New York le 19 septembre 2011
La vie new yorkaise à repris son rythme effréné. Ce lundi, ma galerie étant fermée, nous avons décidé avec Justine de faire les boutiques. 10 heures du matin nous partons dans ma Porsche pour la 5eme Avenue, bien décidée à faire chauffer nos cartes bancaires. Après quelques achats de petites robes, chaussures et sacs et manteaux en prévision de l’hiver, nous sommes allez déjeuner. Notre choix c’est porté sur un restaurant ou nous étions déjà allé avec John et Bruno. Ce restaurant « Rue 57 « à un bloc de la 5th Avenue, est un restaurant ou toutes variétés de plats sont proposés.
Nous avons décidées de prendre un plat typiquement français un « Rue 57 Grilled Sirloin Burger with roquefort and pommes frites », en fait une tournedos dans le filet avec une sauce au roequefort.. Au milieu du repas, à côté de notre table deux jeunes hommes d’environ 25-30 ans se sont installé. Petits regards sur nous, petits sourires, allusions sur notre sauce au Roquefort, enfin la conversation s’est installée. Ils se présentèrent, Matthias et Tim et ça c’est une tradition Américaine, quand vous rencontrer quelqu’un et que vous engager la conversation, chacun se présente. Et comme immédiatement tout le monde s’appelle par son prénom, les contacts sont plus faciles qu’en France.
Nous avons ainsi appris qu’ils étaient frères, célibataires, qu’ils étaient propriétaire d’un haras dans la banlieue de New York. A la fin du repas, ils nous proposèrent de boire une coupe de champagne au bar. Après tout pourquoi pas, Ils étaient très sympas. Au moment de prendre congé, ils nous proposèrent si nous n’avions rien de prévu, de nous faire visiter leur haras. Nous avions fait nos achats, il était 13h30. Nous avons accepté et je téléphonais à John pour le prévenir de notre escapade. Je lui donnais le nom des deux frères, John les connaissait de nom et de réputation, ce qui me rassura mais il ajouta : « Ils sont connus pour être de sacrés dragueurs, attendez-vous à passer une après midi très chaude ». je savais maintenant à quoi nous en tenir.
Nous avons récupérer nos voitures respectives, le voiturier en a pris plein les yeux quand je suis monté dans ma voiture. Matthew monta avec moi dans la Porsche pendant que Justine montait avec Tim dans une splendide voiture américaine année 60. Je mettais habillée le matin d’une mini jupe en cuir et d’un chemisier en soie noir un peu transparent et d’une veste également en cuir. Assise au raz du sol dans ma voiture, ma jupe était remontée au maximum, ce qui sembla troubler un peu mon compagnon de voyage. La conversation engagée sur des banalités tourna vite à des questions plus intimes. Si j’habitais New York, si j’étais mariée, si j’avais des enfants ? A mon tour je lui posais les mêmes questions. Il était célibataire, avait 28 ans et sont frères 24. A un moment je sentis sa main se rapprocher de ma cuisse découverte et se posée au dessus de mon genoux. Je ne refusais pas cette caresse qui l’engagea à remonter plus haut. Sa main se rapprochait au niveau de ma courte jupe et fini pas passer dessous. J’ouvrais légèrement les cuisses et sa main vint en contact de mon sexe. Il put ainsi constater que je ne portais rien sous ma jupe. Délicatement je lui prenais la main en lui faisant comprendre que je risquais de perdre mes moyens s’il continuait ainsi, mais lui laissant entendre que nous pourrions reprendre cela plus tard. En gentleman il n’insista pas.
Après une trentaine de kilomètres en étant sortis de Manhattan par le tunnel qui passe sous l’Hudson, nous sommes arrivés en pleine campagne, dans un cadre magnifique avec en son centre une demeure style Nouvelle Orléans et plus loin trois bâtiments en forme de U, les écuries.
Nos hôtes nous invitèrent dans le grand salon à boire quelques rafraichissements, en fait du champagne et après un moment ils nous proposèrent ce pourquoi nous étions venus, d’allez visiter les écuries. Nous sommes entré dans le premier bâtiment. De chaque côté d’un couloir central 12 boxes magnifiques en bois vernis avec que des étalons. Six jeunes femmes de type sud américaine s’occupaient des chevaux. Ils nous dirent que chaque bâtiment avait son propre personnel. Je faisais un rapide calcul 3 bâtiments, 12 chevaux par bâtiment ça faisait 36 chevaux et 18 personnes pour s’occuper d’eux. Ils étaient bien choyés.
