très épais, avec un gland gros comme une grosse mandarine.

Je commençais à succomber devant leurs assauts quand tournant la tête vers le bateau amarré à quelques encablures, je constatais que nous étions observés à la jumelle par un de ses occupants, un homme aux cheveux gris, une femme se tenait à ses côtés. Ils se passaient les jumelles pour mieux  voir me faire baiser. La femme s’agenouilla, fit descendre le slip de bain de l’homme et avalât son sexe déjà en érection. Au moins le spectacle que j’offrais faisait plaisir à ce public improvisé. Le sexe que j’avais dans la bouche se retirât, On me mit en levrette à côté du Jacuzzi, j’avais un asiatique au dessous dans mon ventre et l’autre derrière pénétrât mon cul brutalement ils commencèrent leurs vas et vient, entrant de plus en plus au plus profond de moi. Ils firent durer le plaisir un très long moment, puis je sentis soudainement le liquide chaud de leur sperme m’envahir. Ils n’en finissaient pas de se vider. Et aussi vite qu’ils étaient venus me surprendre, ils  disparurent dans la bateau. Je regardais du côté du bateau ou la femme terminait la fellation, l’homme éjaculant sur son visage et dans sa bouche.

Ils me firent un geste, le pouce levé en signe de satisfaction. Je me disais qu’on pourrait les inviter ce soir à diner, la soirée pourrait-être sympa. Revenu de mes émotions, je restais dans l’eau tiède, quand Justine fit son apparition, retirant sont string de bain, elle s’assit à côté de moi. Je lui racontais ce que je venais de vivre, elle s’amusa de ma description de mes ébats, et de la présence du couple du bateau quand un bruit de moteur tira notre attention. C’était l’annexe du bateau qui venait vers nous, à son bord, l’homme aux cheveux gris. Il accostât à l’arrière, aidé par un matelot, puis se dirigea à l’intérieur. D’où nous étions, nous ne savions pas ou il allait, alors sortant de l’eau et dans le plus simple appareil, m’ayant vu nue en train de baiser, je ne voyais pas la nécessité de me rhabiller nous sommes descendu au salon. Je trouvais John en discussion avec cet inconnu. John nous regarda avec surprise de nous voire totalement nues devant cet inconnu, mais nous connaissant revenu de sa surprise, il nous dit : « Monsieur est le propriétaire du bateau qui est à côté du notre, et il nous invite ce soir à diner ». J’ignorais s’il avait mis au courant John de ce qu’il avait vu de son bateau. J’acceptais cette invitation imité immédiatement par Justine.

L’homme s’approcha nous fit un baise main et se présentât. Il nous a dit s’appeler Carlos ….., et qu’il était Argentin. Cet homme dégageait une force intérieure, et un certain malaise. Il était très grand, devait avoir une bonne soixantaine d’années. Bronzé, les cheveux gris assez longs, les yeux d’un bleu profond, il paraissait sur de lui. Je lui demandais : « Vous êtes combien sur votre bateau ? » il me regarda droit dans les yeux et répondit : « six, ma femme, un couple d’amis et deux amis célibataires ». Je voyais déjà comment allait se passer la soirée après le diner. Il se retirât en nous faisant un compliment sur notre plastique, après qu’on ait convenu de se rendre sur son bateau à 20 heures.

Je faisais part à John de ce qu’il m’était arrivé, il me dit qu’il savait car il avait vu toute la scène depuis la passerelle en compagnie du Commandant. Par contre il n’était pas au courant pour les « voyeurs » du bateau. Je lui disais également que cet homme me mettait mal à l’aise. « Tu te fais des idées me dit-il, moi je n’ai rien constaté, et toi Justine ? » « Non rien de spécial, il est très beau malgré son âge et je suis  sur qu’il doit être un bon coup.

L’après midi se poursuivi en bains de soleil améliorés. A dix neuf heures je descendis dans notre cabine pour me préparer pour la soirée. Je choisissais une robe courte en mousseline parme, tenue par deux fines bretelles. Pour ce qui est des sous-vêtements, inutiles dans parler.

A vingt heures, l’annexe de nos hôtes se présentât et nous avons embarqués pour cette soirée. Leur bateau était plus petit que celui de David, mais fait pour la vitesse et luxueusement aménagé. Il battait pavillon Panaméen et il s’appelait  « Gloria II ». Carlos nous accueilli, nous présenta sa femme, une fausse blonde aux seins visiblement refaits, avec des lèvres gonflés au « Botox », elle devait avoir une cinquantaine d’année, puis vint le tour du couple. Plus jeunes, lui brun plutôt bien foutu, elle une petite brune très mignonne avec des yeux coquins et les deux célibataires qui me donnèrent immédiatement la certitude d’être en fait un couple homo.

Installé au salon, une fille vint nous servir du champagne. Elle portait un chemisier blanc, presque transparent et une jupe très courte qui, quand elle se penchait faisait apparaître un string blanc. Je remarquais alors qu’elle servait penché en avant notre hôte, des traces fines et brunâtres sur ses fesses. Je regardais John, visiblement il avait vu la même chose que moi. Décidemment ma première impression se confirmait, je n’étais pas à l’aise devant ces gens là.

