Chapitre 05 - Les fantasmes de mes amies

Deux mois plus tard, un diner nous a réunis a nouveau pour raconter la réalisation de nos fantasmes. Cette amie qui voulait faire l’amour avec un inconnu dans la rue, nous raconta comment ça c’était passé.

Avec mon mari, un soir après diner, nous nous sommes assis à la terrasse d’un café Quai de Tournelle face à la Seine et à Notre Dame, nous avons attendus  que la nuit soit tombée, puis mon mari est allé voir un jeune homme, style étudiant, qui buvait tranquillement son café en lisant visiblement des notes de cours.  Il lui expliqua discrètement ce qu’il attendait de lui. L’homme très surpris par cette proposition, refusa dans un premier temps, alors je me suis retournée vers lui, j’ouvris largement les jambes et ce geste explicite réussit à convaincre l’homme qui en fin de compte accepta. Nous payâmes les consommations, et  nous nous sommes   sont dirigés vers un escalier qui descendait sur les berges de la Seine.

Le temps n’était pas très beau, il faisait assez frais et les badauds étaient très rares. Tout en marchant, mon mari discutait avec cet homme, il était étudiant en médecine. Moi  je  marchais devant essayant de trouvé un endroit discret pour cet accouplement.  J’ai trouvé ce que je  cherchais, et c’est derrière un gros  arbre que j’allais m’installer. L’homme s’approcha de moi, je m’accroupis lui fit descendre sa braguette et sorti son membre, je lui ai enfilé une capote, et commencé une fellation.baisee-contre-un-arbre.jpg

Mon mari regardait la scène, il me voyait engloutir ce sexe avec avidité. J’étais sur qu’à ce moment là il devait bander comme un âne et que j’aurais droit à une deuxième séance après l’étudiant. Jugeant qu’il était en pleine forme, je me suis relevée, et retournée, lui présentant mes fesses, l’étudiant retroussa ma robe par-dessus mon corps, et il commença à me baiser. Je gémissais de plaisir,  l’étudiant en médecine savourait visiblement cet instant et faisait durer le plaisir. Je sentais son sexe grossir, puis il explosa en moi ce qui déclencha un orgasme tellement fulgurant, que j’ai dus me tenir à l’arbre pour ne pas tomber.

Mon mari prêt à succéder a cet homme qui m’avait fait jouir au delà de mes espérances, fût interrompus dans son élan, par un  clochard que nous n’avions pas vu venir,  et qui se mis à crier : « Et les copains, venez, il y a une bourgeoise qui se fait baiser». Précipitamment nous avons remballé notre matériel, et nous sommes remontés sur le quai.

Après être retourné au café pour boire un verre, mon mari proposa à l’étudiant de venir finir la nuit chez nous. Il ne se fit pas prier, et nous avons terminé la nuit comme nous l’avions commencée. Au matin j’étais vidée, (le mot est mal choisit) j’ignore combien de fois cet homme a éjaculer en moi, mais c’était impressionnant. Pour l’anecdote, j’ai son n° de téléphone dans mon carnet d’adresse, si l’une d’entre-vous le veut, vous verrez que je ne vous ai pas menti. ».

Je racontais à mon tour l’épisode du bordel, ce qui a beaucoup impressionné mes amis. Puis l’homme qui s’était  fait violer par d’autres hommes en fit autant. Il restait à connaître le sort qu’avais été réservé à notre amie qui voulait connaître la jouissance au travers de la souffrance.

Elle nous raconta : « On m’a emmenée dans un club privé, spécialisé dans les soirées SM. Mon ami qui avait trouvé cet endroit, avait tout organisé. A mon arrivée, j’ai été prise en main par une « Maitresse » vêtus de cuir, enfin plutôt dévêtus de cuir, ses seins et son sexe était à nus. Elle me fit entrer dans une pièce, m’a déshabillée, puis elle m’a habillée d’un corset qui s’arrêtais sous les seins et qu’elle sera au maximum, j’avais du mal à respirer, et mes seins étaient gonflés par la pression du corset, elle m’enfila une paire de collant sans entre-jambe et termina par une paire de chaussures à talons très hauts. Avant de ressortir de la pièce, elle me mit un bandeau sur les yeux, et m’attachât les mains derrière le dos avec une paire de menottes. J’étais prête pour la soirée. Je dois dire qu’à ce moment là, je n’en menais pas large, j’avais émis l’idée de souffrir pour jouir, mais je ne savais pas quel degré de souffrance ils allaient m’imposer.

Une fois sortis, j’entendis mon ami me dire : «  tu es très excitante dans ce costume, je crois que tu vas passer une très bonne soirée que tu n’es pas prêt d’oublier ». On me poussa en avant, j’ai senti qu’on me détachait mes menottes, puis on m’attacha à nouveau les deux mains en l’air ainsi que les deux pieds sur ce que j’ai pensé être une croix de Saint André. On me retira le bandeau des yeux, et j’ai vu devant moi des hommes et des femmes pratiquement tous habillés de cuir, certains portaient une cravache à la ceinture, un fouet. On me mit une espèce de bâillon,  en fait c’était une boule qui entrait dans la bouche et qui était attaché par deux sangles derrière la tête. « C’est pour les cris de douleur, me dit la Maitresse ».