J’avoue ne pas avoir vu d’aussi près de magnifiques pur sang et j’étais très impressionnée ainsi que Justine. Au détour d’un box où une jeune femme étrillait un cheval assez petit mais très vif, un Anglo-arabe me dit Tim, je constatais que ce dernier développait une érection assez impressionnante. Matthew s’aperçu de ma curiosité et dit que lorsque des femmes entraient dans le box, il bandait systématiquement. Je lui demandais pourquoi et il me répondit que nous verrions cela un peu plus tard.
La visite continua dans les autres bâtiments, dans un box, une jument avait mis bas la veille et un magnifique poulain tout noir était debout, branlant sur ses pattes en train de téter sa mère, très joli tableau.
Puis nous sommes entrés dans un petit bâtiment servant d’infirmerie. Le bâtiment était composé de deux salles une réservé à l’insémination des chevaux et l’autre d’infirmerie avec un boc opératoire aussi propre qu’un bloc d’hôpital mais avec un plus une grue pour soulever les chevaux.
Quelques instants plus tard, nous avons vus arriver le petit cheval de tout à l’heure tenu par une fille jeune pas plus de 20 ans, une autre l’accompagnait. Intrigué par cette entrée, Matthew nous dit que nous allions assister à une insémination. Mais comme aucune jument n’arrivait, il nous fit comprendre que c’était cette jeune fille qui servirait de jument. Effectivement, la plus jeune des deux se déshabilla complètement, elle s’allongea sur une table, « l’assistante » pris un gros flacon de gel intime et en mis une grande quantité sur son sexe en le faisant pénétrer à l’intérieur. Puis elle alla chercher le cheval qui commençait à bander, elle le fit passer au dessus de la fille, les pattes avant reposant sur une petite estrade, son sexe venant juste au niveau de celui de la fille. Elle prit ensuite une sangle la passa au dessus du cheval et attacha les extrémités à chacun de ses pieds. Elle était suspendue les fesses en l’air prête à être saillie par l’animal.
Le sexe du cheval était impressionnant long d’une quarantaine de centimètres et de la grosseur d’une batte de base-ball dans son plus grand diamètre avec au bout une dimension encore plus grosse. Elle prit le sexe, le présenta devant le vagin de la fille et commença à le faire pénétrer. Le plus dur fut de faire entrer le bout du sexe, puis tout alla très vite, d’une violente poussée, il entra dans le vagin de la fille d’une bonne dizaine de centimètres. Sous la douleur la fille hurla, mais ce n’était pas fini, par des vas et vient de plus en plus forts, le sexe du cheval pénétra de la moitié de sa longueur dans le sexe dilaté de la fille, qui gémissait visiblement comblée par ce sexe énorme. Et d’un seul coup elle cria, le cheval venait d’éjaculer à l’intérieur du vagin provoquant un orgasme violent de la fille. Le sperme évacué en très grande quantité ressortait de son vagin inondant ses cuisses.
Pendant tout ce temps, prise par ce spectacle d’une grande violence érotique, Matthew c’était placé derrière moi, sa main sur mon sexe nu de tout sous vêtement et masturbait mon clitoris. Justine n’était pas en reste, Tim Lui avait retiré son jeans, et il lui administrait un cunnilingus très appuyé. Nous n’avons pas résisté très longtemps. Entre le spectacle et ce que nous avaient fait nos deux amants d’un jour, nos orgasmes avaient été très fort.
Je regardais Justine visiblement impressionnée par cet acte contre nature, Elle me dit alors « Je voudrais essayer ». Je la regardais interloquée, « Tu ne vas quand même pas de faire sauter par un cheval » elle me regarda dans les yeux en me disant : « Tu sais bien que je suis toujours partante pour des expériences nouvelles, d’ailleurs tu devais le faire aussi » Matthew me regarda et me dit : « pourquoi pas, vous avez vu cette fille, elle a prit un pied pas possible. ». Ne voulant pas me dégonfler je dis « OK si tu le fais, je le fais ». Matthew nous dit : « C’est bien la première fois que je fais visiter notre haras à des femmes et que celles-ci demandent à se faire sauter par eux, vous permettez que je filme la scène, je vous en donnerais une copie.
