Lyon le 9 février
Avec Justine, nous avons quitté New York pour trois semaines, et somme revenus à Lyon pour régler des affaires privées, entre autres, régler définitivement la vente de ma galerie. John avant de partir m’avait fait ses recommandations d’usages, à savoir liberté sexuelle totale et pour lui et pour moi avec la promesse de tout se raconter au retour.
Après avoir atterri à Roissy, nous avons pris le TGV jusqu’à Lyon. Max nous attendait à la gare de la Part Dieu et nous a proposé de venir diner le lendemain soir chez lui. J’acceptais son invitation avec plaisir.
Nous avons retrouvé notre appartement avec joie. Après une bonne douche, nous avons été diner dans un petit restaurant ou nous avions nos habitudes. Le patron ravis de nous revoir, nous a accueillis comme des VIP. A 23 heures nous étions rentrés et au lit, la journée avait été longue.
Le lendemain, journée notaire, avec remise du chèque de la vente de la galerie et dépôt immédiat à la banque. Voila de quoi faire la fête.
Le soir, nous nous sommes rendus à l’hôtel particulier de Max situé Boulevard des Belges à Lyon. Je connaissais bien cette maison pour y avoir passée plusieurs soirées mémorables. Max nous accueillit et nous fit pénétrer dans le salon ou une vingtaine d’invités étaient déjà là. Nathalie la femme de Max heureuse de nous revoir nous fit les présentations. Que du beau monde, architectes, chefs d’entreprises, médecins, mannequins hommes et femmes tous venus seuls à l’exception d’un couple marié. A part un homme que j’avais connu intimement chez Max lors d’une soirée dans sa résidence secondaire de Montélimar, je ne connaissais personne. Justine éblouissante dans une robe courte très décoltée devant et derrière faisait sensation.
Après avoir pris quelques coupes de champagne, Léona, une superbe femme noire (voir ma vie lyonnaise) prévint Nathalie que le diner était servit. Nos places étaient déjà déterminées et je me retrouvais à côté d’un beau blond d’une trentaine d’années. Le diner se poursuivit dans les banalités des conversations de ce style de repas. Mon voisin de table qui se prénommait Patrick était charmant, il s’inquiéta de savoir si j’étais marié, il fit la moue quand je lui disais que oui, il devait penser que pour lui ce soir il ne fallait pas compter sur moi pour terminer la soirée ensemble.
Il était presque minuit et après les cafés et digestifs pris au salon, Max nous annonça qu’il avait une surprise à nous montrer. Ca m’aurait étonné qu’il n’ait pas prévu quelques choses de particulier pour agrémenter cette soirée.
Il nous demanda de le suivre. Après avoir descendu un escalier qui menait au sous-sol, il ouvrit une porte et nous nous sommes retrouvés dans une salle de jeu digne des salles de Las Vegas. Il y avait sur un pan de mur une dizaine de machine à sous, au centre de la salle, une table de poker, une table de craps, une de roulette, une de baccara, à chaque table une croupière topless et tout au fond de cette immense pièce un bar superbe derrière lequel opérait une barmaid également topless. Sur un autre côté de la salle, des grands canapés très larges pouvant accueillir une bonne vingtaine de personnes
Quelle surprise, tous les invités n’en croyaient pas leurs yeux. Je demandais à Max quand il avait fait cette salle que je ne connaissais pas, il me répondit qu’elle venait juste d’être terminée il y avait une quinzaine de jours et que ce soir c’était l’inauguration.
Il nous proposa alors de choisir la table que l’on voulait, nous étions libre de jouer à ce que l’on voulait et pour cela il nous fit distribuer des jetons de casino ou il était inscrit sur une face : Casino Max et sur l’autre sa valeur en une monnaie inconnue. Ensuite il nous invitât à prendre connaissance du règlement de son casino. Sur un tableau fixé à côté du bar, le règlement stipulait :
1- Tous les participants reçoivent le même nombre de jetons.
2- A la fin de la soirée fixée à 2 heure du matin, celui ou celle qui a le plus d’argent en jeton, doit se soumettre à l’article 3
3- Celui ou celle qui a le plus de jetons, choisit son ou sa partenaire, et ainsi de suite, dans l’ordre décroissant des gains.
