Chapitre 13 - La demande en mariage

Saint Barth le 12 août

 

Après le déjeuner composé de salades, de crustacés et de fruits, nous sommes installés autour de la piscine. Un peu à l’écart, Je demandais à John : « Et si nous parlions de cette proposition que tu avais à me faire ». « Ok » me dit-il. « Bien voilà, je possède plusieurs sociétés d’Import-Export, je travaille en particulier avec l’Europe, et l’Asie. En plus de cette activité, je suis négociant d’art, c'est-à-dire que je mets en relations les vendeurs et les collectionneurs, ça peut-être également pour des musées, enfin bref. Il y a quelques années j’avais eu l’idée de monter une galerie à New York, j’ai le local, mais je n’ai pas trouvé la bonne personne pour s’en occuper. C’est pourquoi quand Max m’a parlé de toi, de tes connaissances, de tes compétences, dans le fait que tu parles cinq langues, j’ai pensé que tu étais la personne qu’il me fallait pour ouvrir cette galerie, voilà pourquoi je suis ici aujourd’hui. »


 Je regardais John sans pouvoir ouvrir la bouche, la proposition qu’il me faisait était tellement fabuleuse que je restais sans voix. Je reprenais mes esprits et lui dit « Qu’est qui te dis que je suis la bonne personne pour cette responsabilité » Il me fixa dans les yeux, pris mes mains entre les siennes et dit : « Je ne me suis jamais trompé dans mes jugements sur les personnes, c’est un peu grâce à cela que j’ai réussis dans les affaires ».


 Les questions se bousculaient dans ma tête, la galerie de Lyon, Justine, etc. John ajouta : « Dans un premier temps, je pense que Justine est tout à fait capable de gérer la galerie de Lyon, puis nous verrons à trouver quelqu’un d’autre, et elle pourra te rejoindre à New York si elle veut ». D’un seul coup tout allait mieux, si Justine, ma Justine pouvait me rejoindre. Je regardais John, les yeux embués, je le prenais par le coup en l’embrassait à pleine bouche. « Tu me fais là un cadeau royal » John me regardât et me dit : « Attends, Il ya a une clause importante et indissociable à cette offre ». Je pensais, c’était trop beau «  Cette clause, c’est que  tu m’épouses! ». Je tombais des nues. Moi me marier, moi qui a toujours refuser de m’attacher pour ne pas perdre ma liberté, on me demandait en mariage. Tout tournait dans ma tête, une galerie à New York, un mariage, ça faisait beaucoup en si peu de temps. Après quelques secondes de silence, qui ont dues paraître une éternité à John, inconsciemment je criais « Oui ! Oui ! Mille fois Oui ».


 J’avais crié tellement fort que Justine et Bruno se retournèrent brusquement, je regardais Justine et lui dis : « Je vais me marier » Complètement abasourdie par cette nouvelle, elle me regardait les yeux exorbités, « Toi, Lolita, te marier, c’est avec John je suppose ? » A mon tour de lui rétorquer : « Bien sûr, avec qui veux-tu que ce soit, mais il faut que je mette au courant de certaines choses ».


 Je me levais, et observait David, qui le pousse levé faisait un geste de victoire à John, J’entrainais Justine dans le salon, et lui expliquais en long et en large, la proposition que David m’avait fait. Elle jubilait. « Dans un premier temps, Il va falloir que tu restes à Lyon toute seule, puis ensuite on trouvera quelqu’un pour gérer Lyon et tu me rejoindras à New York. Tu pourras compter sur Max, si tu as un problème, tu penses que ça ira ? »  « Je le pense, non j’en suis certaine,  je ne peux pas de décevoir, tu as fait tellement pour moi que je n’ai pas le droit à l’échec ». Elle se penchât vers moi, me prit par le cou, posa sa tête sur mon épaule et se mit à pleurer comme une madeleine.

 John entra dans le salon, trouva Justine toujours en pleures, pour le rassurer je lui dis « Elle pleure de joie » « Et bien tant mieux car je vous aime toutes les deux, et je ne voudrais pas faire de la peine à l’une où à l’autre ». Il ajouta : « Et si nous fêtions ça ».


 En ressortant du salon, David et Johanna nous attendaient avec Bruno, le champagne était déjà servit. Tout avait été écrit à l’avance, c’était un véritable  scénario, son invitation sur le bateau, notre rencontre, la soirée puis la nuit qui suivit, enfin tout. Et ça ne pouvait que fonctionner.