Attendez un moment, il faut qu’il récupère ça prend en moyenne une demie heure, alors pour passez le temps et vous mettre en pleine forme on va s’offrir une petite récréation. Matthew me déshabilla complètement, Tim en fit autant avec Justine, puis vint leur tour. Pendant ce temps là les deux filles réapparurent toutes les deux nues, et lavée des souillures de l’animal. Ils nous allongèrent sur deux tables, les filles s’approchèrent de nous et s’accroupissant devant nos sexes largement ouvert de leur langue elles nous ont sucé, léché, aspiré les lèvres gonflées de plaisir. Matthew et Tim leurs sexes à la hauteur de nos bouches, nous invitèrent à les avaler. Je faisais durer le plaisir, m’arrêtant de sucer sentant qu’il allait jouir et reprenant de plus belle, je prenais ses bourses dans ma bouche en les aspirant, , puis sentant qu’il n’en pouvait plus et qu’il allait jouir je l’avalait complètement jusqu’à toucher ses couilles avec mes lèvres et il se vida de tout son sperme au fond de ma gorge. Le liquide chaud et épais et les langues experts des filles me fit avoir un orgasme violent, imité quelques instants plus tard par Justine. Il me dit « Tu es la reine de la pipe ». Merci pour le compliment.
Cette petite séance avait durée plus de vingt minutes, et nous relevant de nos positions allongées, on vit le cheval recommencer à bander. Décidément la présence féminine émoustillait ses sens. Une des filles prit Justine par la main, la fit allonger sur la table, lui mit dans son sexe une bonne quantité de gel intime, pendant que l’autre amenait le cheval au dessus de Justine. Elles lui attachèrent les pieds à la sangle, approchèrent le sexe du cheval à l’entrée du vagin. Visiblement le sexe du cheval n’entrait pas aussi facilement que pour la fille. Je vis alors Tim prendre une cravache et s’approchant de la croupe de l’animal, lui administra un coup assez fort. Le cheval se cabra et en une seule poussée il entra profondément dans Justine qui poussa un cri énorme. Comme elle se débattait, une des deux filles se mit derrière la table et poussa dessus, faisant ainsi entrer l’énorme queue au fond du de son vagin. La douleur passée, Justine se mit à gémir et maintenant c’était elle qui poussait en avant. L’animal ayant déjà éjaculé la séance dura plus longtemps, et Justine avait orgasmes sur orgasmes. Puis le cheval dans une poussé plus forte que toutes autres injecta au plus profond de Justine le sperme Chaud et épais. A ce moment là, Justine perdit connaissance et quand elle revint à elle, elle avait les yeux dans le vague, gémissait de plaisir et se tournant vers moi me dit : « C’est le plus grand pied que je n’ai jamais eue ». En rigolant je répliquais : « C’est pas flatteur pour Bruno ». Matthew avait filmé toute la scène, ne ménageant pas les gros plans.
Le seul problème c’est qu’ayant accepté de le faire si Justine le faisait, je ne pouvais plus me dérober. Il était 16h30 et j’avais dit à John que nous serions réentrées vers 18 h. Ca ne laissait pas beaucoup de temps pour que l’animal reprenne des formes et me baise. Alors Tim demanda à une des filles d’aller chercher un autre cheval habitué lui aussi à ce genre d’exercice. Elle s’habilla rapidement et 5 minutes plus tard elle revenait avec un autre cheval. Le voyant je fus prise de panique, le cheval était plus grand et si son sexe était proportionnel à sa taille, il allait me défoncer voir même me blesser gravement. Tim me rassura en me disant qu’il était comme l’autre. A peine rassurée, je m’allongeais sur la table, elles mirent le cheval au dessus de moi m’attachèrent les pieds à la sangle, elles me barbouillèrent de gel et le cheval sentant ce qui allait se passer se mit à bander. Je ne pouvais pas le voir, mais au murmures de Justine je pressentais que ce que m’avait Tim n’était pas la vérité. Je sentis le sexe raide comme une batte de base-ball, s’appuyer à l’entrée de mon sexe, puis peser de tout son poids pour me pénétrer, rien à faire ça ne voulait pas entrer, alors Tim reprenant la même cravache que pour Justine s’approcha. Je hurlais de ne pas faire ça mais quand il assena un coup violent sur la croupe de cheval, j’ai cru être ouverte en deux tant son sexe était gros, hurlant de toute mes forces à cause de la douleur intense, il recommença et cette fois ci, son sexe touchait le fond de mon vagin. Après quelques vas et vient, trouvant sans doute que cela ne suffisait pas, elle retira le sexe de mon vagin et le présenta devant mon cul. J’implorais qu’elles ne fassent pas cela, mais rien n’y fit. Pourquoi Justine ne venait pas à mon secours, Tim la sodomisait, sa tête à 30 cm de la bitte du cheval pour lui faire admirer l’animal qui s’apprêtait à me sodomiser à son tour. Sans que je n’ai eu le temps de protester à nouveau, il entrait progressivement dans mon cul, C’était énorme c’est par des mouvements de la table en avant, en arrière qu’elles firent jouir ce cheval. Je ne sais pas la quantité de sperme qu’il m’envoya, mais la puissance du jet me fit comme Justine perdre connaissance.
