Pour une fois je ne vais pas vous raconter les soirées auxquelles je participe, mais de souvenirs lorsque j'habitais à Paris, rue du Bac.
Je reviens en arrière à l'époque de Parly 2, au Chesnay près de Versailles. Mes parents avaient entre autres comme amis, un couple marié avec lequel ils sortaient assez souvent. lui s'appelait Jean et elle Daya. A l'époque je n'ai jamais su où ils allaient et se qu'ils faisaient. C'est plus tard quand je faisais mes études aux Beaux Arts, que je les ai rencontrés par hasard. Un soir où mon bel étalon Black a voulu me faire connaître un club échangiste de l'Avenue d'Italie "le Cléopâtre". Ils étaient là. Ils ne m'ont pas reconnu tout de suite. J'avais 13 ans quand nous avons déménagé de Parly 2, et là j'en avais 22. J'avais évidement un peu changé.
Lui était très occupé à baiser en levrette une brune au gros seins et elle se plaisait à lui masser les seins et le clito. Je les ai laissé finir leur petite séance et je me suis présentée ainsi que mon ami. Un peu gêné au début, moi qui les avais toujours vu habillés, ils furent content de me revoir. Après quelques souvenirs évoqués au bar avec une bouteille de champagne et comme je ne connaissais pas cette boite, ils me proposèrent de me la faire visiter.
Ce club assez chic comportait en entrant un grand bar, une piste de danse avec des alcôves. Dans la deuxième partie, il y avait une boutique de lingerie ou les cabines d'essayages étaient munies de glaces sans tain ce qui permettait de mater les séances d'essayage depuis l'extérieur de la boutique ou ils avaient disposés des chaises et des tables de bistrot.
Ensuite une grande salle avec une table de billard, différentes alcôves intimes, un compartiment de train, pour les fantasmes des voyages, une cloison avec des trous ou des femmes pouvaient faire des fellations aux hommes de façon anonyme etc.. Jean me demanda si je participais avec d'autres partenaires que l'ami qui m'accompagnait, ma réponse affirmative lui fit dire un mot qu'il regretta aussitôt "telle mère telle fille". Il se rendit compte qu'il venait de me dévoiler une partie cachée de la vie sexuelle de mes parents. J'éclatais de rire ce qui le rendit perplexe. Je me doutais bien que mes parents se partageaient avec d'autres, depuis les séjours dans la propriété d'un ami de mon père en Sologne là où j'ai perdu ma virginité à 12 ans ! (Chap 1 - Mon adolescence) et ou j'avais constaté leurs façons très intimes de se comporter avec leurs amis.
Il me fit savoir que sa femme elle ne voulait pas baiser avec des inconnus, mais uniquement avec les partenaires que nous connaissions. Il me demandât de lui en parler, de femme à femme la convaincre serait peut-être plus facile. Revenu au bar, je la prenais à part et j'orientais la conversation sur l'échangisme. Je lui parlais de toutes mes expériences, les journées au château près de Rambouillet, mon initiation dans un bordel du 18 eme à Paris les pénétrations multiples en double etc.. Elle m'écoutait avec attention et visiblement avec intérêt.
Je lui proposais de retourner dans la grande salle. En m'adossant à un mur je lui ai demandé de me tourner le dos, Mes mains s'engagèrent dans son chemisier et d'égagèrent ses seins. Ils étaient fermes et volumineux. Elle était maintenant la poitrine entièrement dénudée et à la vue des personnes présentes. Aussitôt, un homme s'approcha et posa sa main sur un de ses seins, il les caressait doucement, faisant tourner du bout de ses doigts les tétons qui gonflaient sous l'effet du désir. Je lui demandais, " tu aimes". dans un soupir elle répondit "oh oui".
