Chapitre 34 - Retour à N.Y et départ pour la France

Je ne vous ai pas tenu au courant de mes pérégrinations depuis le mois d'octobre, la raison est la suivante. Après l'escale de l'Ile de la Tortue, le soir même j'ai reçu un appel téléphonique de mon père, il était arrivé un accident de voiture à ma mère. J'ai du écourter mes vacances et rentré précipitamment à New York et delà prendre le premier avion pour Paris. Justine a voulu m'accompagner.

Arrivé à Paris, nous avons repris un autre avion pour Nice, mes parents avaient emménager dans une nouvelle villa à Saint jean Cap Ferrat. En fin d'après midi après un voyage quelque peu fatigant, je retrouvais mon père à l'aéroport de Nice. Je lui sautais dans les bras contente de le revoir, bien que j'aurai préféré que se soit dans d'autres circonstances. Nous sommes allés directement à la villa.  La soirée s'est passée tristement, il me raconta dans quelles circonstances l'accident de voiture de mère avait eu lieu. Elle circulait dans sa Porsche cabriolet sur la route de la corniche à Villefranche sur Mer, quand dans un virage elle s'est retrouvé nez à nez avec un camion qui ayant raté son virage circulait sur le côté gauche de la chaussée.

Le choc fut d'une extrême violence, la Porsche était complètement pulvérisée et c'est un véritable miracle qu'elle soit sortie vivante de cet accident. Le chauffeur du camion avait 2.3 gr d'alcool dans le sang plus des traces de stupéfiants.

Mon père m'expliqua que d'après les médecins elle souffrait de multiples fractures au bras et aux jambes qu'elle avait quatre côtes cassées, et un traumatisme crânien. Mais d'après eux, sa vie n'était pas en danger. Nous irons la voir demain à l'Hôpital de La Timone à Marseille  ou elle avait été transportée en hélicoptère. Mon père avait loué un Hélico pour  y aller.

J'ai passée une nuit difficile, Justine m'avait demandé de dormir avec moi, Elle m'a été d'un grand secours morale. Par ses caresses elle m'a décontractée, pendant plus d'une heure pas sa langue elle m'a fait oublier pourquoi je me retrouvais du jour au lendemain à 7 000 km de chez moi. J'ai honte d'avoir jouie plusieurs fois, sans que jamais elle avait voulu que je lui fasse la même chose. Elle était là pour moi et uniquement pour me faire oublié par le plaisir la douleur de savoir sa mère gravement blessée.

Le lendemain matin nous prenions place dans l'Hélico, mon père avait préférer ne pas piloter lui même, et après presque une heure de vol nous avons atterris directement à l'Héliport de la Timone, grâce une autorisation spéciale. Dix minutes plus tard nous étions dans la chambre de ma mère. Elle dormait calmement, plâtrée de la tête aux pieds. Elle était méconnaissable, je me suis réfugiez dans les bras de mon père, pleurant comme une madeleine. Justine s'efforçait de me réconforter, en me disant qu'elle était vivante grâce à Dieu et que cela aurait pu être encore plus grave. Nous sommes restés une heure avec elle sans qu'elle ne se réveille. Nous reviendrons demain.

Un ami de mon père en vacances au Brésil avait mis sa propriété située à Cary Le Rouet à notre disposition ce qui nous rapprochait de Marseille. Un chauffeur est venu nous chercher à l'hôpital et nous sommes rendu dans cette villa. Superbe bâtisse provençale en bord de mer, dans un autre style elle me rappelait la villa de nos amis à St Barth. Pris en charge par le personnel, nous avons déjeuné et passé l'après midi au bord de la piscine. Mon père téléphona en fin de soirée à l'hôpital où il nous a été répondu que son état était stable et que l'IRM n'avait pas déceler de lésions irréversibles.

Après le diner, et sans doute à cause du décalage horaire et de l'émotion, je suis parti me coucher de bonne heure, suivi par Justine.

