New York le 18 décembre
C’est aujourd'hui que Justine nous rejoint à New York. Nous l’avons accueillit à l’aéroport, ou une surprise l’attendait, John avait fait venir de Saint Barth, Bruno ainsi que Melissa et Joé.
Telle fut pas sa surprise de retrouvé tout ce petit monde, elle était radieuse. Après avoir récupéré ses bagages, Holden qui nous attendait dans le parking, nous ramena à l’hôtel particulier, il n’arrêtait pas de regarder Justine et Mélissa dans son rétro.
Nous avons fait visiter les lieux, elle était extasiée par leur beauté, mais c’est quand elle à découvert le jardin d’hiver et la piscine, qu’elle s’est mise pratiquement à pleurer. Je l’ai prise dans mes bras en lui disant : « c’est là que tu vas vivre maintenant, tu es contente ? » Elle m’embrassât en pleurant de joie.
Je lui disais alors « maintenant si tu veux te reposer, je vais te montrer ta chambre » Elle était située au premier étage juste à côté de la notre, vaste avec un lit immense, une salle de bain digne d’un 5 étoiles et une vue sur le jardin d’hiver et la piscine. Elle accepta sans oublier de demander à Bruno de la rejoindre.
Je montrais la chambre à Mélissa et Joé, et m’excusant, en riant, de les loger tous les deux dans la même chambre et surtout dans le même lit. Mélissa me dit alors que ça ferais moins loin pour le rejoindre. Ils n’avaient pas changé ces deux là.
A 19 heures je frappais à la porte de Justine, entrait je les trouvais tout les deux enlacés, en plein sommeil, pas sûr qu’ils aient beaucoup dormi. Je réveillais doucement Justine en lui disant qu’ils se préparent pour 20 heures, John ayant réservé une table dans notre restaurant favori.
A 20 heures nous nous sommes retrouvés tous dans le hall, Holden nous emmena au restaurant. Après un repas succulent, John demanda à Justine que si elle n’était pas trop fatiguée, d’aller dans un club privé pour terminer cette soirée. Je connaissais bien ce club pour y être allé un bon nombre de fois avec John. Uniquement réservé aux membres triés sur le volet, il consistait en de petites salles très intimes, avec des éclairages tamisés, enfin un univers prétexte aux ébats amoureux en tous genres.
Il y avait également une sorte de théâtre ou certains pouvait s’exhiber en toute liberté devant un public qui dirigeait les acteurs suivant le jeux « Actions- Vérité » . Après nous êtes installés dans un de ces salons, une serveuse habillée uniquement d’un simple petit tablier banc, nous apportât du champagne. Mélissa et Joé regardaient les lieux avec des yeux d’enfants découvrant la maison du Père Noël. Je leur disais qu’ils étaient libre de faire ce qu’ils voulaient et les encourageais à visiter tous les recoins de ce club, ou ils trouveront certainement à s’occuper. Ce qu’ils firent immédiatement.
De notre côté, John et Bruno s’étaient rapprochés de nous. Dans la pénombre de ce salon, j’ai senti la main de Bruno venir s’infiltrer sous ma robe, je l’encourageais en ouvrant les cuisses. Sa main caressait maintenant mon sexe, je m’allongeais sur la banquette, ouvrait sa braguette et sortait son sexe déjà en érection, je le prenais dans ma bouche et commençait une fellation longue et très profonde. Il avait toujours une résistance à la jouissance et il a fallu que j’emploi les grands moyens pour recevoir au fond de ma gorge le nectar précieux que j’aimais de plus en plus.
De son côté John avait pratiquement déshabillée Justine. Je regardais ses seins que je n’avais pas vu depuis plusieurs mois, en me disant que cette fille était vraiment très belle et que j’avais eu de la chance de tomber sur elle. Elle avait les mêmes goûts que moi, aimait autant les Hommes que les Femmes, aimait les soirées Gang Bang, ne refusait jamais une nouvelle expérience. Elle allait même plus loin que moi dans les expériences ce qui me faisait peur quelques fois.
John la tête antre les cuisse de Justine lui léchait, suçait, mordillait son clitoris ce qui provoquais chez Justine des râles de plaisir. Je les regardais tous les deux, de temps en temps Justine me regardait les yeux dans le vague, ce qui laissait paraître le plaisir qu’elle tirait de la langue de John posé depuis plus d’un quart d’heure sur son sexe.