A mon réveil, Justine était penchée sur moi, elle s’était rhabillée. Elle m’embrassa longuement, et me dit « Alors tes sensations ? » je répondis : « J’ai eu l’impression d’être ouverte en deux mais de sentir cette masse de muscle dure comme du granit, j’avoue ne jamais avoir connu un tel orgasme de ma vie ». En me levant le sperme du cheval dégoulinait sur mes jambes, « Tu as pris un litre de foutre dans le cul, c’est ce que l’on appelle un ramonage en règle ».
Je passais sous la douche, et m’habillais, Mon sexe et mon cul était un peu douloureux, mais ça passera. Il était presque 18 h et Tim proposa que nos maris nous rejoignent pour finir la soirée. Je téléphonais à John qui rentrait à notre domicile pour le prévenir « Nos amis vous proposent de venir terminer la soirée chez eux, et j’aurais plein de choses à te raconter ». « Quoi par exemple » me dit-il. « Ca serait trop long à te dire au téléphone, alors vous venez ? » Après quelques secondes d’hésitations il dit « OK je préviens Bruno et nous arrivons.
J’en faisais part à Tim qui alla donner des ordres pour faire préparer le diner. Une heure plus tard John et Bruno arrivaient et après les présentations nous sommes allez au salon prendre l’apéritif. John se tournant vers moi me demanda : « Que voulais-tu me dire tout à l’heure » Je lui répondais : « Tu vas le savoir bientôt ». En effet Matthew revenait de son bureau avec un DVD dans la main, et s’adressant à John et Bruno, il leur dis : « Vos femmes sont exceptionnelles, vous allez en avoir la preuve après le diner ». Nous sommes passé à table pour un diner très sympa, arrosé de champagne et servit par une jeune fille très légèrement vêtue, puis nous sommes retourné au salon. Une fois installés dans des canapés, Matthew plaça le DVD dans le lecteur et aussitôt, l’image de Justine installée sous le ventre du cheval apparue sur l’écran.
Bruno était rouge comme une pivoine, : « C’est pas toi sous le cheval, je rêve tu n’as pas fais ça ». Et pourtant c’était bien elle qui allait se faire baiser par cet animal. Bruno regardait le sexe du cheval entrer et sortir du vagin complètement dilaté de sa femme. Jusqu’au bout de la séance, un silence de mort s’était installé. De temps en temps John me regardait, abasourdi par ce qu’il voyait, mais en fait rassurer de voire la jouissance que cette union entre l’animal et nous provoquait.
Bruno à eu cette phrase après la projection : « Il va falloir qu’on si mette à deux maintenant pour vous satisfaire ». J’éclatais de rire en disant : « Pourquoi pas ». Tim proposa de faire venir quelques filles pour terminer la soirée. Dix minutes plus tard quatre jeunes filles se présentaient, très belles, très brunes. Je reconnaissais deux des filles de cet après-midi. Elles s’installèrent de chaque côté de John et Bruno et commencèrent de s’occuper à les déshabiller. Pendant ce temps la, Tim m’avait rejoint sur le canapé et Matthew à côté de Justine, et la soirée commença. Nous avons changé plusieurs fois de partenaires. La fille qui s’était fait sauter par le cheval l’après midi demanda à Bruno de la fister d’abord avec une main qui pénétra jusqu’au fond du son vagin puis des deux mains, mais trouvant que cela n’était pas suffisant, John fit entrer en plus sa main jusqu’au poignet. Ils s’appliquèrent à la faire jouir ne s’arrêtant pas quand elle demandait grâce. Leurs mains entraient et sortaient, ils les faisaient tourner, et c’est quand elle éjacula en quantité impressionnante, qu’ils retirèrent leurs mains. Cette fille avait un vagin élastique comme je n’avais pas encore vue, car quand elle baisait avec un seul homme son sexe était absolument normal.
Pour ma part, j’ai reçu deux sexes dans le vagin et pour finir dans le cul, idem pour Justine. En fin de compte deux sexes d’hommes valaient bien celui d’un cheval. La soirée se termina vers une heure du matin. Fourbue de tant de sexes. Nous avons pris congés de nos hôtes en se promettant de renouveler cette journée.
Sur le trajet du retour, John me dit : « Vous avez le chic pour vous procurer de nouvelles sensations, qu’est ce que vous allez trouver la prochaine fois ? » Très sérieusement je répliquais : « Si tu nous en trouve des encore plus gros, nous sommes partantes toutes le deux ». Et j’ajoutais : « Vous en avez bien profité aussi, alors match nul ».
A suivre …
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