Panique en moi ! On m’a passée une corde à la taille avec devant une petite poulie, Puis deux cordes attachées en haut de la croix fut passée entre mes jambes, remontée devant séparant mon sexe en deux et emprisonnant mon clitoris.Seau4-copie-1.jpg

Ils passèrent la corde dans la poulie, la passèrent au dessus de moi dans une autre poulie et attachèrent au bout sans qu’il ne touche le sol un seau de grande capacité. Je me demandais ou ils voulaient en venir. La réponse arriva très vite, La Maitresse me posa des questions style « Trivial poursuite » elle me donnait deux réponses possibles, et je devais par un ou deux mouvements de tête donnez la bonne réponse. La Maitresse précisa, Le supplice s'arrêtrat losque le seau sera plein, il contient 20 litres

A chaque mauvaise réponse, les participants versaient dans le seau une bouteille d’eau d’un litre. Les deux premières furent bonnes, la troisième mauvaise et un litre d’eau fut versé dans le seau, les deux cordes emprisonnant mon clitoris se tendit et commencèrent à le serrer. Quatrième et cinquième réponses fausses deux litres supplémentaires ce qui augmenta la pression, et la douleur devenait intense. Je me demandais combien de litres pouvaient contenir ce seau. J’ai eu la réponse en fin de torture, car c’est une véritable torture que l’on m’a infligée.Seau-5-1.jpg


les vingts  litres  ont été versés dans le seau, plus de 20 kilos, les deux cordes  tendues à mort rentraient dans mon sexe, me coupant littéralement en deux, et le pincement atroce sur mon clitoris qui par le poids  était remonté et tiré vers le haut, il s’est mis à gonflé comme jamais. Je hurlais dans mon bâillon. J’ai cru qu’une fois le seau plein, mon supplice s’arrêterait, mais, ce n’était pas inscrit au programme.


Un homme s’approcha de moi et me dit à l’oreille « Ca ne fait que commencer ». Il prit alors deux pinces qu’il me posa sur les bouts de seins. Une cordelette était attachée à l’extrémité ses pinces, et plus on tirait dessus plus les pinces serraient.  Il demanda que l’on soulage le seau, il attacha les deux cordelettes à la corde qui redescendais vers le seau, et les tendis, mes pointes de seins s’allongèrent, mais c’est quand il demanda le laisser redescendre le seau, que les vingts kilos du seau ont tendus complètement les cordelettes, les pinces se  serrèrent au maximum, et une douleur insoutenable monta en moi.

Puis il prit une sorte de sextoys, munis en son extrémité d’une boule, il me plaça cette boute sur mon clito,  c’était un vibromasseur, mais pas comme celui que j’avais chez moi, un vribro qui envoie des milliers de vibrations. Et la séance commença, déjà torturé par les deux cordes, mon clitoris gonflé et rougi me faisait atrocement mal, les pinces sur mes seins qui entraient dans la chaire fragile et qui les tiraient en avant créant la aussi une douleur que je ne pouvais pas imaginée.

Curieusement, l’ai senti à force de vibrations sur mon clitoris, un plaisir monté en moi, qui s’est très vitre transformé en orgasme violent, puis d’un autre, ça n’en finissait plus. Je criais dans mon bâillon qu’on arrête, mais il continuait à le caresser avec cet engin de torture. Et puis dans demi-coma, tout s’est arrêté, plus de vibration, plus de pinces sur mes seins, plus de cordes sur mon sexe. Ils me détachèrent, ils on été obligé de me porter et de me faire assoir, je ne tenais plus debout. Mon sexe et mes seins me faisaient souffrir. Mon ami s’approcha de moi et me demande comment j’allais,  « mal, mais j’ai joui comme une folle ». il me dit alors, : « Reprends tes esprits et après tu assisteras en spectatrice à une autre forme de spectacle ».

Une demi-heure plus tard, j’assistais avec effroi au spectacle annoncé. Une femme était assise sur une chaise, ses seins  lourds et déformés par sans doute trop de maltraitances volontaires, étaient posés sur une planche en bois. Ils étaient ficelés en huit et étaient complètement gonflés. Son bourreau approcha avec à la main un marteau et des clous de bonne dimension. Il présenta un premier clou sur le coté du mamelon, et l’enfonça dans le planche en trois coups, il fit pareil sur l’autre sein, puis un deuxième clou de l’autre côté du mamelon et ensuite sur l’autre sein.


