Chapitre 17 - Ma première journée à New York

New York 25 septembre 2010


Je retrouve mon mari après quelques péripéties au départ de Roissy. Ca devient une habitude.

John m’attendait à l’aéroport, les formalités faites, nous sommes descendu au parking ou nous attendait un limousine. John me présentât le chauffeur dénommé Holden et qui est à son service.  Une fois dans la voiture aux vitres tintées, et la vitre de séparation du poste de conduite remontée,  je me précipitais sur John en l’embrassant longuement.   Sa main vint se glisser entre mes cuisses et trouva sans obstacle mon sexe déjà humide de désir. Il dégageât le haut de ma robe libérant mes seins libres de tout soutien. Cela faisait presque trois semaines d’abstinence, et je ne suis pas habituée à cela. Je descendais à mon tour ma main sur sa braguette, je l’ouvrais et découvrais son sexe déjà en grande forme. Ni tenant plus je m’allongeais sur la banquette les jambes largement ouvertes et pris le membre tendu dans ma bouche. Je l’avalais sur toute sa longueur, en le branlant de plus en plus vite, à ce rythme il ne résista pas longtemps, et je reçu son sperme chaud dans le fond de ma gorge.


En me retournant vers l’avant de la voiture, j’ai eu un moment d’émoi, la vitre de séparation était baissée. Je m’insurgeais et demandais à John, pourquoi il avait fait redescendre cette vitre opaque. Il eu cette réponse étonnante : « Il faut bien que mon personnel  fasse ta connaissance  aussi ». De là ou était le chauffeur, il avait eu une vue imprenable sur mes seins et mon ventre offert.  Après tout, si ça lui a fait plaisir, moi ça ne m’a pas fait de mal. Il aura pour la nuit prochaine un motif de masturbation.

Hotel John New York


Le jour de mon arrivée, John me fit visiter sa maison. Elle est située dans un quartier calme de New York. Elle comporte 3 niveaux. Il y a comme personnel, une femme de chambre noire répondant au prénom d’Angela et évidement assez jolie, et une cuisinière, une femme d’une soixantaine d’années. Connaissant bien John,  je ne pourrais croire qu’il ne s’entoure pas, même dans sa vie quotidienne de femmes qui ne soient pas belles. 


On pénètre dans cette maison, comme beaucoup de maison américaine,  par un escalier donnant sur la rue. La porte passée, on découvre un hall d’entrée avec en face un grand escalier donnant au premier étage, à gauche de l’escalier, se trouve une immense salle à manger ou sont attenantes la cuisines et les offices. A droite de l’escalier un premier salon composé de meubles contemporains le tout de couleur blanc. Puis un deuxième salon équipé comme une salle de cinéma, avec les immenses canapés et au sol une moquette blanche très épaisse. Derrière l’escalier,  son bureau, et attenant à celui-ci, un autre bureau occupé en partie par son assistante. je voudrais bien voire la tête qu’elle a son assistante.


En haut de l’escalier, 4 chambres dont celle de John, toutes avec salles de bains. Un autre escalier monte au deuxième étage ou se trouve, une autre chambre immense avec quatre très grands lits et  dans le fond une salle de bain sans paroi ou trônait en son centre un jacuzzi  ou on devait pouvoir tenir à huit. Je demandais à John : « c’est là que tu organises tes partouzes ? » En souriant il me dit : « comment tu as devinée ». Bien puisque c’est là qu’on baise, je veux essayer cet endroit tout de suite et puis j’ai trop envie de toi ». Chose dite chose faite, je quittais rapidement ma robe, et poussant John sur le lit j’entrepris de le déshabiller.


Il m’arrêtât et décrochant le téléphone il demanda à Angela de venir faire couler l’eau dans le jacuzzi. C’est une fois nu tout les deux, qu’Angela fit son apparition, elle fit couler l’eau en n’oubliant pas les sels parfumés et ressortis sans dire un mot, mais en me jetant un regard complice.


Je plongeais sur le sexe de John, l’avalant, le léchant sur toute sa longueur, aspirait ses testicules, puis recommençait en m’enfonçant son sexe dans le fond de ma gorge. J’entrais dans ce bain parfumé suivi de John dans une forme éblouissante. Il se plaça entre mes jambes et me pénétrât d’un coup. En longs vas et vient qui déclenchaient chez  moi des longs gémissements de plaisir. Déjà vidé par ma fellation dans la voiture, il fit durer le plaisir un bon moment, et puis il éjacula, je sentais au fond de mon vagin le liquide chaud, et un orgasme me fit presque  coulé au fond du jacuzzi.


Je me sentais bien, j’étais heureuse, avec ce mari que j’aime. Une fois séchée, il me proposa de découvrir le reste de la maison. Habillés de peignoirs de bains, je suivais John jusqu’à une porte d’ascenseur qui nous emmenât au niveau le plus bas, mais en fait est un rez de Jardin, et là stupeur, une piscine, entourées de colonnes  qui donnait directement sur un jardin d’hiver recouvert d’une toiture en verre. La piscine était à moitié à l’intérieur de la maison et pour moitié à l’extérieur, ce qui permettait de nager en toutes saisons  dans un jardin exotiques. Sur un des côtés, le mur était recouvert de rochers et une cascade  jaillissait de la hauteur du plafond. Une petite plage de sable blanc planté de palmiers rappelait les caraïbes. Une chaleur humide régnait dans cette serre. Des oiseaux de toutes couleurs venaient terminer ce décor féérique. Attenante à cette piscine, l'inévitable salle de sport avec sauna.  Le rêve, il n’y a qu’ici que l’on peut voire des réalisations pareils.GRIMAUD-Achat-propriete-de-prestige-A-environ-15-km-du-vill.jpg


Débarrassée de mon peignoir, je plongeais dans l'eau, elle était chaude, suivi par John, quel  pied,. Une fois dans l'eau on avait l'impression de nager dans un lagon, l'eau avait la couleur des mers su sud, c'était du à son revêtement blanc nacré.


C’est le luxe mais sans être ostentatoire. A ce moment là je pensais à Max resté à Lyon et qui avait tout organisé pour me faire connaître de John. Je pense que je lui serais toute ma vie durant reconnaissante de ce qu’il avait fait pour moi.


Voilà le récit de ma  première journée de vie américaine.

 

A suivre

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