Maintenant plusieurs hommes la caressaient, l'embrassaient dans le cou sur les tétons. Visiblement elle se laissait aller complètement. Une main tenta de s'engager sous sa mini-jupe. Elle eu un moment de recul. l'homme insista et trouva très vite son chemin dans un sexe humide et libre de tout sous vêtement. Il la branlât inserrant un doigt, puis deux puis trois, le pousse chatouillant son clito, allant de plus en plus vite elle a atteint une jouissance extrème en inondant la main de l'homme.
Je lui murmurais dans l'oreille, " tu veux continuer comme ça ou aller plus loin" elle me répondit, "je ne sais pas, je ne sais plus en j'en suis". Je prenais ça pour un oui, je lui défis sa mini jupe qui tomba à ses pieds, Elle était complètement nue. Je passais ma main sous sa cuisse au dessus du genoux et lui relevait sa jambe, elle était ainsi à la disposition des hommes présents. Son mari regardait la scène médusé par le comportement de sa femme, elle qui avait toujours refusée de participer à baiser avec des inconnus.
L'homme le premier qui était présent se trouvait être le patron du Club, un homme d'une soixantaine d'années, grand, bronzé, les cheveux grisonnants. De sa main il commença à exciter à nouveau son clito et enfonça ses doigts dans le son sexe largement ouvert. Son vagin inondé par le premier orgasme il n''a pas eu de mal à la pénétrer de ses cinq doigts, engageant la moitié de sa main. Il me regardait attendant visiblement une autorisation de ma part. Je lui fais signe que oui, mais avec protection. Il sortit une capote de sa poche, sorti son sexe qui avait une belle érection et ainsi protégé pénétrât ma jolie conquête.
Pendant tout le temps où il lui fit l'amour, j'ai été obligé de la soutenir, car elle semblait défaillir à chaque poussées de l'homme puis il éjacula très vitre très excité lui aussi par cette femme qui se livrait complètement. Les hommes derrière attendaient leur tour, Mais pour l'empêcher de voir qui allait la baiser, je la retournais vers moi, et l'obligeant à se pencher en avant, elle offrait ainsi son sexe et son cul à tous ceux qui voudraient la prendre.
Le deuxième homme un jeune, me regardait dans les yeux pendant qu'il la baisait, le regard perdu dans son plaisir, Se dégageant rapiderment il retirat vivement sa capote, en éjaculant sur le bas de son dos. Puis un troisième, un quatrième, un cinquième. Les hommes autour se masturbaient en attendant leur tour, souhaitant tous baiser cette belle et jolie jeune femme. Je la soutenais, elle vacillait de plus en plus, jouissant de plus en plus fort. Mon ami Black regardait la scène à côté de Jean. Je lui fis signe de venir aussi. Il ne se fit pas prié, Sortant son sexe démesuré et il présentât devant le sexe de Daya. Elle un moment de recul, sentant que quelque chose d'anormal se passait, ce qui eut pour effet de faire pénétrer le gland dans son vagin. Elle leva la tête, me regardant le regard suppliant d'arrêter, mais le désir plus fort que tout lui fit écarter les jambes un peu plus. La batte de baseball pénétrât d'un coup dans son sexe largement ouvert et lubrifié. Elle se mit à crier, oubliant dans quel environnement elle se trouvait, jouissant sans discontinuer.
Connaissant bien mon ami il n'avait pas mis de protection. Il continua ses vas et viens plus longtemps que les autres. Jean s'approcha de moi et me dit à l'oreille "Qu'il l'encule, elle aime ça". Je le regardais avec inquiétude ayant subi moi même la pénétration anale de ce monstre de chair. Il confirma, d'un signe je fis comprendre à mon ami, ce qu'il souhaitait. Tout alla très vite, il se dégageât de l'étui ruisselant, remontât jusqu'à l'orifice le plus resserré de Daya et poussa. Comprenant ce qu'il se passait, elle essaya de se relever, mais je la tenais fermement. Poussant un cri énorme, je compris qu'il était entré complètement dans son cul. Puis il continua ses allers retours de plus en plus puissants. Il fit durer la séance un long moment. En le regardant je vis qu'il allait jouir, effectivement il se vida dans ses reins la faisant vaciller complètement en hurlant de plaisir. Elle jouit comme jamais elle n'avait jouit inondant ses cuisses et ses jambes.