 Je me levais brusquement pour téléphoner à mes parents, et leurs annoncer la nouvelle. Il était seize heures, avec le décalage horaire il était neuf heures Marrakech. Depuis que mon père avait pris sa retraite, ils habitaient à Marrakech pratiquement à l’année. Il avait acheté il y a une quinzaine d’années, alors que ce n’était pas encore la grande mode des ryads, un ensemble de petits immeubles, qu’il avait transformé en véritable palais des mille et une nuits. Après quelques sonneries, j’entendis la voix de ma mère Jenna, «  Bonjour Maman, tout va bien ?, J’ai une grande nouvelle à t’annoncer, je vais me marier. » Au bout du fil, le silence, puis ma mère me dit : «  Toi te marier ? Comment il s’y est pris ton futur mari pour te convaincre de te marier ? ».


Je lui expliquais toute l’histoire, je l’entendais presque pleurer, puis elle appela mon père, lui expliqua brièvement la situation et je l’entendis dire, « Où et quand, on ne veut pas louper ça, on arrive ». C’était le plus beau cadeau qu’ils puissent me faire, assister à mon mariage. « Je vous rappellerais quand tout sera décidé. » J’embrassais mes parents et raccrochais.


 Revenu sur la terrasse je décidais d’appeler Max. Je reprenais mon téléphone et l’appelais. Au bout de quelques sonneries, c’est Nathalie, la femme de Max qui répondit : « Bonjour Nathalie, c’est Lolita », après les phrases d’usage du type, il fait beau ? Tu passes bonne vacances ? etc, je lui demandais de me passer Max. « je vais le chercher il est dans la piscine »  Ils étaient donc dans leur propriété près de Montélimar. Après quelques instants j’avais Max au téléphone. « Alors mon salaud, tu as tout manigancer dans mon dos, tu as montré nos vidéos à un inconnu » puis sur un ton plus conciliant, « Je te dis un grand merci pour ce que tu as fait pour moi et Justine, tu es un homme merveilleux, avec un cœur gros comme ça » j’entendis Max me dire, : « Ca été un plaisir, rassures toi Lolita, John est le seul a qui j’ai montré les photos et vidéos, mais il fallait que je te présente, et j’ai trouvé que c’était un bon moyen de le faire, par contre, avec Nathalie nous repassons ces images assez souvent, ca m’aide à surmonter mon handicap ». Max était privé de ses attributs sexuels suite à un accident de voiture auquel il avait échappé par miracle. J’ajoutais : « A mon retour, on va se faire une super soirée pour fêter ça ». « Ok » me dit-il «  Bonne fin de vacances, et surtout fait des folies de ton corps ». Sacré Max.


 Le soir, nous avons diné de langoustes grillées flambées, cuites par Bruno sur le barbecue, et avons passés le reste de la soirée au bord de la piscine. Vers onze heures, chacun est allez se coucher, Justine avec Bruno.  Je restais seule avec John, je posais ma main sur sa joue et lui demandais : « tu est vraiment sérieux quand tu parles de mariage, tu me connais à peine, tu sais que je suis frivole, que j’aime le sexe, que si je vois un beau garçon, je suis capable de baiser avec lui, comment réagiras-tu dans ce cas là » John me regarda et sans aucune hésitation répondit : « Je ne suis pas inquiet pour l’avenir, tu m’a vu à l’œuvre, mois aussi j’aime le sexe, mais si tu dois baiser avec un autre que moi, je veux être là, de même pour toi si je baise un fille, c’est que tu seras avec moi » Il ajouta : « Je suis sorti pendant un an avec une jeune actrice américaine. J’apprenais par la presse avec qui elle couchait, je passais au yeux de tout le monde pour le cocu de service et ça je ne le veux plus ».


 Je comprenais, mais c’était une conception du mariage assez originale, mais elle avait le mérite de mettre les choses au point dès le départ et c’est beaucoup moins hypocrite. Ca me convenait complètement. John se pencha vers moi, nos bouches se retrouvèrent dans un long et profond baiser. Il m’a alors prit dans ses  bras et portée dans ce qui est devenue notre chambre. La nuit fut très chaude et il me persuada, si besoin était, qu’il était un excellent amant.