4- En cours de soirée, la femme ou l’homme peut demander la participation de plusieurs partenaires et tous les actes sexuels sont permis.
5- Chacun est libre d’accepter ou de refuser de participer à cette fin de soirée.
6- Il est demandé à chacun de se comporter en gentleman et que toutes relations non souhaitée par un des partenaires entrainerait immédiatement l’exclusion du ou des participants.
Max nous demanda alors si nous étions d’accord, et curieusement personne ne souleva d’objection. Il continua en insistant sur le fait que tout le monde déclare être sain de toutes maladies sexuellement transmissives et que des préservatifs étaient à leurs dispositions pour ceux qui ne connaissaient pas leur état de santé. Mon beau blond qui ne me quittait pas d’une semelle reprenait espoir.
Justine qui n’avait pas trop l’habitude des salles de jeu, à part quelques parties à Las Vegas pour mon mariage, (voir le mariage à Las Vegas) vint me rejoindre et me demanda conseil. Je lui conseillais la table de baccara, qui était le jeu le plus simple. Je lui expliquais rapidement les règles. Pour ma part je choisissais la table de poker, mon jeu préféré. Mon chevalier servant me suivit et se plaça face à moi à la table. Et la partie commençât. La croupière aux seins nus distribuait les cartes en vrai professionnelle. Pour cette première partie j’héritais d’un huit et d’un valet. Je décidais de me coucher. Mon beau blond surenchérit et remporta la partie avec une paire de neuf. Son sourire me fit comprendre immédiatement que s’il gagnait, il allait me sauter à coup sur.
Deuxième main j’étais servi d’un carré de dix, nous étions plus que trois dans cette partie, mon blond, une autre femme, et moi. La croupière découvrait les cartes, un roi, une dame, un dix. J’avais en main un brelan. La femme se retira, je restais seule avec Patrick. Une quatrième carte fut mise sur le tapis, un sept, je surenchéris, Patrick suivit, la dernière carte fut un roi. Je présentais mon jeu, trois dix. Patrick me regarda et jetât ses cartes sur la table, je venais d’empocher une belle somme.
La chance étant là je décidais de continuer encore à cette table. Je réussis un autre bon coup et quittais la table avec trois fois ma mise de départ pour aller rejoindre Justine. Pour elle ça se passait beaucoup moins bien. Elle avait déjà perdu la moitié des gains de départ. Je la prenais par le bras et je l’invitais à aller boire un verre au bar. La barmaid, une brune aux yeux verts, avec ses seins nus magnifiques nous servit une coupe de champagne.
Je demandais à Justine qu’est ce qu’elle pensait de la soirée. Elle me répondit que si elle gagnait il y avait deux ou trois hommes qu’elle aimerait bien choisir. Mon blond en faisait partie. Je la rassurais en lui disant qu’on se le fera toutes les deux.
Je décidais avec Justine de jouer aux machines à sous, je changeais des jetons en pièces et que la chance soit avec nous. Après une demi-heure, Justine s’était refaite avec un bonus de quatre fois sa mise, tant qu’à moi, il valait mieux que je retourne à la table de poker.
Il était presque deux heures et je constatais que mon pécule avait fondu comme neige au soleil. Je décidais d’arrêter et d’attendre la fin des parties. A deux heures piles, Max interrompit les jeux en demandant que les parties commencées se terminent. Puis vint le moment des décomptes, les croupières comptèrent les jetons, et les pièces et Max annonçât les résultats. Le gagnant était un homme d’une cinquantaine d’années, puis il désigna les autres dans l’ordre décroissant des gains. Justine s’en sortait pas mal en quatrième position, elle aura la chance de choisir son partenaire.