Il se retira lentement, son cul était largement ouvert dégoulinait de sperme. Les autres hommes essayèrent de prendre la suite, mais j'ai mis fin à cette séance. Son mari vint la soutenir et à nous deux, nous l'avons emmenée dans les toilettes, équipée de tout ce qui fallait pour se refaire une beauté après ce qu'elle avait subi. Elle put se laver de toutes les souillures des hommes qui avaient éjaculés sur elle plus celle de mon ami black qui l'avait rempli de son sperme épais et abondant. Elle revenait à elle doucement. A nouveau habillée, de retour au bar, elle regardait son mari avec dans les yeux un mélange de colère et de plaisir. Jean l'embrassa tendrement, en lui promettant de recommencer l'expérience quand elle le souhaiterait. Encore une qui à pris du plaisir dans la multiplication des rapports sexuels.
Nous nous sommes revus quelques fois au Cléo et dans d'autres clubs bien connus de la capitale. Elle me racontât qu'un jour, lorsqu'elle faisait des achats dans le centre commercial de Parly2, elle s'était arrêté devant une boutique ou elle avait repérée une jupe d'été. Un homme c'était approché d'elle et lui avait proposé de la lui acheter. Evidemment il y avait une contre partie. Elle m'a avouée qu'après, elle l'avait suivi à l'hôtel Mercure situé en face du centre commercial où il sont restés une bonne partie de l'après midi. Le soir quand il est rentré de son travail, elle lui a raconté toute la scène. Ils firent l'amour très excités par son récit de ce qui c'était passé. Ils s'étaient juré de tout se dire, pour qu'il n'y ait pas d'ambigüité, seule condition pour ne pas faire éclater un couple. Avec les inconnus de passage, elle ne voulait pas renouveler les rencontres. Par contre elle avait aussi l'habitude de recevoir chez elle des amis du couple, un ou deux à la fois, quand on aime on ne compte pas... Ca lui occupait ses après midi et ses soirées quand son mari était absent.
Ce couple avec qui mes parents s'étaient envoyés en l'air restera dans ma mémoire, il est vrai que depuis cette rencontre, je n'ai pas vu la vie de couple de la même façon. C'est la raison pour laquelle avec John nous nous entendons si bien, que nous sommes amoureux tous les eux comme au premier jour, que nous jouissons de la vie en renouvelant nos expériences. Je sais qu'il y a des domaines que je n'ai pas encore explorés et que je compte bien découvrir.
En conclusion, je ne connais pas une femme qui ayant pratiquée des pénétrations multiples au cours d'une soirée ne sont pas prêtes à recommencer. Certaines atteignent l'orgasme au bout d'un nombre important d'hommes. J'ai vu au Roi René, un club de Ville d'Avray, fermé depuis, une femme se faire baiser par la presque totalité des clients. Et ce soir là il y avait du monde.
Mesdames vous qui lirez peut-être le récit de mes aventures sexuelles, essayez un jour, de préférence devant votre compagnon ou votre mari. De se voir baiser, à la merci des hommes présents, de sentir le regard de l'autre qui vous regarde prise et jouir augmente considérablement le plaisir.
A suivre .....
Si vous venez de découvrir mon blog, je vous conseille de lire mon Journal Intime dans l'ordre chronologique des chapitres, et cela pour une meilleure compréhension des évenements.
Pour des raisons de confidentialité des participants à mes soirées, les photos illustrants les articles de mon blog sont tirées d'Internet.
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Lolita Oracio-Steven " et l'adresse de mon site " www.lolita-o.fr. "
Bonne lecture