Les jours suivants se succédèrent sans changement. Au bout de huit jours plus tard, j'au eu la joie de trouver ma mère éveillée, j'ai pu lui parler, lui dire que je l'aimais plus que tout au monde. Ne pouvant rien faire de plus pour elle, or ma présence,  j'ai demandé à mon père de profiter de mon séjour forcé en France pour aller voir mes amis à Lyon. Je téléphonais à Max, mon mentor grâce à qui ma galerie de Lyon avait pu connaître le succès.  Pas surpris de ma présence sur mon sol natal, il était au courant de l'accident de ma mère, et m'invita immédiatement à venir les rejoindre lui et sa charmante femme.

Accompagnée de Justine après un trajet en TGV, Max nous attendait à la gare de La Part Dieu, pour nous emmener à son Hôtel Particulier situé  Boulevard des Belges en bordure du Parc de la Tête d'Or (voir chapitre 9 - Entièrement nue dans Lyon). Nous avons retrouvé sa femme Nathalie toujours aussi belle et rayonnante, contente de nous voir. Nathalie me promis de me faire oublier ces quelques jours noirs que j'avais passé. Nathalie pensait à tout et également pour elle c'était l'occasion de voir d'autres amis et de s'envoyer en l'air, frustrée de ne plus pouvoir avoir de relations sexuelles avec Max depuis son accident de voiture. Et ceci d'un accord mutuel entre eux car ils étaient follement amoureux l'un de l'autre et Max ne voulait en aucun cas priver sa femme de relations sexuelles avec d'autres hommes à une seule condition, qu'il soit présent et cela fonctionnait très bien depuis plus de quinze ans.

Le soir même il avait invité trois de ses amis, ceux mêmes que j'avais connus à sa maison de Montélimar, trois lascars bien montés et très doués, plus deux couples assez jeunes.

Nous avons diner et à la fin du repas, Max jamais à court d'idée et se rappelant la soirée ou Nathalie, Justine et moi s'étions retrouvées entièrement nues dans les rues de Lyon pour faire 5 photos, nous proposa de renouveler l'expérience. Personnellement je n'étais pas chaude pour refaire ces photos, nous avions eu de la chance à l'époque de ne pas nous faire agresser, voir violer. Justine et Nathalie non plus, seule les deux femmes des couples semblaient partantes. Après avoir peser le pour et le contre, nous avons décider de le refaire, mais cette fois-ci nous serions accompagné d'un de nos compagnons de jeu.

En faite, le jeu consistait à être entièrement nue, dans trois endroits différents et fréquentés par des échangistes et des voyeurs et à chaque fois se faire baiser par au moins un inconnu pendant que l'homme qui nous accompagnait prenait des photos pour en apporter la preuve. La seule obligation faire payer sa prestation et c'était celle qui ramenait le plus d'argent qui gagnait. En fait on allait faire la pute pendant une soirée. L'idée ne me déplaisait pas. Max promettait pour la gagnante une bonne surprise. Nous étions samedi soir jour faste selon Max pour ce genre de sport.

Les deux filles des couples étaient excitées comme des puces à l'idée de se faire sauter par des inconnus. L'une rousse qui répondait au prénom d'Emma, visiblement de la tête aux pieds nous dit qu'elle venait de fêter ses 18 ans la semaine dernière, l'autre blonde guère plus âgée ressemblait à une poupée Barby, semblant toute innocente mais certainement une vraie salope elle s'appelait Louise, de toute façon connaissant Max, il ne s'entourait pas d'amies coincés du sexe. Nous sommes toutes allées dans la chambre de Nathalie pour nous préparer, nous nous sommes toutes déshabillées, Nathalie nous prêta différents vêtements pour nous habiller, le plus simplement sans sous vêtement. Je me suis retrouvée avec une robe ultra courte décoltée dans le dos, Justine un blazer qui arrivait au raz des fesses, la rousse avait choisit une veste de smoking, et la blonde un déshabillé pratiquement transparent, à se demandé pourquoi elle s'habillait. Tant qu'à Nathalie elle portait une robe longue ouverte sur les seins et fendue jusqu'à la taille. En la voyant ainsi, j'ai failli lui sauter dessus.