Le nombre d’homme et de femmes étant identique 11 hommes et 11 femmes, ça ne posait pas de problème. Du premier au onzième, Max demanda à chacun d’eux de choisir son ou sa partenaire. L’homme d’une cinquantaine d’année s’approcha d’une femme blonde platine, d’une trentaine d’année, lui pris la main, la baisa et l’entraina sur un canapé. Les couples se formèrent ainsi, Justine ne pouvait pas prendre le beau Blond car il était dans les onze premier, elle choisit un bel homme d’une quarantaine d’années, brun typé hispanique, avec un petit bouc et des moustaches. Elle aimait les moustaches, elle me disait qu’elle adorait le frottement des moustaches sur son sexe. Je les suivais du regard, Justine me fit un clin d’œil, visiblement contente de son choix. Je fus choisit par un homme assez jeune, pas très beau, mais il fallait respecter les règles du jeu. Patrick avait l’air déconfit, comme il était à côté de moi, je suis susurrais à l’oreille, à tout à l’heure.
Je suivais mon partenaire sur le canapé. Aussitôt il s’empressa de faire tomber les bretelles de ma robe, sa bouche se posa sur mes seins, qu’il titillait l’un après l’autre. Sa main descendit sous ma robe et constatant que rien ne protégeait mon intimité, il entreprit de me caresser avec précision. Ses doigts pénétraient, puis ressortaient tout en caressant mon clito. J’étais rassuré, cet homme avait de la technique et je souhaitais que la suite soit sous les mêmes hospices.
Je regardais du côté de Justine, elle était totalement nue, elle faisait une fellation à son partenaire qui une fois mis en grande forme la retourna le fit mettre à quatre pattes sur le canapé, et l’homme la pénétrât. Il la pilonnait avec force, elle gémissait sous les coups, puis je le vis sortir son sexe d’elle et remontant plus haut il la sodomisa avec la même force. De mon côté mon partenaire m’avait totalement déshabillée. Allongée sur le canapé, les jambes largement ouvertes il léchait, suçait, mordillait mon clito. Il fit durer mon plaisir un bon moment, puis me présentant son sexe devant ma bouche il m’invita à l’engloutir, ce que je fis avec plaisir. Son sexe était long mais assez fin, et il butait au fond de ma gorge. Comme il constatait que j’avais l’air d’aimer ça, il prit ma tête derrière ma nuque et appuya faisant pénétrer son sexe jusqu’aux testicules. J’étouffais, il s’en rendit compte et desserra l’étreinte. Puis recommençant il me demanda de sortie ma langue pour lui lécher en même temps ses bourses. Je m’exécutais son sexe au fond de la gorge je léchais ses couilles à grands coups de langue. A ce rythme là il ne tint pas longtemps et je sentis son sperme m’inondé le fond de ma gorge, il n’en finissait pas de se vider. Il tomba à côté de moi pour reprendre ses esprits.
Je regardais Patrick qui avait assisté au spectacle tout en s’occupant allègrement de sa partenaire en l’amenant à l’orgasme mais, se retenant de jouir. Je m’approchais du couple, le fille me regarda et du regard je compris ce qu’elle voulait. Je m’installais mon sexe sur sa bouche, immédiatement sa langue sorti au maximum pénétra entre mes lèvres, remontait pour lécher mon clito, pendant ce temps Patrick martelait la fille de plus en plus fort, mais il ne jouissait pas. Ce dégageant d’elle, il me fit mettre à quatre pattes sur le canapé à côté de la fille dans la même position. Mon sexe lubrifié par les orgasmes précédents, il s’enfonçait de toute sa longueur dans mon vagin. Son sexe était aussi long que mon précédent assaillant mais plus gros. Il s’activait vivement puis ralentissait ses mouvements pour les reprendre de plus belles. Cet homme me baisait comme un dieu, il me tenait les seins dans ses mains et pinçait les bouts, ce qui provoquait des décharges de plaisir. Puis je le sentis ressortir et il recommençât le même traitement sur la fille. Laquelle de nous eux allait recevoir son sperme ?
Il allait et venait sans discontinuer, pendant ce temps, je me masturbais pour ne pas perdre le rythme de mes jouissances. Je le sentis revenir à moi, il s’enfonçait de plus en plus, ses mouvements s’accélèrent et je sentis jouir de toutes ses forces, son sexe au plus profond du mien. Ce type avait une résistance peu commune, il venait de nous baiser pendant plus d’une demi-heure sans s’arrêter. Il se dégageât, et aussitôt la fille se plaçât derrière moi, et je sentis la langue pénétrer mon sexe, Elle buvait le sperme dans mon intimité en émettant des petits bruits de plaisir. Dans la position ou elle était, elle donnait envie qu’on s’occupe de son petit cul, et c’est ce que fit un homme, qui voyant le tableau, l’enculât d’un coup. Surprise sur le moment, elle écartât les jambes un peu plus pour permettre à son assaillant de s’enfoncer plus profondément.