Ni tenant plus elle se dégageât, s’allongeât sur le canapé, ouvrit largement les jambes et invita John à la pénétrer de plus sauvagement possible. Ce qu’il fit, dans une forme éblouissante, il approcha sn sexe du sien et la pénétrât jusqu’au fond en une seule fois. Elle émit un gémissement et avançant ses reins elle cherchait à s’enfoncer le sexe de John le plus loin possible dans son vagin. John le pilonnait de toutes ses forces. Nous regardions avec Bruno ce spectacle, émus du plaisir que Justine ressentait.
Il faut dire que depuis que je l’avais quittée début septembre à Saint Barth et qu’elle avait rejoint Lyon, à part quelques soirées chez Max, elle avait été sevrée de sexe depuis trois mois, et pour Justine, comme pour moi, trois mois sans baiser c’est long. Bruno remis en forme me baisait comme un dieu. C’est à ce moment là que Joé réapparut dans le salon l’air penaud, je lui demandais, "alors tu as trouvé chaussures à ton pied", Il nous dit : « quand j’ai sorti mon sexe, aucune femme n’a voulu faire l’amour avec moi ». Pauvre Joé, il paye cher la dimension exceptionnelle de son sexe. « Allez vient là, moi j’aime » Il ne fit pas prié, Bruno s’allongea sur le dos, me pénétra les reins, et Joé se présentant devant moi, me pénétrât pratiquement en une seule fois. Je soufflais, j’avais oublié ce que ça faisait d’être baisée par un sexe de cette dimension.
Me martelant tous les deux, je ne tardais pas à avoir orgasmes sur orgasmes. Ils firent durer le plaisir un long moment ils finirent par éjaculer tous les deux. Je sentais le sperme de Bruno m’inonder le sexe et celui de Joé ne plus finir de me remplir mon cul par une quantité énorme de sperme. Je me souviens, un jour à Saint Bath avoir mesuré la quantité de sperme que ses couilles pouvaient fournir, il avait rempli en verre de bonne taille jusqu’au bord.
J’étais vidée et eux aussi, de leurs côtés Justine et John s’était fait jouir mutuellement, curieusement la fatigue du voyage avait complètement disparue. Nous avons repris nos esprits en buvant du champagne. Mélissa n’avait pas réapparue et nous décidions d’aller à sa recherche. Au bout de quelques salons, nous l’avons retrouvée couchée sur une table, un homme la baissait allégrement, ses seins montaient et descendaient aux rythmes des coups. D’autres hommes se tenaient derrière, le sexe encapuchoné dans la main, prêts à remplacer le précédent dès qu’il aurait joui. Ce qui arriva, il se dégageât et remplacer immédiatement par l’autre homme. Ils étaient une bonne quinzaine dans ce salon. Je m’approchais de l’un eux et lui demandait combien d'hommes avaient baisé cette fille ? Il me répondit, je ne sais pas exactement mais moi ce sera la deuxième fois dans 5 minutes. Melissa venait de se faire au moins 25 mecs sans arrêt et visiblement elle ne comptait pas s’arrêter là.
Joé était complètement éberlué de voir Mélissa se faire prendre par autant d’hommes. Je lui demandais si elle avait privée de sexe depuis trois mois. Il me répondit, je ne sais pas, je ne l’ai jamais vu comme ça.
Nous sommes repartit dans notre salon où très excités par ce spectacle, nous avons repris nos ébats. Cette fois-ci c’est John qui me baisa et Joé qui m’encula. Je sentais leurs deux sexes frappés au plus profond de moi, surtout celui de Joé, vous pensez 27 cm sur 8 cm au fond des reins, ça laisse des souvenirs intimes impérissables.
Quelques temps plus tard où tous rhabillés, Melissa est revenue. D’un même « Alors » nous lui avons demandés comment c’était. « C’était grandiose, jamais je n’avais connue ça auparavant » Mais combien tu t’en es fait ? lui demanda John. Elle répondit dans un soupir, "d'après un des hommes qui était là une bonne quarantaine. J’aurais bien continuée mais on a du arrêter faute de combattants. !! " Nous étions tous suffoqués par sa réponse. C’est tout juste s’il elle n’a pas demandée à John, Bruno et Joé de terminer le travail.
Il était 4 heures du matin, John avait téléphoné à Holden de venir nous chercher en lui promettant une récompense pour l’avoir fait revenir en pleine nuit.
Une fois revenu, Mélisa qui avait tout compris de notre proposition, montât rapidement dans la chambre de Holden, elle n'en avait pas eu assez.
Quelle nuit, la première journée de Justine à New York s’était plus que bien passée. Et il y en aura d’autres.
A suivre
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