Nous sommes parties toutes les cinq accompagné de nos anges gardiens avec dans les poches un bon paquet de préservatifs, nous nous sommes dirigés vers la première destination. Un endroit assez connu des échangistes et autres voyeurs, situé dans une ile sur le Rhône. Notre arrivée sur place ne passât pas inaperçue, il devait y avoir cinq ou six voitures plus des hommes seuls. Je suis descendu de la voiture, retirer ma robe et entièrement nue je me suis dirigée vers le groupe d'hommes qui était entrain de mater un couple qui baisait dans leur voiture. je leur ai expliquer ce que j'attendais d'eux,  qu'il s'agissait d'un jeu entre nous, et que le  plus offrant me baisera. Ils furent un peu surpris de cette proposition, plus habitué à se masturber sur les voitures qu'à baiser réellement en payant.

De leur côté mes amies essayaient elles aussi de négocier leur corps. Un homme jeune me proposa 20 € un autre 30, le plus vieux annonça 60 €. C'est tout, je m'imaginais valoir plus que ça, mais comme personne ne proposa plus, j'emmenais mon inconnu un peu plus loin dans un bosquet. Il sorti immédiatement son sexe et voulu me le mettre dans la bouche, je l'arrêtais vivement et lui enfilait une capote, puis j'avalais ce sexe déjà en érection, je sentais qu'il n'allait pas tenir longtemps, aussi je me dégageais, me retournais et lui présentais mes fesses. Levant une de mes jambes il s'introduit dans mon vagin et il commençât à me baiser, son sexe était de bonne taille, et j'avoue que cette situation éveillait en moi une certaine excitation et je désirais que cela dure un peu, juste le temps de jouir aussi. Enfin de compte il se retint suffisamment et au moment ou il a jouit, j'ai senti mon sexe m'inonder mes jambes.sc01_005-copie-1.jpg

Mon accompagnateur, prenait des photos de la scène, ce qui allait alimenter la collection de photos de Max.

Je retournais à la voiture jugeant qu'il n'y avait plus rien à tirer ici, Justine revenait en même temps que moi, elle s'était fait un petit jeune, pas sur qu'il soit majeur, ça allait lui laisser un bon souvenir, Il lui avait donner 50 € c'était tout ce qu'il avait sur lui. Sans attendre nos amies, nous avons repris nos voitures respectives pour nous rendre à l'autre endroit désigné par Max. Je m''essuyais ma chatte complètement mouillée. mon chauffeur me regardait avec une envie de me sauter dessus. Je prenais sa main droite et la posais sur mon sexe. Il introduit un doigt et me caressa longuement pendant le trajet. Vive les boîtes automatiques.  Je mouillais de plus en plus, la prochaine pénétration n'allait pas être difficile.

Nous somme arrivé dans un endroit lugubre sur un quai du Rhône, des containers formaient un dédale et j'aperçu dans l'obscurité un groupe d'hommes. Ils y avait là une fille accroupie, la jupe relevée et les seins dehors, elle les suçait à tour de rôle. Un homme la regardait sans doute son ami ou son mari, il se masturbait allègrement adossé à sa Mercedes. Descendue la première, je me dégageais de ma robe, j'allais vers lui entièrement nue. Il me regardait venir en ce demandant ce qui arrivait d'autant plus que Justine faisait la même chose vers le groupe d'hommes et que les trois autres voitures débarquaient elles aussi. Ils ne devaient pas voir débarquer en même temps cinq nanas venir pour se faire sauter. La fille qui les suçait du se dire qu'il y allait avoir de la concurrence, mais vu le nombre de participants il y en aurait pour tout le monde.sc03_028.jpg

J'expliquais vivement à l'homme ce que j'attendais de lui. Il me regardait de la tête aux pieds, il était très bien habillé et vu sa voiture je  me dit qu'il allait être prêt à payer assez cher. Il regardait en même temps mes amies, il fallait que je fasse vite. Il me proposa 200 € pour que le suce et qu'il me baise, je lui ait dit que pour 100 de plus il pourrait aussi m'enculer. L'idée à du le séduire car il sorti immédiatement de sa poche 3 billets de 100 €. Son sexe toujours sorti de son pantalon bandait encore, je lui enfilait un préservatif, et prenait son sexe dans ma bouche. Il m'appuyait sur la nuque pour que je l'avale le plus loin possible, je le sentais eu fond de ma gorge, Heureusement qu'il n'était pas trop long, sinon vu la force qu'il mettait à vouloir me l'enfiler il m'aurait étouffé. Il fit durer le plaisir puis  me relevant, il m'adossa à sa voirtue, le métal froid me fit sursauter, il me leva une jambe et s'introduit sans problème dans mon sexe complètement liquéfié.