Cette femmes était clouée par les seins sur cette planche, elle grimaçait, mais ne semblait pas souffrir. Puis  il s’approcha avec des aiguilles hypodermiques d’une vingtaine de cm de long à la main. Il la présenta sur le côté du sein et appuya jusqu’à la faire ressortir de l’autre côté. L’autre sein reçu le même traitement, il recommença avec deux autres aiguilles mais verticalement,  Puis il entreprit de lui clouer une série de clous de tapissier tout autour des mamelons et pour finir il cloua ses bouts de seins sur la planche. Pour être sur que les clous étaient bien enfoncés, il tapa dessus avec une petite latte de bois. La fille était dans été second, Une horreur, ils la laissèrent un bon moment dans cette position, de temps en temps, il venait faire bouger les aiguilles, ce qui devait encore augmenter la douleur. Ce spectacle émoustillait les participants, je vis les hommes tout en regardant cette femme, masturber les filles qui étaient à côté d’eux.

Je demandais à mon ami de quitter cette boite, « Attends me dit il la soirée n’est pas finie ». On passa dans une salle, ou sur une table était attachée une fille assez jeune avec un bandeau sur les yeux. Son sexe était largement ouvert par des chaines qui passaient dans des anneaux qui traversaient ses lèvres intimes et qui étaient fixés à d’autres anneaux sur la table. La " maitresse " qui c’était occupé de moi au début vint vers moi et me présenta un sexe toys un peu particulier. Devant mon refus de participer à d’autres expériences, elle me dit : « non ce n’est pas toi la victime, mais tu seras son bourreau, si tu refuses, je te réserve quelques punitions très spéciales ».

Devant cet ultimatum, contrainte et forcée, j’acceptais, ce gode fut installé, une partie  était collé à mon clitoris et  comportait un petit sexe d’une quizaine de centimètres recourbé vers le haut et qui pénétrait mon sexe. On me demanda de posé mes pieds sur un planchette en bois, de mettre mes orteilles dans une sorte dd U retourné et qui bloquait mes orteilles, puis de me mettre sur la pointe des pieds. Ils posérent sous mes talons deux petits cubes munis sur la face supérieur d'un bouton d'où sortaient des fils éléctriques.

Sur le fille il firent pénétrer un gode de grande taille en plastique munis sur toute sa longueur de petites pastilles métaliques. Ils posèrent une pince sur son clito ce qui lui fit émettre un cri srident de douleur. Ils raccordèrenet le gode et la pince avec des fils électriques à un boitier et du boitier aux fils sous mes talons et la séance commença.

La "maitresse" mis en marche le vibromasseur qui pénétrait mon sexe, instinctivement les vibrations me firent  bouger et mes talons descendirent sur les boutons. La fille se mit alors  à hurler et je compris qu'à chaque fois que je bougeais j'envoyais involontairement des décharges éléctriques dans le vagin et le clitoris de la suppliciée.

Elle hurlait dans son bâillon, mais rien ni faisait. J’étais horrifié à l’idée que c’était moi qui torturait  cette pauvre fille. Alors la maitresse appuyât sur un bouton de la commande ce qui augmenta la force des vibrations et l’intérieur de mon propre sexe. et plus les vibrations étaient fortes plus j'appuyais les talons et envoyait des décharges de plus en plus violentes dans cette fille.

  La réaction de la fille fut instantanée, elle se cabrait dans ces liens. La " maitresse" augmenta alors la puissance des vibrations, ce qui déclencha chez moi un premier orgasme, et cette excitation me faisait perdre tous mes repères et je commençais à jouir sans discontinuéle. Ne pouvant plus me contrôler, mes talons étaient posée aen permanence sur les boutons qui envoyaient sans arrêt des décharges électriques au maximum d'intensité. Ce supplice était monstrueux, j'aurais voulu ne plus bouger, mais j'en était incapable.

  La séance dura un temps qui me parut interminable puis tout s'arrêta, on la détacha et la … surprise, elle vint m’embrasser en me disant : « tu m’as fait prendre un pied extraordinaire !». Je restais médusée par cette réaction, comment dans cette souffrance extrême, avait elle pu prendre autant de plaisir ?

Décidé cette fois ci à partir de cet endroit, mon ami me dit : « Tu ne veux pas terminer la soirée en beauté », je lui demandais comment ça ? « Et bien si tu es d’accord, les hommes présents voudraient te violer ». Je lui répondais : « Mais j’ai mal, j’en peux plus ! » il me dit alors : « justement pour calmer la douleur, rien de vaut quelques bons orgasmes ». Alors j’ai dit oui, on m’a allongée sur une table, et les uns derrière les autres ils m’ont tous baisé.  Je crois que je me souviendrais toute ma vie de cette expérience. 

Suite aux récits qui nous avaient été révélés, nous étions tous dans un état second d’excitation . Alors,  tout le monde s’est déshabillé, et la soirée s’est terminée au petit matin.

 

A suivre

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Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements. 

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Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer  mon nom  " Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon sit" www.lolita-o.fr. "

Bonne lecture 

 
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