Puis vint le diner servit par la même fille. Un excellent repas qui me fit dire que je me faisais des idées. Le repas terminé, nous sommes retournés au salon ou après le café, on nous servit des alcools. J’optais pour du champagne, ne voulant pas mélanger les alcools imité par Justine, tant qu’à John et Bruno, ils choisirent un Whiskey 50 ans d’âge. Et la soirée continua sans qu’il ne se passe rien. Au bout d’une heure, quelques coupes de champagne et de verres de Whiskey, je me sentais un peu lasse, je regardais John, Bruno et Justine qui eux non plus n’étaient pas en grande forme, Que se passait-il ? Et puis plus rien, le trou noir.

Quand je me suis réveillée, J’ai eu du mal à croire ce que je voyais, John et Bruno étaient entravés aux niveaux des bras. Une barre fixée au chevilles leur écartait les jambes un bâillon sur la bouche, ils étaient en levrette, avec derrière eux les deux types qui les enculaient sauvagement. Pour ma part, j’étais sur un lit, les bras et les jambes en croix maintenus par des menottes aux quatre coins du lit. Carlos sur moi qui me baisait avec une force extrême, faisant entrer son sexe jusqu’à taper au fond de mon vagin, ce qui à chaque coups me faisait terriblement mal. Justine était attachée debout les bras en l’air au plafond, et la femme du couple la fouettait avec violence avec une sangle en cuir. Elle avait fixé sur son clitoris un sex toys vibrant qui la faisait terriblement souffrir tant les vibrations étaient fortes. Pour compléter le tableau, la femme de Carlos se faisait enculer par l’homme du couple. Elle avait au bout des seins des pinces  d’où pendaient des poids qui lui étiraient de quelques centimètres le bout des seins. Je constatais que la petite bonne qui nous avait servit le repas, était entièrement nue, les seins ficelés, les mains liées derrière le dos, assise sur un tabouret avec en son centre un monstrueux gode, qui lui perforait les reins. Ses pieds ne touchant par terre et elle descendait de plus en plus sur l’engin de torture largement lubrifié.

Nous étions chez des fous pervers. Comment allions nous nous sortir de cette situation ?  Cette séance continua  avec des échanges de partenaires, j’ai eu droit à deux sexes dans le  vagin, puis deux dans le cul, des pinces sur les seins qui me firent un mal de chien. Tout le monde y passa. Justine s’est retrouvée à genoux la bouche ouverte maintenu par un écarteur et la femme de Carlos son sexe au dessus de la bouche de Justine se soulageant de tout ce qu’elle avait bu dans la soirée. C’était l’horreur, puis tout s’arrêtât, ils nous portèrent dans leur annexe, Ils nous déposèrent sur le bain de soleil à l’arrière du bateau, toujours entravés et bâillonnés, puis l’annexe repartit et dix minutes plus tard leur bateau quittait son mouillage et filait vers le large.

Nous ne pouvions pas appeler ni nous détacher. Au bout d’un moment, John revenait doucement à lui il me regarda les yeux remplis de larmes. Puis il se tourna péniblement  les pieds vers la coque et frappa de toutes ses forces, imité par Bruno. Les coups finirent par réveiller un membre de l’équipage qui vint nous délivrer. John alla voir le commandant, ils décidèrent par radio de prévenir les autorités de ce qui était arrivé. Pour terminer cet épisode, nous avons apprit quatre jours plus tard qu’ils avaient été arrêté à Puerto Rico dans le port de San Juan alors qu’ils s’apprêtaient à renouveler une autre soirée avec des touristes rencontrés le jour même. John téléphona à son avocat à New York pour qu’il s’occupe de cette affaire.

Nous sommes revenus à Saint Barth le 19 aout pour fêter avec tous nos amis notre premier anniversaire de mariage. David avait tout prévu, ce fut une fête magnifique autour de la piscine et dans les salons, sans ouragan comme l’année précédente. La nuit fut torride, quelques amis proches restèrent avec nous et nous avons pu comparer les compétences sexuelles de tous les hommes encore présents.

Les derniers jours se passèrent sur le bateau car David et sa femme avaient des invités à la villa. Justine et moi avons continuées d’être surprises sur le bateau par les membres de l’équipage. Je crois que je connais le bateau dans ses moindres recoins. Ils m’ont baisé dans la cuisine, dans la cale, dans la passerelle, dans leur cabine commune ou la j’ai eu droit à une  très longue partie de baise par tous les matelots. Quel pied !! De son côté John et Bruno s’amusèrent avec Melissa qui ne demandait que cela, tant qu’à Justine, elle subit le même sort que moi. Je crois que l’équipage se souviendra longtemps de notre présence sur l' Helios.

Le 28 aout nous reprenions l’avion pour New York ou je retrouvais ma galerie, nos amis, en pensant déjà aux soirées que nous pourrions imaginer pour agrémenter les soirées de l’hiver New Yorkais.

 

A suivre