Il allait en venait de plus en plus fort et à ce rythme là je me disais qu'il allait jouir assez vite et qu'il n'aurait pas l'occasion de m'enculer. Ma prédiction s'avéra fausse, car me retournant brusquement, il me  coucha  sur le capot, il présentât sa bite devant mon cul et d'une poussée il me perfora les reins. Je sentais ses couilles taper sur mes fesses. Il n'en finissait pas de me  sodomiser, et rapidement j'explosais. C'est le moment qu'il choisi pour ce retirer, retira sa capote, me retournant il me fit m'accroupir et me tenant ma tête il  éjacula dans ma bouche.  J'ai du me tenir à la voiture pour ne pas tomber tellement mon orgasme avait été violent. Etait-ce le fait d'être dans un lieu public avec un inconnu qui m'a fait avoir cet orgasme.

J'ai tout juste eu le temps de m'essuyer la bouche qu'un des hommes présents, un black, un billet de 50 € à la main  venait pour également pour me baiser. Et tout recommençât, je demandais à mon ange gardien une autre capote, et sans même le sucer, il me retourna et introduit son membre dans ma chatte. Ce n'était pas le même calibre. Mais j'ai l'habitude et j'aime les gros sexes, mon record étant d'avoir eu deux sexe de blacks en même temps dans ma chatte. De là ou j'étais je voyais Justine avec deux hommes en même temps, Ils la tenait par les hanches suspendue sur les deux sexes qui lui perforait la chatte et le cul.

De son côté Nathalie était bien prise, et visiblement un autre attendait son tour. Les deux autres minettes s'envoyaient en l'air. En regardant un peu plus pendant que le black me limait ma chatte, c'est qu'il y avait de plus en plus d'hommes, j'en comptait une bonne vingtaine, les téléphones avaient du bien fonctionnés. J'espérais seulement qu'ils soient passés au distributeurs de billets avant de venir. Le premier qui m'avait baisée et enculée était toujours là, sa femme passait de main en main, sa figure était couverte de sperme, ça devait être son truc, moi je préfère l'avoir dans ma chatte ou dans la bouche.

Mon black finit par se vider les couilles et dans la préserva      tif je sentais au fond de ma chatte le liquide chaud et très abondant. Je commençais à me dire quand cela allait finir, quand deux autres arrivèrent un avec 20 € et l'autre 40. Les temps devenaient dures je leur demandais de me proposer plus ils rajoutèrent 40 € chacun. Ils voulaient me baiser en même temps. Le temps de leur enfiler les capotes, heureusement que Max avait bourré les poches de nos anges gardiens avant de partir, car sans cela je n'aurai jamais accepté de me faire baiser.

Le premier me souleva, me fis mettre mes jambes de chaque côté de ses hanches, le deuxième derrière se colla à moi, puis ils me firent descendre doucement. Ils trouvèrent facilement le chemin et d'un seul coup j'étais prises des deux côtés en même temps. Ils me soulevaient pour me faire redescendre violement, je sentais leurs sexes taper au fond de ma chatte et de mon cul. A faire l'ascenseur de la sorte je ne tardais pas à jouir violement, ce qui les conforta dans l'idée de continuer de plus en plus fort. J'avais un peu mal, mais je voulais au fond de moi que cela dur encore, puis le premier dans ma chatte se vida suivit du second un peu plus tard. Ils me déposèrent eu sol, je ne tenais pas debout. Très gentiment ils me soutenaient tout en me caressant les seins, le ventre, en m'embrassant dans le cou. Deux amants d'un soir qui m'avaient fait prendre un pied merveilleux.