Je quittais ce nouveau couple, mon sexe bien propre après le nettoyage en règle de cette fille et je constatais que Justine était dans de bonnes mains, je devrais dire sur de bonnes queues. En effet, Justine était agrippée à un homme debout, ses jambes de chaque côté de sa taille qui la baisait, pendant qu’un autre la sodomisait. Elle montait et descendait sur ces deux pieux de chaire tendus à l’extrême. Elle tenant l’homme par le coup, sa bouche collée à la sienne. Ses yeux étaient fermés, elle était dans une extase totale. Ils jouirent pratiquement en même temps. Ils se dégagèrent d’elle et délicatement ils la posèrent sur le canapé. Je m’approchais, lui caressait la joue et je l’embrassais d’un long et tendre baiser sur la bouche.
Qu’elle soirée, Max avait le don d’organier ce style de soirées. Je regardais autour de moi, les couples continuaient à baiser dans toutes les positions, Je me posais la question de savoir, si parmi les participants certaines ou certaines étaient mariés, et que faisait leurs maries ou femmes pendant ce temps là. Avaient ils dit qu’ils avaient un séminaire qui les tiendraient éloignés pendant un ou deux jours, avaient-elles dit qu’elles allaient voir leurs mères, que monsieur ne pouvait pas voire en peinture ? Tant de questions marrantes auxquelles je n’avais bien évidemment pas de réponse.
Je regardais Max, occuper à sucer une femme, c’était malheureusement pour lui le seul acte sexuel qu’il pouvait pratiquer (voir ma vie lyonnaise). Sa femme Nathalie était prise par deux hommes, qui ne la ménageaient pas. Ce que je n’avais pas vu c’était que les croupières participaient elles aussi à la fête. Je regardais ma montre, il était 4h30, et la fatigue commençait à se faire sentir. Je proposais à Justine de rentrer chez nous. Elle était en pleine forme et elle me demanda la permission de proposer à Patrick de venir terminer la nuit avec nous, puis elle ajouté d’une petite voix d’enfant qu’elle aimerait bien aussi invité son premier amant, tu comprend me dit’ elle j’aime sentir deux sexes en même temps. J’acceptais bien entendu, en lui précisant que dans ce cas là je demanderais à deux hommes de venir aussi. Quatre mecs pour deux femmes, c’est le pied.
Après avoir fait mon choix, nous somme partis chez moi accompagné des quatre hommes ravis de continuer la soirée dans ces conditions.. Arrivé dans l’appartement, je proposais à tout ce petit monde de prendre un bon bain dans le jacuzzi, il était prévu pour 6, ça tombait bien. Une fois tout le monde à poil, nos ébats ont recommencés dans l’eau chaude. Justine pour qui il ne fallait pas en promettre, avait décidée que deux sexes dans son vagin puis ensuite dans son cul était chose possible, elle prouva qu’effectivement c’était possible. Avec humour elle ajouta qu’il restait une place dans sa bouche, celle-ci fut comblée immédiatement. Justine aimait ça de plus en plus, jusqu’ou elle ira? Il faudra que j’en parle à Max pour qu’il lui prépare une soirée spéciale Justine.
Nous avons terminés la nuit tous dans mon lit, repus de plaisir, les hommes vidés au vrai sens du terme. Je suis à peu près sur qu’ils avaient prévu un petit remontant avant la soirée, car resté, pour certains, en pleine forme pendant 6 heures sans pratiquement s’arrêter de baiser, c’est presque un exploit.
A suivre.
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
Pour des raisons de confidentialité des participants à mes soirées, les photos illustrants les articles de mon blog sont tirées d'Internet.
Les textes de mon journal sont libres de publication, avec une obligation de citer mon nom "
Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon site " www.lolita-o.fr. "
Bonne lecture