 Trois semaines avaient passées, sans que je m’en aperçoive, nous étions le quinze août. C’est la fête ici comme en métropole. David  avait réservé pour le soir une table dans le restaurant de l’hôtel du Carl Gustaf donnant sur la baie de Gustavia. Ce luxueux hôtel 4 étoiles luxe, possède un sublime restaurant avec une vue imprenable sur la baie. Nous avons fait un repas exceptionnel fait de Mille-feuilles de langouste à l'écrasé d'avocats, sauce gaspacho et accras  et pour finir d’un  Croquant de fraises au parfum d’estragon et son sorbet, repas accompagné d’un champagne rosé millésime 1990. Encore une soirée à inscrire sur mes tablettes.


 A la fin du diner, John fit alors une proposition. Il était venu en jet privé de Miami à Saint Martin, et il évoqua l’idée d’aller se marier à Las Vegas. J’allais de surprises en surprises. Justine applaudissait à cette idée, David trouva l’idée excellente, mais émis une réticence. En effet au mois d’aout commence la saison des cyclones et il était inquiet à l’idée de quitter sa maison dans ces conditions. Il voulait attendre le lendemain pour décider de partir ou pas. Conscient du danger, ayant déjà subit plusieurs de ces phénomènes  météorologiques, il n’était pas chaud pour quitter l’ile.  


 Le 16 au matin, nous nous sommes réveillés de bonne heure. Les bulletins météos confirmaient la progression de cyclones dans la région. David prit la décision de rester, mais si nous voulions partir pour Vegas, il fallait le faire rapidement pour pouvoir revenir sur l’ile avant que les aéroports soient fermés.


 John partit passer quelques coups de téléphone dans le salon et après un bon quart d’heures il revint en nous disant que tout est arrangé, nous décollions le jour même de Saint Martin à 17 heures pour Las Vegas, il y a environ un peu plus de quatre de vol et avec le décalage horaire de trois heures nous arriverons vers 18 heures. J’ai réservé deux suites à l’hôtel The Venitian, ça nous donnera un avant gout d’un voyage de noce à Venise.


 De mon côté, je téléphonais à mes parents pour leurs donner le lieu, et le nom de l’hôtel. Je leur dit de s’occuper de l‘avion, pour le reste tout était arrangé, mais que de toute façon on les attendait pour le mariage. Mon père me dit qu’il faisait le nécessaire. Une heure plus tard il me rappelait pour confirmer leur arrivée et me dire qu’ils seraient à Las Vegas le 18 août en fin de matinée. John téléphona alors à l’hôtel pour confirmer la réservation d’une troisième suite.


 Rentrée dans ma chambre, je préparais une valise, John me dit de ne pas me charger, qu’il m’achètera sur place ce dont j’avais besoin. Et puis une idée surgit dans sa tête « Et si on demandait à Melissa et Bartémy, de nous rejoindre pour heure ou deux et ainsi terminer en beauté juste avant de partir ». Rien qu’à l’idée de retrouver Bartémy et de connaître intimement Melissa, me fit frémir de plaisir. John les appela par le téléphone intérieur. Et dix minutes plus tard débarquaient dans notre chambre Mélissa et Joé. « Bartémy est en ville chez ses parents pour les aider à protéger leur maison, je le remplace, si vous voulez bien, j’ai été obligé de dire à M. David que nous étions avec vous, dès fois qu’ils nous cherche, il est d’accord »  dit Joé avec un petit sourire. Je ne perdais pas au change, mais rien qu’à l’idée de me faire pénétrer à nouveau par son sexe monstrueux, je commençais à sentir une certaine humidité poindre dans mon intimité.


Joé, torse nu en bermuda tahitien, et Mélissa en paréo qui lui ceinturait la taille. Ses seins nus dressés avec les pointes durcis, présageaient des moments très érotiques. Ce fut plus qu’érotique, John évidemment baisa avec Mélissa, moi avec Joé, décidément je prenais goût à la batte de baseball qui lui servait de sexe, plus tard je m’installais en levrette, la tête sur le sexe de Mélissa, qui suçait avidement John, pendant que Joé me sodomisait allègrement . Cette deuxième séance terminée,  après un peu de repos et quelques coupes de champagne, je m’installais sur le sexe de Joé, pendant que John me sodomisait à nouveau, et qui finit par me remplir une euxième fois de cette quantité invraissemblable de sperme Joé suçant le sexe de Mélissa qui était presque assise sur sa bouche. D’orgasmes en orgasmes, nous avons finis par nous séparer avec regret.

 

A suivre 

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