Je regardais ma montre il était 2h30, et Max nous attendais au maximum à 3h. Les deux encore entrain de se faire baiser étaient les deux minettes. Louise la blonde était couchée sur le dos sur une caisse et un grand mec lui donnait des grands coups de boutoirs, Emma la rousse à côté penché en avant une jambe sur la caisse se tapait le black qui m'avait baisée un peu plus tôt. Je n'arrivais pas à voir si il la baisait ou l'enculait, mais j'ai eu la réponse très vite, car elle se mit d'un seul coup à crier, le black appliqua sa main sur sa bouche l'empêchant de hurler, visiblement il venait d'introduire sa matraque dans le cul de la rousse. Il allait et venait de plus en plus fort. Elle gémissait se débattait, j'aurais bien été la sauvée de cette étreinte, mais après tout il faut bien y passer un jour, et c'était son jour. Maintenant que bien rodé par la batte de baseball, ses petits copains à venir n'auront pas de mal à l'enculer. Le black se retira ayant joui au fond de ses reins, elle s'écroula sur la caisse.

J'allais la voir, elle gémissait, je ne savais pas si c'était de plaisir ou de douleur. Pour le vérifier, j'approchais ma main de son cul, lui caressait l'entrée bien dilaté, et j'introduisait deux doigts. Surprise elle se retourna, puis écartant les jambes un peu plus, elle m'invita a m'introduire plus profondément. Petit à petit mes 5 doigts regroupés pénétraient son cul, j'appuyais et de son côté elle se reculait, je compris le message et forçait complètement son petit orifice jusqu'au poignet. Autour de nous s'était formé un petit groupe qui regardait le spectacle. Je fis durer son plaisir jusqu'à ce qu'elle explose en de longs jets inondant la caisse sur laquelle elle était couchée. Un homme s'approcha d'elle voulant continuer le travail, aussitôt, nos anges gardiens s'interposèrent. Pas d'argent pas de baise. Cinq hommes sortir leurs billets. Ce n'était pas possible, ils allaient la massacrer, et en plus ils fallait que nous soyons rentré à 3h. Devant l'insistance et voyant la situation se dégrader, elle a accepter. Pour aller plus vite et les mettre en forme avant l'assaut final, nous les avons sucé, juste ce qu'il fallait pour qu'ils jouissent rapidement en elle Et c'est reparti, l'un après l'autre sans lui laissé de répits il la baisèrent net l'enculèrent. Elle m'avoua plus tard que c'était d'être enculée qui lui procurait le plus de plaisir.

Les appareils photos fonctionnaient à fond. Que de souvenirs pour Max me dit Nathalie sa femme. La soirée de termina, les couilles vidées, plus personne ne voulu continuer, c'est à ce moment que nous avons vu au loin des gyrophares bleus. Comme une volée de moineaux tout le monde s'éparpilla. Remontés dans nos voitures respectives, sans même prendre le temps de remettre nos vêtements, nous avons démarrer en trombe. Direction l'hôtel particulier de Max. Apparemment ce n'était pas pour nous que cette voiture de police en avait. Un quart d'heures plus tard nous sonnions chez Max.

Après une bonne douche de remise en forme, nous sommes redescendue au salon. Max avait souhaitée que nous restions nues. Nous avons fait les comptes. La rousse remporta le concours Elle s'était fait 11 mecs et rapportait 530 €, suivie de Justine, de moi, de Nathalie et pour finir la poupée Barbie.

Assises toutes nues, les mecs toujours habillés, la situation avait un air de maison close. Nous avons raconté mutuellement nos exploits d'un soir. Max nous demanda ce que nous avions pensée de jouer la pute pour un soir. Nos réponses furent à l'unanimité "excitant".  Il était 4h du matin, et la fatigue commençait à se faire sentir, Max nous proposa d'aller se coucher avec  l'homme de son choix il ajouta que  la prochaine soirée serait toujours aussi chaude.

à suivre...

Mon Journal Intime

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Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer  mon nom  " Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon sit" www.lolita-o.fr. "

Bonne lecture 

 
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